Inondations : respectons les victimes, arrêtons la propagande

par Drieu Godefridi.

Les graves inondations qui viennent de frapper l’Allemagne et la Belgique offrent à des scientifiques peu scrupuleux l’opportunité d’affirmer sur les plateaux de télévision et dans la presse la responsabilité du réchauffement global, plus précisément anthropique — c’est-à-dire causé par l’homme — dans cette catastrophe naturelle.

Pr. Jean-Pascal van Ypersele de Strihou.
Source : Capture d’écran RTBF, service public belge francophone

Ces scientifiques se revendiquent du groupe d’experts de l’ONU sur le climat, le GIEC — plus particulièrement son premier rapport, qui date de 1990. Dès lors, il nous a paru utile de consulter les derniers rapports disponibles de la source « GIEC ».

Dans son rapport spécial le plus récent consacré aux événements extrêmes — « MANAGING THE RISKS OF EXTREME EVENTS AND DISASTERS TO ADVANCE CLIMATE CHANGE ADAPTATION”, SRX, qui date de 2012 — le GIEC écrit « la probabilité est faible (en raison des preuves limitées) que le changement climatique anthropique ait affecté la magnitude et la fréquence des inondations. » (page 177).

Dans son rapport global le plus récent disponible sur l’état de la science du climat — « Climate Change 2013: The Physical Science Basis » — le GIEC écrit « les études pour l’Europe montrent des tendances à la hausse, à la baisse, ou stable dans la magnitude et la fréquence des inondations, de telle sorte qu’il n’existe à l’heure actuelle aucune preuve claire et large de changements dans les inondations (…). En résumé, persiste le manque de preuve à l’appui d’une tendance claire dans la magnitude et/ou la fréquence des inondations à l’échelle globale.” (page 214).

Sur la foi, indubitable, de ces derniers rapports disponibles du GIEC — spécial et général — il est donc faux d’affirmer la réalité scientifique d’un lien entre les inondations actuelles et le réchauffement global. Ce sont des propos erronés qui induisent gravement le public en erreur et qui ne devraient pas être proférés sur les plateaux de télévision sans contradiction.

Signalons, pour conclure, que la tendance mondiale en terme de désastres naturels est claire : elle est à la baisse. Le nombre de victimes et les dégâts est incommensurablement moins élevé en Europe et dans le monde, que ce n’était le cas dans le passé:

En ces temps de deuil et de recueillement pour les victimes de cette catastrophe naturelle, appelons chacun à la décence : ce n’est pas le moment d’avancer des pions idéologiques, a fortiori quand ils sont démentis par la source — le GIEC — dont on se revendique.

Cette attitude est indigne d’un esprit scientifique.

Drieu Godefridi, PhD, est l’auteur de « Le GIEC est mort, vive la science » et « L’écologisme, nouveau totalitarisme ?« 

40 réflexions au sujet de « Inondations : respectons les victimes, arrêtons la propagande »

  1. Non seulement c’est indigne pour les victimes mais c’est en plus contre-productif en gestion de risques naturels : en mettant en avant une supposée cause globale à ces inondations (le CO2) et sur laquelle les autorités « locales » ne peuvent rien, on dédouane ces autorités locales de leur mauvaise gestion du risque d’inondation. C’est un obscurantisme qui, comme tout obscurantisme, joue tout son rôle politique (et pas seulement pour l’adhésion à la transition énergétique). Cet obscurantisme autour du CO2 lors des CatNat est maintenant devenu un leit-motiv utilisé en gestion de risques et communication de crise : par exemple, lors de l’ouragan Irma, Macron avait pointé la politique CO2 de Trump qui produirait selon lui des monstres météo, et ainsi dédouaner la France de sa gestion minable du risque cyclonique sur les îles de Saint-Martin et Saint-Barth.
    Cet obscurantisme passe d’autant plus facilement que le focus de la question climatique est constamment mis dans les médias sur la dynamique des aléas météo et non sur celle plus globale de la gestion du risque climatique (qui inclut la dynamique fondamentale sur la vulnérabilité des sociétés à ces aléas, toujours passée sous silence).

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    • Le GIEC est un organisme mis en place par des politiciens. Il est composé essentiellement de non-scientifique et parmi les scientifiques de très peu de climatologues. De plus les objectifs de l’objet social du GIEC définissent les conclusions qui doivent être tirées des prétendues recherches. c’est antinomique à la science.

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      • Il est dans un positionnement médiatique d’autorité en disant cela car même le GIEC dans son dernier rapport (souligné ici par Drieu) dit il n’y a pas de tendance à l’augmentation des inondations.
        Par contre, bcp des inondations survenant dans le monde sont maintenant mises en relation dans les médias avec le RC(A) donc il y a bien une augmentation des inondations liée au RCA mais dans le traitement médiatique ; les gens ne s’attachant pas à voir si un événement particulier dans un lieu donné est rattaché à une tendance sur le lieu en question et les médias ne traitant presque jamais de cette question.
        Par exemple, quand Yann Arthus Bertrand avait habillé le zouave de la Seine avec un gilet de sauvetage lors des dernières petites inondations, c’était une opération de commmunication car il y a de moins en moins de crues majeures sur ce fleuve ; l’historique des plus hautes eaux étant très objectif sur ce point.
        A l’échelle du globe, les observations satellite montrent qu’il n’y a pas d’augmentation dans l’intensité et l’étendue des inondations (cf Large and Extreme floods listed in the DFO Flood Archive en deuxième moitié de page ici: https://floodobservatory.colorado.edu/ ).
        Tout cela est bien de la propagande avec 3 buts :
        – l’adhésion à la transition énergétique, commandée d’en haut par les élites
        – dédouaner les autorités locales de leurs fautes en gestion de risques et crises sur les CatNat.
        – renforcer les structures supra-nationales dans leur rôle de techocratie éclairée (alors qu’on voit bien qu’avec le GIEC, c’est un naufrage complet).

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      • « l’adhésion à la transition énergétique, commandée d’en haut par les élites »

        Lesquelles ?

        Il faudrait juste rappeler à Cédric Moro que « les élites » politiques, économiques, industrielles…ne sont d’accord sur quasiment rien s’agissant des arbitrages énergétiques, pas même au sein des ensembles continentaux comme l’UE.

        Méconnaissance crasse et naïveté touchante.

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      • Si vous pouviez éviter de prendre votre petit air hautain du XVIIIème siècle en réponse à mon commentaire, on aurait pu mieux discuter.
        Oui, la transition énergétique est commandée d’en haut : il n’y a pas eu de référendum européen sur ce point et les gens ne se lèvent pas le matin en implorant le gouvernement d’augmenter les taxes sur l’essence….
        Et c’est la Commission européenne qui la met en place, donc elle vient des élites, de la technocratie.
        De toutes manières, les citoyens ont bien compris cette manoeuvre verticale des élites, où ils n’ont pas été consultés, comme l’a montré la flambée des Gilets Jaunes, mais manifestemment, ce message bottom up n’est pas encore bien passé dans une partie de la noblesse actuelle, n’est-ce pas M. « De » Courrèges ?

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  2. Ensuite, méthodologiquement sur cet article, il y a un problème (le même que celui que l’on rencontre dans tous les alarmismes écologiques) : celui de passer sans précaution du local ou global. En effet, utiliser des données globales pour un événement local n’est pas fondé scientifiquement : ainsi, le manque de tendance claire sur l’évolution de l’aléa inondation exprimée par le GIEC ne concerne que le niveau global (et non local). Idem pour les tendances des décès liés aux CatNat. Autrement dit, utiliser des données globales pour montrer qu’il n’y a pas de hausse des périls au niveau local, notamment liée au RC, n’est pas fondé scientifiquement.

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    • Mais rien n’indique qu’il y ai une tendance locale non plus (et il ne faut pas faire de longues recherches pour en être convaincu à juste titre) et c’est bien les prophètes à la Van Ypersel qui ont clamé haut et fort que la crue était due à leur adoré changement climatique anthropique apocalyptique anxiogène à souhait pour manipuler les masses de bonne volonté mais ignorantes.

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  3. « Le nombre de victimes et les dégâts est incommensurablement moins élevé » à l’heure actuelle et pourtant la population mondiale a augmenté énormément et continuellement depuis par ex 200 ans et les zones à risques sont de plus en plus peuplées.
    Par ailleurs, le bétonnage des sols, la construction des routes, ne facilite pas l’évacuation des eaux.

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    • A contrario de l’imperméabilisation des sols, nombres d’aménagements ont été effectués pour limiter les risques (barrages, endiguements, curages de rivières, bassins d’orage…). Ces aménagement explique pour beaucoup la diminution de gravité des crues.

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  4. Si établir systématiquement un lien entre la survenue d’évènements climatiques extrêmes et la hausse des températures est déraisonnable ,l’attitude inverse l’est bien davantage . Nier tout en bloc vous conduit à devoir défendre la position absurde selon laquelle une hausse d’1.2 degré depuis l’ère pré-industrielle ne serait pas suffisante pour provoquer des changements significatifs dans le système climatique. Je pense que vous n’allez pas pouvoir persister dans un tel déni très longtemps car ,en raison de la non linéarité du réchauffement climatique, chaque hausse d’ un dixième de degré va s’accompagner d’effets démultipliés et spectaculaires. Votre discours deviendra inaudible au sein la population et vous serez obligés d’infléchir vos positions. Je prends les paris.

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      • Je ne parle pas spécifiquement içi du cas des inondations. J’incrimine l’attitude , qui relève à mon sens d’un réflexe pavlovien , consistant à systématiquement prendre le contre-pied de ce qu’affirme les climatologues sur la question des évènements climatiques extrêmes. A chaque fois qu’un évènement climatique extrême de nature historique se produit -comme les incendies en Australie l’année dernière ou les épisodes caniculaires à répétion de l’été 2019 en Europe- vous vous croyez toujours obligés d’aller chercher une explication alternative à celle qui est pourtant la plus probable compte tenu de l’ampleur déjà atteint par le réchauffement climatique. Comme vous avez une imagination débordante, la liste des vos objection semble inépuisable: mauvaise gestion des forêts , bétonisation des sols , aléas météorologiques etc..Si on se ralliait à vos arguments , il faudrait en conclure de façon absurde que le réchauffement climatique serait partout mais ses conséquences nulle part !

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    • Un peu d’épistémologie ne ferait pas de mal. Vous confondez 2 énoncés, Joachim. Les climato-réalistes n’affirment pas que le réchauffement climatique n’a aucun effet, ni d’ailleurs que le CO2 n’a aucun effet sur les températures de l’atmosphère (en tout cas les climato-réalistes sérieux, ceux qui observent la réalité plutôt que de se laisser embarquer dans une vrille idéologique).

      Ce qu’ils disent, c’est qu’en l’état actuel des connaissances scientifiques, on n’est pas capable de connaître et quantifier cet effet, et qu’il est très présomptueux de faire des prévisions sur la température qu’il fera en 2050 ou en 2100 alors qu’on est loin d’avoir compris les mécanismes en jeu. La très grande imprécision des modèles prédictifs le montre. Il s’agit de prudence scientifique, pas de négationniste borné.

      Pour être encore plus précis :
      – Le GIEC affirme que le CO2 d’origine anthropique joue un rôle prépondérant dans le réchauffement climatique constaté. Les climato-réalistes affirment que cette thèse n’est pas scientifiquement solide, et que la science climatologique doit encore progresser afin de comprendre comment la température de la Terre (et le climat de manière plus générale) évolue, et quels sont les paramètres qui influent.
      – Concernant les catastrophes liées au climat (inondations, ouragans, sécheresses), le GIEC se montre beaucoup plus prudent, en constatant qu’aujourd’hui, il n’y a pas de preuves scientifiques qui permettent de les relier au réchauffement climatique. C’est ce que rappelle cet article, et ici, c’est l’emballement médiatique qui est dénoncé, en rappelant que les assertions visées dépassent très largement ce que le GIEC lui-même tient pour scientifiquement fiable.

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    • @Joachim

      « Je pense que vous n’allez pas pouvoir persister dans un tel déni très longtemps car ,en raison de la non linéarité du réchauffement climatique, chaque hausse d’ un dixième de degré va s’accompagner d’effets démultipliés et spectaculaires. »

      Je pense que les climato-réalistes « persisteront » aussi longtemps que les courbes montrent qu’il n’y a aucune augmentation en fréquence ou intensité de la très grande majorité des événements météo extrêmes. C’est le cas pour (liste non exhaustive – références sur demande) : les incendies au niveau global, les incendies aux USA, les incendies en Australie, les incendies au Canada, les incendies en Europe, les inondations au niveau global, les inondations en Europe, les sécheresses au niveau global, les sécheresses aux USA, l’activité cyclonique globale, les ouragans aux USA, la mousson Indienne, etc etc.

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    • Joachim Laurbis, Il y a de très nombreuses raisons scientifiques et épistémologiques pour remettre en cause le prétendu anxiogène réchauffement climatique anthropique apocalyptique. Vous trouverez notamment sur ce blog de très nombreux articles qui devrait vous convaincre de la grande incertitude des prophéties climatiques.

      Vous direz, en bien intentionné que vous êtes, mais même si le réchauffent est incertain soyons prudents faisons comme si c’était certain. Le problème c’est que cela nous coûte terriblement cher et nous empêche donc d’agir sur de vrais problèmes clairement identifiés avec des solutions dès lors parfaitement adaptées mais aussi risque de nous faire entreprendre des actions contreproductives.

      Il y a beaucoup de vanité à croire que non seulement ont peu « régler » le climat mais aussi qu’on ait pu le dérégler. Cela dit parler de dérèglent du climat n’a aucun sens. Il n’y a ps un climat idéal et stable. Le climat a toujours changé dans des amplitudes et sens très variés et ce dans des laps de temps eux aussi très variés.

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    • Il y a une différence entre nier tout en bloc et exprimer des âneries telles que par exemple le CO2 est la cause de l’augmentation des températures alors que le monde scientifique a prouvé que le CO2 suit la hausse des températures.
      Les discours entendus par la population sont ceux que les médias de masse subventionnés colportent. Discours encore plus audibles par nos enfants endoctrinés par une éducation nationale qui ne forme plus personne.
      De plus je vous renvoie à « la tectonique » qui, si elle prouve que les continents dérivent depuis le début des temps avec des effets de leurs forces à faire apparaître continents, chaines de montagne, modifier les océans et créer des volcans, elle ne prouve pas que ma petite voiture au diésel peut contribuer à réchauffer atmosphère et océans et favoriser les tremblements de terre.
      Mais les âneries colportées sont à la hauteur des taxes prélevées par des dirigeants imbéciles. La seule question à se poser serait : mais où va l’argent de ces hold-up?

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  5. Bonjour, concernant les inondations un certain Nicolas Hulot a repris le flambeau en prenant le réchof’ment klimatic comme cause de ces drames alors qu’aucune expertise n’a encore été réalisée.

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    • Remarquons au passage que ce génie a inclus dans sa liste « d’exemples effrayants sur les dernières semaines » une « fonte de la banquise antarctique comme on ne l’a jamais vue ». Si si, une fonte de la banquise Antarctique record en juillet. Comment et pourquoi ce clown réussit encore à être interviewé par les médias me dépasse.

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  6. ne trouvez-vous pas que le baron Van Pyperzeel du striou , chef de gare à ses heures, ressemble de plus en plus au Philippulus de Hergé, en tout cas , il en a le language
    on devrait se cotiser pour lui offrir la toge et le gong

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  7. « ===Les climato-réalistes n’affirment pas que le réchauffement climatique n’a aucun effet, ni d’ailleurs que le CO2 n’a aucun effet sur les températures de l’atmosphère=== »
    Euh…Vous savez, les avis et commentaires évoluent avec le temps, le terme sceptique a presque disparu, remplacé par le réalisme. Mais il y en a encore qui affirment que c’est juste la fin « naturelle » d’une époque post glaciaire, d’autres même que l’effet de serre n’existe pas, ou en tous cas que les activités humaines n’y sont pour rien, genre « faut être bien présomptueux pour oser croire que l’homme peut agir sur le climat ». Les plus prudents disent qu’il suffira de « s’adapter » à ce réchauffement bien réel (jusqu’à quel niveau) Quand au Giec (souvent traité d’escrocs ignorants ou même profiteurs), je crains fort qu’il n’ait été un peu trop « prudent » jusque-là, en parlant de 2100 ou même 2070, ce qui ne touchait pas grand monde. Preuve en est, leur prochain rapport (fuité), où les choses sont bien plus proches, concrètes. Les phénomènes météo extrêmes en particulier, il leur est bien sûr difficile de prouver la corrélation directement avec le RCA. Mais eux aussi vont préciser leurs analyses au fur et à mesure de l’actualité. Canicules et sécheresses, ça c’est évident. Pour le reste, ouragans, pluies diluviennes, orages violents, la simple origine de leur naissance laisse présager que les gradients de températures plus élevés ne vont pas les atténuer. La seule question qui reste est où, quand et sur qui ça va tomber.

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    • Bonjour Zimba
      Le problème des inondations en Allemagne c’est bien que ces communes étaient en zone inondable.
      Au delà d’une éventuelle augmentation des pluies liées au réchauffement c’est bien cette question de l’implantation des habitations qui pose problème en premier lieu.
      Car une augmentation des pluies dans une zone pas inondable ne pose pas de problèmes particuliers (et c’est un breton qui le dit) 😀.
      La première question à se poser est donc celle de l’urbanisme…
      Cordialement

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      • Bonjour Nico
        Oui, c’est vrai que l’on a construit un peu n’importe où ces dernières décennies, et c’est vrai aussi que le bétonnage canalise les eaux,cet accentue les débordements des rivières et fleuves. Mais ce qui me frappe, ce sont les glissements de terrains dans des terrains ruraux , campagnards, vallonnés ou même des vallées comme l’an dernier dans la Vesubie. Les quantités d’eaux gigantesques qui tombent (300, 400 mm en quelques heures ou 1 ou 2 jours), ne sont pas absorbarbles , exercent des forces colossales qui emportent tout sur leur passage. Dans nos Pyrénées, on a connu des orages certes très violents, ou associés à une fonte soudaine de la neige comme en 2013 avec des dégâts considerables. Mais on n’a heureusement jamais connu (de mémoire d’homme) de telles quantités de pluie en si peu de temps. Et j’espère qu’on n’en verra pas (climat océanique et de montagne , ce sont les orages qui sont fréquents et souvent forts). A l’est, ce sont les phénomènes Cevennols et plus généralement méditerranéens qui existent depuis longtemps, mais se reproduisent de plus en plus, s’étendent et s’amplifient. L’avenir nous dira, plusieurs organismes répertorient tous ça depuis quelques années.

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  8. «  » »Du 19 au 25 août 1949, le massif forestier des Landes de Gascogne est victime d’un grand feu de forêt qui ravage 52 000 hectares dont 25 000 de bois, et entraîne la mort de 82 personnes. Les communes touchées sont Cestas, Saucats, Marcheprime et Mios, en Gironde. Wikipédia » » » »

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  9. lier les inondations au réchauffement c’est pas de la science c’est de la com’ propagandiste fondée sur l’émotion. D’ailleurs sur ce sujet il faut rappeler que selon la théorie adoptée par le GIEC le gradient de température entre l’équateur et les pôles doit diminuer au fur et à mesure que la planète se réchauffe. Or les évènements extrêmes (ouragans, inondations) ne sont pas dus à la température elle même mais à des écarts de températures entre zones froides au Nord et chaudes au Sud, or selon ce qui précède ces écarts doivent aller en diminuant, mais aucun politique ni journaliste ne comprend celà, la thermodynamique leur est aussi inconnue que les hiéroglyphes avant Champollion …

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      • Vous avez raison mais pourquoi ? Ne serait-ce pas parce que le degré de l’échelle linéaire de Celsius est une variation des volumes élémentaires de 1/100 de la variation volumique entre la glace fondante et l’eau bouillante ? Et ceci pour mesurer les 1/100 de la variation du carré Mm*v^2 qu’est l’énergie cinétique ou chaleur des thermomètres, comme leur nom l’indique.

        Des centièmes de variation de grandeurs d’ordre 3 ou 2 ça n’existe pas parce que les racines cubiques et carrées de ces grandeurs des 529 valeurs entières entre 73 K et 602 K de la table officielle de calibrage des thermomètres électriques sur le thermomètre à mercure, sont en relation linéaire. Si les racines sont linéaires les intégrales ne peuvent pas l’être aussi. Donc toutes les valeurs de température météorologiques inférieures à 50°C sur les thermomètres sont surévaluées. Voir QQ courbes CLIMATIQUES tiny URL https://tinyurl.com/ycl8gxw7

        Et tant que vous y êtes ; Examinez attentivement la comparaison des courbes de variation saisonnière des teneurs atmosphériques en CO2 de l’océan arctique, voir Barrow, des tropiques Mauna Loa et du pôle sud et critiquez mes interprétations.

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  10. Au Luxembourg, il y a eu de grosses inondations au Grund, la rivière Alzette ayant débordé en 1756 et 1806. En 2021, on est resté loin des marques sur les immeubles, au niveau du premier étage. Les RDC ont été inondés, pas loin du mètre. Que s’est-il passé en 1756 et 1806?
    Trop de CO2 déjà?

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    • Et en peut en citer d’autres: le plan delta suite aux inondations de 1953 en Belgique et on peut remonter plus loin car la liste est longue dans des temps ou le CO2 n’était pas un problème, on peut à n’importe quelle époque trouver dans tel ou tel partie du monde des événements météorologiques extrêmes.
      N’oublions pas l’effet de zoom non plus.

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      • « La tectonique » prouve que les continents dérivent depuis le début des temps avec des effets de leurs forces à faire apparaître et modifier la dérive des continents, chaines de montagne, modifier les océans et créer des volcans et les animer.
        La question à se poser serait : mais où va l’argent des taxes de ces hold-up dont le CO2 et autres âneries sont les méchants pour la planète.

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    • Voir sur google :
      https://www.google.fr/maps/@49.6075139,6.1364011,3a,44.4y,256.14h,85.49t/data=!3m6!1e1!3m4!1srV-qqjFJL4C-PIf0_lbFbg!2e0!7i13312!8i6656?hl=fr
      L’immeuble rouge, au niveau du premier étage.
      Ils avaient du couper 2 ou 3 arbres, plus un seau de charbon, crime de lèse Gaia. La punition divine n’a pas tardé.
      Pauvres terriens tremblez !!! : les calottes glacières vont fondre d’un seul coup de rage. Vous allez mourir grillés-noyés.

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