Beaucoup de bruit pour rien (4/4) : L’optimum moderne et la crise climatique imaginaire

Dernier épisode, hélas… Encore merci Robert ! (Pour les épisodes précédents : épisode 1, épisode 2, épisode 3).

par Robert Girouard.

Pour des raisons évidentes, et peu importe les causes, le réchauffement global qui suit le Petit Âge glaciaire (terminé officiellement en 1850) arrive comme un soulagement, puisqu’il atténue les souffrances liées au froid et inaugure un nouvel éden similaire à l’optimum romain ou à l’optimum médiéval.

Bien que certains opinent que le réchauffement a débuté après le creux du Petit Âge glaciaire, vers 1700, il faudra attendre 1910 avant de constater une première poussée soutenue, d’une durée de 30 ans, laquelle sera suivie d’un léger refroidissement jusqu’au début des années 1970, puis d’une seconde poussée de réchauffement assez similaire à la première et terminée en 2000. Un pic de chaleur a été atteint en 1998-1999 et un autre, un iota plus élevé, en 2015-2016, les deux correspondant à de puissants événements El Niño. Un nouveau record sera sans doute franchi au cours du présent El Niño. 

En tout, la température moyenne mondiale s’est élevée d’environ 1,15 °C sur quelque 170 années, ce qui n’a absolument rien d’exceptionnel comme on l’a bien vu. En plus de comporter  une marge d’incertitude, cette « température moyenne globale » a d’ailleurs peu de sens, puisqu’il n’existe pas un climat de la Terre mais bien une panoplie de climats régionaux et locaux aux caractéristiques les plus diverses. Comment peut-on moyenner le climat de l’Antarctique avec celui de l’Amazonie ? Nous savons d’ailleurs que les terres se réchauffent plus que les océans, l’hémisphère nord (en particulier l’Atlantique Nord) plus que l’hémisphère sud, les moyennes et hautes latitudes plus que les tropiques, et les villes plus que leurs campagnes (phénomène d’îlot de chaleur urbain). Certains climats profitent de l’embellie, d’autres demeurent inhospitaliers. 

Comme tous les autres qui l’ont précédé, ce nouvel optimum a été généralement bénéfique pour l’humanité. Force est de constater que les humains se trouvent aujourd’hui dans une situation tout à fait incomparable par rapport à celle de 1850. La population mondiale atteint maintenant 8 milliards, versus moins de 1,4 milliard au début de l’ère industrielle. La production alimentaire a plus que suivi, puisque la famine a été pratiquement éliminée, un exploit en soi ; de fait, grâce à la Révolution verte, les rendements agricoles dépassent toutes les attentes. L’espérance de vie moyenne a presque doublé, la mortalité infantile a été divisée par 10. La richesse a augmenté de manière exponentielle, tandis que la pauvreté extrême a décliné considérablement partout dans le monde. À cela s’ajoutent toutes les merveilles de la science, de la technologie, de la médecine, des transports, des communications, de l’architecture, des arts et du divertissement, pour ne nommer que celles-là, qui rendent la vie si agréable pour un nombre grandissant d’humains. 

Cela dit, le climat étant ce qu’il est, il y a eu à certains moments, dans certaines régions du monde, des épisodes douloureux. Par exemple, dans les années 1930, l’hémisphère nord a été en proie à des vagues de chaleur et de sécheresse extrêmes. L’année 1934 figure encore comme l’une des plus chaudes jamais enregistrées aux États-Unis. Pendant le Dust Bowl, les Grandes Plaines de l’Ouest ont été en outre dévastées par des tempêtes de sable épouvantables, avec des conséquences dramatiques pour les humains qui y habitaient. Notons que de telles sécheresses, souvent entrecoupées de périodes de forte pluviosité, ont été récurrentes au cours des derniers millénaires, et il y en aura très certainement d’autres. 

De même, le léger refroidissement global des années 1950 et 1960, particulièrement présent dans les régions arctiques et sub-arctiques et qui s’est étendu de l’Europe à la Chine, a fait craindre l’avènement d’un nouvel âge glaciaire. L’auteur de Population Bomb Paul Ehrlich et le futur conseiller scientifique d’Obama John Holdren ont évoqué dans un livre « le risque d’un soudain glissement de la calotte glaciaire antarctique induit par une surcharge de glace ». Avec le retour des températures plus chaudes, ces craintes pour le moins exagérées se sont estompées mais uniquement pour faire place, quelques décennies plus tard, à d’autres prédictions encore plus alarmistes, liées cette fois au « réchauffement catastrophique anthropique » (Catastrophic Anthropogenic Global Warming). 

Alors que la vie n’a jamais été aussi facile sur Terre, une partie de l’humanité, concentrée en Occident dans les pays riches et de tradition judéo-chrétienne, s’est en effet mis dans la tête que le réchauffement actuel est différent en ce qu’il est mauvais, et qu’il doit être stoppé avant qu’il n’emporte la planète dans un enfer climatique irréversible. Comme au temps des sorcières, un bouc-émissaire a été désigné : les énergies fossiles. Au dire du directeur général de l’ONU, Antonio Guterres, « le problème ce ne sont pas les émissions de GES, ce sont les énergies fossiles, point à ligne ». Car elles seraient incompatibles avec la survie de l’humanité, étant responsables de tout ce qui va supposément mal sur la planète : vagues de chaleur, pluies torrentielles, coups de froid, ouragans, tornades, inondations, sécheresses, feux de forêt, perte de biodiversité, déclin des ours blancs, disparition des coraux, épidémies, etc. 

Cette peur irrationnelle, entretenue par des pseudo-scientifiques et des élites idiotes ou sans scrupules, est d’autant plus incompréhensible que Sapiens n’a jamais été aussi bien outillé pour faire face aux changements climatiques et aux aléas de la météo, deux choses très différentes soit dit en passant et qui du reste n’ont présentement rien d’anormal. 

Or, le véritable danger que court l’humanité réside dans les solutions drastiques proposées par les tenants du catastrophisme climatique. Tout passe par l’élimination forcée des énergies fossiles d’ici 2050 et leur remplacement par des énergies soi-disant renouvelables et propres, principalement l’éolien et le solaire, ce qui suppose une transformation radicale de la structure industrielle mondiale.  L’humanité se priverait non seulement des avantages incontestables des énergies fossiles — abondantes, peu chères, polyvalentes, faciles à transporter et à entreposer et, surtout, disponibles en tout temps  —mais elle mettrait aussi son avenir en péril étant donné les tares bien connues des énergies éolienne et solaire — faible densité, intermittence, caractère aléatoire dû ironiquement aux aléas de la météo, impact sur la stabilité des réseaux électriques, nécessité de systèmes de secours, etc. De fait, en raison de ses coûts faramineux et de ses risques pour la continuité de l’approvisionnement énergétique, cette transition précipitée, imposée par des politiques restrictives, pourrait signifier l’affaiblissement, voire l’effondrement de la civilisation post-industrielle moderne telle que nous la connaissons.  

Ainsi donc, pour la première fois de l’histoire depuis l’avènement de Sapiens, une civilisation des plus avancées risque de disparaître au cours d’un optimum climatique tout à fait correct, et ce, en raison d’une « crise climatique » totalement fictive et imaginaire !   Nos descendants n’en reviendront pas !  Heureusement, cela n’arrivera pas, car les « délires populaires extraordinaires » finissent toujours par être démasqués.  Des signes avant-coureurs laissent croire que c’est pour bientôt. À suivre.

107 réflexions au sujet de « Beaucoup de bruit pour rien (4/4) : L’optimum moderne et la crise climatique imaginaire »

  1. Un peu d’espoir ?
    Le nouveau président du GIEC, assure ne pas vouloir multiplier les « rapports spéciaux », arrêter autant que possible l’hystérie alarmiste, qu’il décrit comme contre-productive (tu m’étonnes…), mais surtout (AMHA) mettre la priorité sur l’adaptation au(x) changements(s) climatique(s), tout en gardant, on s’en doute, un certain intérêt pour « l’atténuation ».
    Sera t’il (aura t il l’autorité pour) être entendu et suivi ?
    Stay tuned (tribut Jacques Duran)

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    • Merci pour cette légère brise d’optimisme. Je retiens que le nouveau président du GIEC semble avoir compris la bêtise qui résulte de la lecture des fameux rapports spéciaux, notamment les âneries administratives que sont en France la SNBC et la SFEC avec la destruction planifiée de toute activité. Quel monstre de connerie que cette « planification écologique », mes aïeux !
      Sincères salutations.

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    • Ah, tu crois que le nouveau président du GIEC « assure vouloir arrêter autant que possible l’hystérie climatique » ? Ce serait trop beau ! Il va se trouvé confronté à Antonio Guterres, chef de l’ONU, qui veut remplacer le narratif de réchauffement climatique — trop peu suggestif –, par ébullition mondiale !
      Ca au moins, ça en jète !
      https://www.climato-realistes.fr/lere-de-lebullition-mondiale-est-arrivee/
      ……. A une prochaine contre-COP ?
      Climatiquement, ton serviteur. JEAN

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    • De mémoire:
      – Échec de la mission de J. Kerry en Chine
      – Polarisation croissante aux É.-U.
      – Retour en force du nucléaire au Japon; question de temps en Europe
      – Opposition grandissante aux renouvelables (Suède, UK, etc)
      – Élections en Espagne. montée de la droite

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      • Bonjour Robert
        pouvez vous être un peu plus explicite concernant
        «  » » » » » » »Polarisation croissante aux É.-U. » » » » » »
        «  » » » » » » » »Élections en Espagne. montée de la droite » » » » » » »

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  2. Concernant l’avenir énergétique de la planète , pas de souci: ce sont deux géologues de l’institut français du pétrole qui en sont persuadés
    fritz

    L’hydrogène naturel. La prochaine révolution énergétique ? – Une énergie inépuisable et non polluante Broché – Illustré, 6 mai 2015
    de Alain Prinzhofer (Auteur), Eric Deville (Auteur)
    4,2 4,2 sur 5 étoiles 18 évaluations

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  3. Coucou,

    Article interessant.
    J’ai du mal à vous suivre sur la diatribe anti-energie renouvelables.
    « leur remplacement par des énergies soi-disant renouvelables et propres, principalement l’éolien et le solaire, ce qui suppose une transformation radicale de la structure industrielle mondiale. »

    Renouvelables, elles le sont. Propres, c’est un jugement de valeur à relativiser.

    Pour moi le problème n’est pas la transformation radicale, mais la vitesse de la transformation et surtout savoir si cela fonctionne ou fonctionnera.
    Etant donné le nombre impressionnant d’ingénieurs qui travaillent sur toutes les technologies énergétiques émergentes dans le monde entier, çà devrait fonctionner .

    Pour le moment et pendant 2 ou 3 générations on va dépendre des hydrocarbures.
    Après, ben , on demandera à mme soleil !

    Bonne journée

    STéphane

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    • Renouvelables, elles ne le sont évidemment pas !
      Si le vent et le soleil le sont (peut-être ?), les matériaux nécessaires à leur transformation en électricité ne le sont évidemment pas… C’est même un des gros problèmes de ces énergie de pacotille que d’utiliser un maximum de métaux et terres rares dont l’extraction et le démantèlement/recyclage sont une horreur !

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    • Leur généralisation massive implique tout de même un certain nombre d’adaptations à la société, qui à ce jour n’est pas capable de fonctionner avec des sources d’énergie intermittentes et non pilotables. C’est là le principal problème de ces énergies dites « renouvelables », dans lesquelles on investit massivement – pour rappel, ITER est actuellement estimé à 54 milliards d’euros, investissement partagé entre toutes les parties. Le programme « France 2030 » visant à « décarboner l’économie française » est doté de… 54 milliards d’euros. À la charge exclusive du contribuable français.

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      • Bonjour,

        Oui,.j’ai lu un article sur le site de mme curry ou il est clairement expliqué que cela ne fonctionne pas en australie. Pour le moment.
        Il faudrait que je relise l’article dans le détail.

        Bonne journée

        Stéphane

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      • il est clairement expliqué que cela ne fonctionne pas en australie. Pour le moment.

        vous avez un endroit où cela fonctionne?
        pour le moment… Clinton ne disait pas autre chose

        avec le pognon de dingue qui a déjà été cramé à cette escroquerie,….mais à quoi bon discuter, l’évidence est sous vos yeux, ce n’est pas faute de l’avoir dit et redit depuis…20 ans

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      • En fait, c’est un peu plus que « pour l’instant ». Si ça peut vous convaincre que ces doutes ne sont pas limités à la sphère « climato-réaliste », vous pouvez regarder l’ensemble des vidéos sur lesquelles J.M. Jancovici explique en long, en large et en travers que le seul renouvelable viable, c’est l’hydraulique – l’éolien et le solaire ne servent que de jouet pour donner aux politiques et à certains industriels la possibilité de dire qu’ils « font quelque chose ».

        Et à moins que vous ne trouviez un moyen :
        – pour l’éolien : de vous assurer que le vent souffle en continu, ni trop fort ni pas assez, et éventuellement d’augmenter sa densité énergétique
        – pour le solaire : de vous assurer qu’il reste aussi efficace qu’il ait des nuages ou non, qu’il fasse jour ou non…
        ces types d’énergies sont condamnées par nature à rester marginales dans le mix énergétique d’un pays. À ce jour, elles ne sont viables dans les pays qui les ont déployés massivement que parce-que ces pays ont des solutions de secours, que ce soit une interconnexion forte avec leurs voisins (Danemark) ou la possibilité de mobiliser des centrales à flammes en backup (Allemagne).

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  4. Super série d’articles mais je ne les aurais pas intitulés « Beaucoup de bruit pour rien » mais plutôt « Beaucoup de peur pour beaucoup de cash ».

    Par exemple, beaucoup de peur pour beaucoup de cash pour Leonardo DiCaprio, 1er investisseur en Europe dans la viande de synthèse alors qu’il est ambassadeur de l’urgence climatique aux Nations Unies.
    https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/alimentation-ce-pays-europe-sera-t-il-premier-consommer-viande-artificielle-106793/#xtor%3DRSS-8

    Bref, il faut vraiment sortir de l’approche « pastèque » des verts pour une approche « le Vert est dans la pomme ».

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  5. Perso, je ne partage pas trop cet optimisme.
    « Financement de l’action climatique : Selon les données d’octobre 2019 provenant de la Banque mondiale , la planète devra consacrer des moyens considérables aux infrastructures dans les 15 prochaines années, autour de US$ 90 000 milliards en 2030. » Source : https://www.un.org/fr/climatechange/raising-ambition/climate-finance
    Il y a tellement d’argent en jeu ! Les grandes entreprises et les géants de la finance savent qu’il y a un paquet monstrueux de pognon public à pomper grâce à cette imposture. Je ne sais pas précisément quels mécanismes sont utilisés mais ils mettent forcément un peu d’huile ici ou là pour entretenir la fable aux œufs d’or, et hop. Vu les moyens qu’ils ont, franchement ça ne doit pas être trop dur. Comment aller contre autant d’intérêts d’argent ?

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  6. Monsieur Girouard,

    Une bibliographie étayant vos propos aurait été utile, sur le dustbowl et ses causes par exemple.
    Je tiens à vous signaler que le PAG ne fut que régional et avec une forte variabilité annuelle et que par conséquent de fait invalide l’ensemble de votre propos. En quoi l’élévation de température de 1.5° en quelques décennies n’a rien d’exceptionnel et surtout quelle est la cause de cette élévation ?
    Ceci dit j’aimerais vraiment savoir qui sont ces pseudo-scientifiques que vous vilipendez; si ce sont ceux dont les études ont servies de supports aux rapports du GIEC, vous incriminez la totalité des scientifiques (à travers le monde) spécialistes du sujet.

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    • Bonjour,
      Très intéressé par cette période de l’histoire, pourriez- vous nous donner vos sources qui permettent d’asséner que le PAG était local?
      Cordialement
      Laurent

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      • Pas de problème … et pour vous être agréable, je vais vous fournir un lien vers un site on ne peut plus « écolo-réchauffiste »: « Real Climate »: https://www.realclimate.org/index.php/archives/2016/02/millennia-of-sea-level-change/
        Vous y verrez une courbe de variation du niveau des océans qui baisse entre le Moyen-Age et 1850 environ … signe que globalement, le climat s’est refroidi … même s’il y a eu quelques sursauts, et pas seulement sur notre petite Europe, mais sur la plus grande partie du globe !

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      • La réponse de papijo nous la joue à la courbe de Mann appliquée à la montée des océans… J’ai bien ri.
        Bien cordialement

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      • Il y a quelques années je suivais un site internet dont malheureusement le nom ne me revient plus , et qui recensait de nombreux articles publiés sur le PAG au fur et à mesure de leur parution, avec leurs liens, et il y avait une carte du monde où chaque étude était reportée sous la forme d’ un petit drapeau; Ill y en avait de nombreuses, et pas seulement dans l’ hémisphère nord, mais aussi en Asie et en Amérique du sud. Le phénomène a été ressenti globalement même si pour diverses raisons il l’ a été plus sous nos latitudes. On peut évidemment raconter que ces études étaient bidon et/ou soigneusement « cherry piquées », mais il y en avait quand même beaucoup…
        A titre personnel je suis allé plusieurs fois au Népal pour ma pratique de l’ alpinisme, et là bas aussi les moraines du PAG sont clairement visibles en aval des fronts actuels.( mon compagnon de cordée est géologue directeur de recherche au CNRS, avec lui c’ est cours tous les jours !)

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    • @Eloi :

      Concernant le passé climatique de la planète = bourrée d’incertitudes, d’inconnus, d’extrapolations, d’approximation, de marges d’erreur. Pour l’atmosphère comme pour la surface.

      Impossible de connaître exactement les températures globales des mers et des océans en 236, 477, 789 … etc … Idem avec les continents.

      Vous dites que c’était régional, donc vous devez savoir ce qu’il s’est passé ailleurs.

      Donc, que s’est-il passé ailleurs ?

      Aussi, je ne pense pas me tromper en affirmant que l’humanité a déjà été confrontée à des changements radicaux, et n’a pas disparu, et sans la technologie que nous avons aujourd’hui.

      Une théorie affirme qu’après son apparition, l’homo sapiens aurait pu disparaître à cause d’un changement radical du climat.

      Il y a une chose, c’est étudier tout cela et essayer d’apporter des réponses, et il y en a une autre, c’est de récupérer tout cela à des fins politiques, idéologiques.

      Comme je l’ai déjà écrit ici, ou sur le site des Climato-réalistes : il est criminel de semer la terreur au sein de la population avec des courbes trafiquées.

      C’est un crime et toute personne soutenant cela est complice de crime.

      Accuser l’humanité d’être à l’origine d’une catastrophe climatique, de tout un tas de catastrophes naturelles, donc directement responsable de morts, c’est une très, très grave accusation.

      Et c’est passible de poursuite judiciaire.

      Des jeunes aujourd’hui souffrent de ce que l’on appelle l’éco-anxiété. Des jeunes qui vivent de vraies angoisses.

      Et il y a endoctrinement des enfants : l’endoctrinement avéré est un crime pouvant encourir une peine de prison.

      Si j’apprends que l’un de mes professeurs endoctrine l’un de mes enfants, je suis en droit de porter plainte contre lui.

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  7. @Eloi
    vous devriez vous ranger aux idées de votre nouveau président, je veux dire celui du GIEC et modérer vos propos , sauf si vous êtes un admirateur de Michael
    Fritz

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    • Bonjour,
      la dendochronologie est un moyen en effet de compréhension partielle du comportement d’espèces végétales données dans un milieu donné mais elle a ses limites et ne peut être considérée comme la science absolue pour la reconstruction des températures.
      Cordialement
      Laurent

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    • @pastille verte
      Je pense que le gulf stream ne s’arrêtera pas mais il changera peut-être un peu ses circuits ce qui changera ceux des circulations atmosphériques

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      • Si vous le dites, perso je n’en sais rien.
        Ce que je voulais dire c’est qu »ils » s’aperçoivent (enfin ?) que l’alarmisme poliitco-scintifico-médiatique est contre productif, ce qui « pourrait » (comme on dit dans les articles « alarmistes »…) commencer une conversion vers des débats scientifiques équilibrés et apaisés avec acceptation des avis divergents (si étayés, bien entendu)

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  8. Bonjour,

    L’existence d’un « marché de la peur », résultant de la montée d’une angoisse collective, encouragée par les médias, les politiques et qui profite à certains pour vendre des émissions, des livres et des objets plus « écolo », n’est pas en soi un argument contre la réalité du changement climatique et le rôle de l’homme dans ce dernier.

    Beaucoup d’entre vous semblent utiliser cet argument et faire un raccourci de raisonnement qui conclue à la preuve de la fausseté vient de la fausseté des conséquences.

    Il me semble que vous dénonciez un « alarmisme » plaidé par une « caste/classe/classe politique/cercle médiatique + politique ». Ainsi vous suggérez l’existence d’une ingérence entre les géniteurs des conclusions (scientifiques du GIEC), des décideurs (Classe politique Européenne et mondialiste), et les émetteurs (Ecrivains, infos télé, journalistes, etc.) de sorte que l’ensemble de ces maillons coopèrent pour installer un climat d’angoisse et d’hystérie généralisé, qui empêche le débat réaliste. Nous savons que le modèle économique des « émetteurs » (c’est assez grossier de tous les mettre dans le même panier mais bon) repose sur la loi du marché et donc potentiellement les mauvaises nouvelles => des ventes/de l’audimat (ce que je ne contredis pas !)
    Cependant la confusion des différentes sphères de relais des conclusions climatiques me semble être une facilité de raisonnement qui amène à une conclusion tout aussi rapide qui est que l’ensemble de la chaîne est : soi malhonnête, soi naïve.

    Il ne faut pas confondre Lutte des classes (qui est complètement légitime) et rejet des conclusions « alarmistes ».

    Le problème dans ce que vous avancez et que nos débats ne porteraient pas sur les conclusions scientifiques, mais sur les raisons sociologiques de nos désaccords et de vos positions ( notez que je considère avoir raison, ce qui n’implique aucun dénigrement envers vous, soyons capable d’élever le débat au-delà de la joute inter-personnelle).

    Bonne journée

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    • Ver de terre a écrit :

      – « L’existence d’un « marché de la peur », résultant de la montée d’une angoisse collective, encouragée par les médias, les politiques et qui profite à certains pour vendre des émissions, des livres et des objets plus « écolo », n’est pas en soi un argument contre la réalité du changement climatique et le rôle de l’homme dans ce dernier.  »

      Mais qui a dit le contraire ?

      Et qui ici remet en question le fait qu’il y a un changement climatique ?

      – « Il ne faut pas confondre Lutte des classes (qui est complètement légitime) et rejet des conclusions « alarmistes ».

      La mythomanie de la lutte des classes qui persiste… Ou de l’inanité intrinsèque des diverses formes de socialisme, d’internationalisme ou d’étatismes social-démocrate, qui reposent sur des prémisses fausses (lutte des classes, sens de l’histoire, nations toutes puissantes, etc.)

      Un peu de lecture pour vous : Was there ever a Ruling Class ? 1000 years of Social Mobility in England – Gregory Clark

      – « Le problème dans ce que vous avancez et que nos débats ne porteraient pas sur les conclusions scientifiques, mais sur les raisons sociologiques de nos désaccords et de vos positions »

      Ce que vous semblez ne pas avoir saisi, c’est qu’il y a différents champs de réflexion liés à cette histoire de « crise climatique » développés dans les fils de discussion de ce blog. Scientifiques, politiques, sociologiques.

      Aller dans le fil de discussion sous l’article de ce blog « Climat : info et intox », pour vous en rendre compte.

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      • Nicolas :

        Regardez l’importance des arguments concernant « les entreprises qui profitent de cette situation » dans les commentaires. Ces arguments témoignent de l’opposition de gagnants (les entreprises) et de perdant (les populations). C’est dans ce contexte que je parle de lutte des classes, je n’invoque pas des thèses socialistes. J’ai surtout l’impression que c’est un ras le bol de certaines personnes qui subissent des injonctions à moins polluer alors que le coût de leur vie est déjà difficilement soutenable et que des entreprises font du bénéfice sur l’angoisse climatique.

        J’ai bien vu que vous ne questionnez pas le réchauffement mais plutôt les causes.

        Vos discours portent surtout sur le rôle de l’homme dans la crise climatique. Et vous semblez quand même sous-entendre que les « courbes sont trafiquées ». C’est pour cela que je pense que si comme vous le dites les courbes sont trafiquées, il est nécessaire qu’il y ai une ingérence entre les différents acteurs que j’ai cité.

        On pourrait parler de chiffre et de faits mais si vous considérez que toutes les courbes qui vont à l’encontre de vos idées sont truquées on ne peut pas le faire.

        Mais alors les courbes de qui sont truquées ? Les nôtres ou les vôtres ?

        Et bien c’est pour cela que la communauté scientifique se base sur la validation par les pairs. Le plus grand nombre valide les explications concernant le rôle majeur de l’homme dans le réchauffement et la crise en cours. Et cela n’empêche pas qu’il y ai des réfractaires. Mais il me semble plus raisonnable de croire que la grande majorité à raison devant l’écrasante minorité. Si on juge la « grande majorité » comme non corrompue et honnête.

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      • Ver de terre a écrit : « Regardez l’importance des arguments concernant « les entreprises qui profitent de cette situation » dans les commentaires. Ces arguments témoignent de l’opposition de gagnants (les entreprises) et de perdant (les populations). »

        De quel commentaires exactement parlez-vous ?

        De quelles entreprises est-il question ?

        Qui, quoi, ou, comment ?

        Je ne vois pas une lutte de classe entre une « classe » d’entrepreneurs et une autre « classe » populaire.

        Les luttes vous allez les trouver entre gens d’un même milieu… C’est une lutte fratricide.

        Dans toutes les civilisations, les pires luttes sont avant tout fratricides, c’est-à-dire entre égaux.

        Vous trouverez plus de pauvres qui luttent contre des pauvres, que de pauvres qui luttent contre des riches. Et plus de riche qui luttent contre des riches, que de riches qui luttent contre des pauvres… Et de toute façon, je ne vois pas des pauvres aller attaquer des entreprises de riches entrepreneurs en France, ni de riches Français attaquer des pauvres dans des quartier pauvres, ou des associations de pauvres.

        Par courbes trafiquées, j’entends des courbes où sont mélangées des données ayant été calculées avec différents instruments de mesures.

        Voir, entre autres, la toute première figure (SPM.1) du résumé pour décideurs (SPM) du dernier rapport du GIEC (AR6). « Nouvelle courbe en crosse de hockey« .

        — « Le GIEC compare dans un même graphique des données obtenues avec des méthodes indirectes (les « proxies » de température) et des données obtenues avec des méthodes directes (les thermomètres). Il le mentionne d’ailleurs dans le graphique en écrivant « reconstructed » pour la partie gauche, en blanc, et « observed » pour la partie droite en gris. Car n’importe quel scientifique sait qu’il ne faut pas changer d’instrument de mesure lorsque l’on mesure une série d’objets. Vous pouvez d’ailleurs en faire l’expérience vous-même en mesurant votre poids le plus précisément possible en utilisant plusieurs balances différentes.

        Mais le GIEC fait bien pire qu’utiliser deux balances différentes : c’est un peu comme s’il employait d’abord une balance, puis qu’il décide d’essayer d’estimer le poids des gens rien qu’en regardant une photographie. Pensez-vous que vous puissiez obtenir des mesures précises en regardant une photographie? L’erreur sur la mesure sera très grande! Et bien c’est le cas dans la figure SPM.1 du GIEC : la partie gauche de la courbe est très incertaine et pourrait très bien présenter une autre allure. Comme le note judicieusement Michel Negynas dans sa récente publication, on remarquera en passant la grande « performance » scientifique du GIEC : connaître avec moins de ± 0,25 degré d’incertitude la température moyenne mondiale il y a 2000 ans, c’est d’autant plus méritoire que même maintenant, nos stations météo ne font guère mieux avec ± 1 degré d’incertitude !

        La manière dont cette partie gauche de la courbe a été reconstruite par le GIEC est présentée par le célèbre mathématicien Stephen McIntyre dans un commentaire récent. Asseyez-vous pour ne pas tomber de votre chaise. Le problème c’est que les étudiants, les journalistes et les décideurs ne connaissent pas toutes ces subtilités. Cette figure du GIEC est donc destinée à tromper le public qui n’a généralement pas une grande connaissance scientifique. » – SCE-info

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    • @ver de terre
      Pour comprendre notre position, il vous faut accepter d’écouter les scientifiques qui ont eu le courage de s’opposer aux dogmes, et non pas systématiquement ceux qui par confort et opportunisme suivent le dogme. Ceux-là, on les entend déjà indirectement tous les jours dans les médias, donc c’est bon.
      Par exemple Judith Curry. Elle souligne qu’un scientifique est obligé d’adhérer à l’idéologie du GIEC pour obtenir des crédits et avancer dans sa carrière : soit on renonce à l’intégrité scientifique, soit on peut faire une croix sur sa carrière.
      Si vous voulez l’entendre plaider sa cause et comprendre un peu mieux le contexte de corruption au niveau scientifique, il y a cette courte vidéo devant des responsables, qui résume un peu tout : https://www.youtube.com/watch?v=RLMkPX18aXA
      Ce n’est pas n’importe qui. Elle a été professeur à l’école des sciences de la terre et de l’atmosphère au Georgia Tech d’Atlanta. Décorée par l’American Meteorological Society, l’American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences. Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s’est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d’un projet politique ».

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    • couvou, je suis d’accord avec vous, il n’y a pas de big brother du climat.
      c’est plutot rigolo tous ces gens qui donnent des leçons de liberte en de referant sans cesse a des journaux d’extreme droites aux idées nauséabondes.
      pourquoi les gens supportent ou écoutent ce matraquage permanent ?
      parce que la plupart s’en fou!
      et qu’il fait un peu plus chaud qu’il y a 20 ans.
      le reste, c’est pour les spécialistes.

      bonne journée

      stephane

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      • coucou,
        vous donnez encore des lecons vous ! on a vu ce que ca donnait quand l’abonné au gaffiot etalait sa culture !
        entre les anes qui font hi han avec l’ia generative et les pros de l’orthographe, les pots de confitures sont vides !
        bonne journée

        stephane

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      • @Ballo a écrit : « ces gens qui donnent des leçons de liberte en de referant sans cesse a des journaux d’extreme droites aux idées nauséabondes. »

        Quelle sont ces journaux d’extrême droite, quelles sont les idées nauséabondes dont vous parlez ?

         » je suis d’accord avec vous, il n’y a pas de big brother du climat. »

        Il y a globalement un mouvement progressiste qui a récupéré cela. Le progressiste, du progressisme*, adore l’interventionnisme gouvernemental, c’est qu’il croit que le progrès ne peut venir que du gouvernement. Une administration centralisée gouvernementale pourrait apporter le bien pour toute l’humanité via une planification. Un genre d’étatisme à l’échelle mondiale.

        Ça n’est pas un Big Brother, car il n’a pas la capacité d’empêcher la contre-pensée de se développer. Mais il engendre un mouvement, et laisse se développer des mouvances, violent intellectuellement, dans une forme de terrorisme intellectuel, qui fera tout pour faire taire les climato-réalistes en les diabolisant.

        — « Le seul instrument de progrès dans lequel les progressistes aient confiance, c’est l’autorité gouvernementale. On dirait qu’ils ne peuvent rien imaginer d’autre, et qu’ils ont oublié que tous les progrès qui leur sont chers ont été obtenus en émancipant les hommes de la puissance politique, en limitant le pouvoir, en libérant les énergies individuelles de l’autorité et de la contrainte collective. » – Walter Lippmann (né à New York le 23 septembre 1889, mort le 14 décembre 1974, écrivain et homme politique américain.)

        —* »Le progressisme est une tendance idéologique, politique ou sociale, qui vise à promouvoir les idées de progrès, d’évolution et de changement par le moyen de réformes. C’est aussi un terme qui vise à confronter le progrès social face au conservatisme, perçu comme un statu quo résistant au changement, ou encore face à la pensée qualifiée de réactionnaire. Le terme désigne aussi le républicanisme modéré de la fin du XIXe siècle en France mis en œuvre par les gouvernements de Méline et Waldeck-Rousseau. » … « Au niveau politique, les personnes qui se déclarent de gauche prétendent être aussi des progressistes. Ils adoptent, pour la plupart, ce que les politologues appellent la suprématie de la doctrine de « l’intérêt général » défendue et protégée par l’État. Selon eux, les élus sont censés représenter la volonté du peuple, et les fonctionnaires exécutent donc consciencieusement cette vision de la volonté populaire. Or, le problème est que les autorités publiques ne poursuivent pas l’intérêt public car celui-ci est difficile à définir et qu’il serait insaisissable tant bien même que l’on puisse capturer suffisamment d’informations sur le marché politique pour le faire correspondre avec une politique publique. Comme le calcul économique en système socialiste, tout ce que peuvent faire les autorités publiques, c’est de s’appuyer sur des processus décisionnels lourds et obsolètes qui mènent à la faillite. » … – Wikibéral

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      • coucou,
        je m’adressais au donneurs de leçons, pas a vous mr conductor.
        je sais, c’est vain et idiot, mais des fois ça me gave.

        bonne journée

        stephane

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      • @Baloo
        Certains intervenants me gonflent moi aussi et c’est presque impossible de faire la moindre remarque sans se faire incendier. Je passe rarement maintenant, voir les mêmes habitués se monter le bourrichon et ressasser encore et encore de sempiternels arguments, plus ou moins délirants, sans tenir compte des études scientifiques récentes et des remarques qu’on peut leur faire, ne m’intéresse plus.
        Amicalement.

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      • @Cunctator91 @Baloo . Puisque vous trouvez cette communauté un peu trop déplaisante ou de trop faible niveau scientifique, je vous invite, très humblement, à suivre les travaux de la communauté Clintel et notamment la position scientifique du dernier prix Nobel de Physique.
        En espérant que ce ne soit pas encore ici de trop bas niveau pour vous :
        https://clintel.org/nobel-prize-winner-dr-john-f-clauser-signs-the-clintel-world-climate-declaration/

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      • Un peu de contexte sur clintel, un groupe de charlots :

        The Climate Intelligence Foundation (CLINTEL) is a Netherlands-based1 climate science denial group founded in 2019 by retired professor of geophysics Guus Berkhout and journalist Marcel Crok.2 Its principal view is that “there is no climate emergency.”3
        According to Dutch broadcaster KRO-NCRV Pointer, the 800 “scientists, scholars, and professionals” that support CLINTEL have “conducted little to no climate research.”4 DeSmog analysis has found that the list of signatories includes a commercial fisherman, a retired chemist, a cardiologist, and an air-conditioning engineer, alongside a number of retired geologists.5
        The organisation has close ties to Forum voor Democratie, the main Dutch nationalist party, and its leader Thierry Baudet, who has quoted statements by CLINTEL in the country’s House of Representatives.6
        Various members of CLINTEL’s list of ambassadors, and its extended list of signatories, have connections to libertarian free-market groups with a history of climate science denial, including the Heartland Institute, the Cato Institute, and the Competitive Enterprise Institute.7 All three organisations are members of the Koch-funded Atlas Network.8 9
        In September 2019, DeSmog obtained leaked drafts of letters scheduled to be sent to leaders of EU and UN institutions, insisting that “there is no climate emergency.”10 The letter was eventually sent to UN Secretary-General Antonio Guterres at the end of the month.11
        Later that year, the organisation held a European Parliament press conference hosted by the European Conservatives and Reformists group during which CLINTEL argued against the mainstream consensus on climate science.12
        During the COVID-19 pandemic, CLINTEL published an open letter titled “Fight virus not carbon,” where it described climate change as a “non-problem.”13 14
        Stance on Climate Change
        CLINTEL’s “World Climate Declaration,”15 a document which the organisation describes as a “summary of the view of many climate realists,” states that “there is no climate emergency.” It lists six main points, all of which are familiar climate science denial tropes that have been widely debunked:16
        Natural as well as anthropogenic factors cause warming;
        Warming is far slower than predicted;
        Climate policy relies on inadequate models;
        CO2 is plant food, the basis of all life on Earth;
        Global warming has not increased natural disasters;
        Climate policy must respect scientific and economic realities.
        A leaked draft of a letter to be sent to EU leaders and UN institutions also said there was “no proof” that carbon dioxide was a major cause of global warming.17
        Funding
        CLINTEL is largely funded by real estate millionaire Niek Sandmann,18who has invested half a million euros in the organisation, and real estate entrepreneur Cor Verkade.19
        Additionally, research by Follow the Money and the Platform Authentic Journalism, two Dutch investigative journalism sites, and data-journalism broadcaster Pointer (KRO–NCRV), found that oil money built up from the 1990s has filtered its way into the foundations of CLINTEL.20
        An article on Follow the Money’s site explains that Guus Berkhout founded the Delphi Consortium, a company that develops geo-imaging technology for the oil and gas industry, in 1982. Over 30 fossil fuel organisations were committed to paying €30,000 to €55,000 per year to have access to Delphi’s research, including Shell, BP and Chevron.21
        In 2014, Berkhout started another research project called the Center for Global Socio-Economic Change (CFGSEC), with €1.2 million of funding coming from the Delphi Consortium. With a network he built from this project, Berkhout founded CLINTEL.22
        Both Berkhout and Crok have denied that there is any oil or gas funding behind CLINTEL.23
        Key People
        Guus Berkhout is the co-founder of CLINTEL. He began his career working at Shell and later set up the Delphi Consortium, which develops geo-imaging technology for the oil and gas industry.24 Berkhout has also written a report for the Global Warming Policy Foundation, the UK’s most prominent climate science denial group.25 26
        Marcel Crok is the co-founder of CLINTEL. On Twitter he describes himself as a “science writer, ecomodernist, climate optimist” and writes that he is based in Amsterdam.“27 In 2019 he gave a speech at a TEDx event called “Climate cannot be experimented on.” The talk was subsequently reviewed by TED, which claimed it fell outside of TEDx’s curatorial guidelines.28

        Quant à John Clauser, physicien de 81 an, il est connu pour ses travaux (de qualité) sur l’intrication quantique, mais n’a jamais travaillé sur le climat. Quand vous aurez une maladie de peau, je vous conseillerai plutôt d’aller chez.votre dermato que chez votre urologue… Après, c’est vous qui voyez.

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      • @moro
        Vous êtes là moro ? je croyais que vous aviez claqué la porte de chez
        Rittaud et son ergastule.
        Je parlais de niveau d’agressivité, mais vous l’aviez compris,
        pas de niveau scientifique ; sur ce point @fudan94 vous a répondu.

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      • fudan94 a écrit : « Un peu de contexte sur clintel, un groupe de charlots : »

        « The Climate Intelligence Foundation (CLINTEL) is a Netherlands-based climate science denial »

        Première fakenews à la première ligne de l’article… Non, CLINTEL n’affirme pas qu’il n’y a pas de preuve scientifique d’un changement climatique…

        L’article en question ne remet STRICTEMENT en rien en question ce que peut affirmer Clintel.

        Pas grave. C’est un article dans dans l’argument d’autorité purement et simplement.

        Cunctator91 a écrit à Moro : « Je parlais de niveau d’agressivité, mais vous l’aviez compris,
        pas de niveau scientifique ; sur ce point @fudan94 vous a répondu »

        L’article en question n’a rien de scientifique. Ne démontre pas que la quantité de CO2 de l’activité humaine peut réchauffer toute la planète ni qu’il y aurait une urgence climatique.

        Vous aimez bien polluer le fils de discussion, Cunctator91, c’est ça ?

        Remettez en question avec des arguments valable ce qu’écrivent ceux avec qui vous n’êtes pas d’accord.

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      • fudan94 a écrit : « Quant à John Clauser, physicien de 81 an, il est connu pour ses travaux (de qualité) sur l’intrication quantique, mais n’a jamais travaillé sur le climat. Quand vous aurez une maladie de peau, je vous conseillerai plutôt d’aller chez.votre dermato que chez votre urologue… Après, c’est vous qui voyez. »

        Il se trouve que pour étudier les comportements des molécules dans l’atmosphère, il est juste préférable d’avoir des connaissances en physique cantique, chimie quantique.

        Afin de ne pas se déconnecter de la réalité physique.

        Aussi, pour votre gouverne : « La climatologie devrait-elle rester réservée aux climatologues comme l’insinuent certains media qui ont trop souvent tendance à la monter en épingle dans le cadre d’un débat non plus scientifique mais largement politisé ? Le mot-clé «climatologie» est l’un des 55 qui définissent le champ d’application des enseignements et des recherches dans le cadre de la section 23 « Géographie physique, humaine, économique et régionale » du Conseil National des Universités. Autant les universités savent définir pour éventuellement le recruter les compétences d’un mathématicien, d’un physicien, d’un chimiste, d’un biologiste, d’un géographe, autant la climatologie apparaît-elle ainsi à sa vraie place, une sous-discipline de la Géographie parmi 54 autres. Combien d’auteurs des rapports du GIEC, le Groupe d’Experts (traduction un peu pompeuse du titre anglais « Panel ») Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, justifient-ils d’une thèse en climatologie ? En tous cas, ni son Président actuel, ni le précédent. Les auteurs du GIEC ont généralement fait leur thèse dans d’autres disciplines et ont pris en marche le train du climat, devenu très politisé, promesse de crédits, de budgets, de contrats, de voyages, d’honneurs et de promotions. Arrhenius, lauréat du Prix Nobel de Chimie en 1903, à qui l’on attribue généralement la paternité de l’effet de serre atmosphérique, était-il « climatologue » ? » – François Gervais dans sa préface à La physique du climat.

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      • @Nicolas merci pour cette citation éclairante de l’inénarrable F Gervais.
        Sur ce coup ci je le trouve quand même petit bras, à la litanie des disciplines pouvant toucher à la climatologie il aurait pu invoquer les maths (ce cher Benoît), la sécurité routière (sacré Christian !), Les télécoms (ce bon vieux Camille), sans oublier la chiromancie, le tarot de Marseille et la sophrologie, et j’allais oublier le  » commentaire scientifique de Bob (tabernacle !). Bien vu quand même pour la physique cantique, utile pour chanter les louanges de saint Benoît.
        Plus sérieusement, ce que vous n’avez pas compris (voulu comprendre ?) C’est que ce n’est pas le marteau qui fait le charpentier – on peut maîtriser l’outil (au hasard la physique) et n’avoir aucune compétence dans une des utilisations de l’outil (au hasard, encore, la climatologie).

        Quant à la gouvernance du GIEC, vous n’ignorez pas que l’ambition de ce dernier va au-delà de l’étude du climat, et que ses groupes 2 et 3 travaillent sur l’adaptation et l’atténuation, on y retrouve donc légitimement les anciens humaines.
        Pour la présidence du groupe 1, la physique, j’attends toujours qu’un climato négationniste de.renom puisse attester de références similaires à celles des présidents du susdit groupe !

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      • La physique cantique, diable … vous avez des voix? La physique Kantique m’aurait fait vibrer comme une molécule !

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      • @fudan94

        Vous avez écrit que les gens de Clintel étaient des charlots, et pour appuyer votre argumentation, vous posez un article qui est dès sa première ligne est dans la « fakenews », et qui surtout, ne remet strictement en rien en question ce que peuvent affirmer les gens de Clintel. Ne prouve en rien que ce qu’il affirme est faux.

        Ce qui ne vous empêche pas de vous placer en petit donneur de leçons, et de les traiter de charlots.

        C’est vous le charlot ici.

        C’est tout ce qu’il y a comprendre.

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      • @Nicolas Toutes mes confuses pour le terme « charlots », trop daté, « guignols » aurait été plus approprié pour un manifeste signé par un marin pêcheur, un cardiologue, un technicien en climatisation et une charcutière (entre autres Einstein méconnus des temps modernes).

        Quant à la Fake news dénoncée, lorsque un groupe pose en préambule à son manifeste que (je cite fidèlement) : Natural as well as anthropogenic factors cause warming, et que les causes naturelles représentent moins d’un centième des causes anthropogeniques, si on n’est pas dans le négationnisme climatique, je veux bien traverser l’Atlantique sur un jet-ski à charbon, avec une remorque pour pouvoir mettre un congélo et un barbecue me faire des côtes à l’os tous les soirs.

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      • fudan94 a écrit « Natural as well as anthropogenic factors cause warming, et que les causes naturelles représentent moins d’un centième des causes anthropogeniques, »

        Ok… Je vois le niveau.

        Les forces d’ordres terrestres et cosmiques sont des milliards de milliards de fois plus puissantes que les forces liées à l’activité humaine.

        L’activité humaine ne prend pas le dessus sur les forces d’ordres terrestres et cosmiques (dites naturelles) qui ont, et qui ont eu, un impact direct sur les changements climatiques qu’a connu la planète durant toute son histoire.

        Avant la révolution industrielle, il y a eu des changements climatiques, les phénomènes d’ordres terrestres et cosmiques ayant engendré ces changements n’ont pas disparu comme par magie ces deux derniers siècles.

        Aucune mesure expérimentale, aucune expérimentation n’ont démontré, prouvé, que la quantité de CO2 de l’activité humaine dans l’atmosphère, pouvait réchauffer toute la planète et donc prendre le dessus sur les phénomène dits naturels, qui par le passé, ont engendré des fluctuations.

        Aussi, je vous rappelle que la climatologie, la paléoclimatologie, sont des sciences récentes bourrées d’incertitudes, d’hypothèses, d’inconnus, de probabilités, de marges d’erreurs, n’expliquant pas tout, incapable de le faire car faisant face à des phénomènes étant mal compris, voir pas compris du tout, aux interactions mal comprises, voire pas comprises du tout.

        Voire entre autres la turbulence, les nuages… Bref, c’est bourré d’inconnus.

        Donc, de facto, aucun modèle informatique climatique ne peut décrire la réalité. Vu que cette réalité est encore bourrée d’inconnus.

        Et ni le système AERI au sol (1), ni les données satellitaires (2) contrairement à la croyance.

        Si vous pensez le contraire, c’est que vous êtes l’idiot utile de l’une des plus grandes impostures scientifiques, si ça n’est pas la plus grande, de toute l’histoire des sciences modernes.

        « si on n’est pas dans le négationnisme climatique, je veux bien traverser l’Atlantique sur un jet-ski à charbon, »

        Et vous nous rajoutez une couche de connardise.

        Définition de négationnisme : « Doctrine niant la réalité du génocide des Juifs par les nazis, notamment l’existence des chambres à gaz. »

        Pire qu’un charlot donc.

        ///////////////////////////////////////////////////

        1 – les spectromètres de type AERI (Atmospheric Emitted Radiance Interferometer) pointés vers le ciel mesurent bien un rayonnement dans la gamme de 400 à 3000 cm-1 mais il provient essentiellement des nuages par réflexion, diffusion et/ou émission.

        Ce rayonnement dépend de leur composition (gouttelettes liquides, microcristaux ou mélange) et aussi de la température et de l’humidité atmosphérique.

        Quelques adeptes de la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique ont cru trouver dans le rayonnement enregistré par AERI une preuve expérimentale de l’effet de serre radiatif mais c’est de l’absorption qui se manifeste dans ce cas plutôt que de l’émission.

        En effet, la vapeur d’eau absorbe fortement entre 1450 et 1800 cm−1 tandis que le CO2 absorbe à 667 et à 2380 cm−1 et les spectres AERI présentent précisément des anomalies dans ces régions.

        Ceci est dû au fait qu’aucun rayonnement provenant des hautes couches atmosphériques ne peut atteindre les AERI au niveau du sol dans ces gammes de nombres d’onde car il serait absorbé sur une dizaine de mètres d’épaisseur atmosphérique par le CO2 et la vapeur d’eau.

        Les parties de spectre dans ces régions sont donc « récupérées » (« retrieved ») sur base d’un programme informatique reliant températures de brillance (température du corps noir qui émettrait la même intensité à la longueur d’onde considérée) et longueur d’onde émise.

        Ceci est clairement montré sur la fig. 1 de la référence DOE/SC-ARM/TR-066 « Retrieving Temperature and Moisture Profiles from AERI Radiance Observations ».

        En conclusion, si les AERI mesurent bien une « downward long wave radiation » ce n’est PAS une « back radiation » résultant de la fluorescence (désactivation radiative) du CO2.

        ///////////////////////////////////////////////////

        2 – Le Dr. Ryan Kramer, de la NASA, l’a lui même affirmé en 2021, concernant les données satellitaires, que cela ne montrait pas quel était le facteur qui engendrait des changements dans le bilan énergétique de la planète. Il l’aurait enfin prouvé, lire Observational Evidence of Increasing Global Radiative Forcing – 2021.

        Mais : Concernant l’étude de 2021 / Observational Evidence of Increasing Global Radiative Forcing – 2021

        Selon Kramer et al. 2021, les résultats de leurs recherches seraient la preuve directe que les activités humaines modifient le bilan énergétique de la Terre. Et bien entendu les alarmistes climatiques se sont emparés de ces résultats pour pointer du doigt les émissions de CO2…

        Pour comprendre cette étude très technique il faut savoir que les auteurs se basent sur le projet CERES (Clouds and the Earth’s Radiant Energy System) de la NASA, qui étudie le flux de rayonnement au sommet de l’atmosphère terrestre (TOA, Top of the Atmosphere).

        En effet, une série d’instruments CERES fonctionnent en continu sur des satellites depuis 1997. Chacun mesure la quantité d’énergie qui entre dans le système terrestre (des ondes courtes, en provenance du soleil) et la quantité qui en sort sous forme d’infra-rouges à ondes plus longues, donnant le changement net global du rayonnement. Ces données, combinées à d’autres sources de données telles que les mesures de la chaleur des océans, suggèrent qu’il existerait un déséquilibre énergétique sur notre planète.

        Cependant, si ce déséquilibre existe, les données CERES ne nous disent pas quels seraient les facteurs qui provoqueraient ces changements observés dans le bilan énergétique.

        Et c’est ici qu’intervient l’étude de Kramer et al 2021.

        Ces auteurs ont utilisé une nouvelle technique pour analyser la part du changement énergétique total qui serait causée par les humains… Les chercheurs ont calculé dans quelle mesure le déséquilibre était causé par des fluctuations de facteurs naturels, tels que la vapeur d’eau, les nuages, la température et l’albédo de surface (essentiellement la luminosité ou la réflectivité de la surface de la Terre).

        Par exemple, l’instrument Atmospheric Infrared Sounder (AIRS) du satellite Aqua de la NASA mesure la vapeur d’eau dans l’atmosphère terrestre. La vapeur d’eau absorbe l’énergie sous forme de chaleur, de sorte que les changements dans la vapeur d’eau affectent la quantité d’énergie qui quitte finalement le système terrestre.

        Les chercheurs ont ainsi calculé le changement d’énergie causé par chacun des facteurs naturels, puis ils ont soustrait les valeurs du total. La partie restante est le forçage radiatif qui serait causé par les humains.

        Nous sommes donc face à un traitement mathématique particulier de données obtenues par satellites, données elles-mêmes entachées d’erreurs instrumentales…

        Après avoir effectué leur calcul, les chercheurs ont découvert que les activités humaines auraient entraîné une augmentation du forçage radiatif sur Terre de (seulement) 0.53 ± 0.11 W/m2 entre 2003 et 2018, soit sur 15 ans.

        Selon eux, cette augmentation proviendrait principalement des émissions de gaz à effet de serre provenant d’éléments tels que la production d’électricité, les transports et la fabrication industrielle. Les aérosols réfléchissants (qui ont diminué ces dernières années) contribuent également au déséquilibre.

        Venons-en maintenant aux problèmes :

        – Est-il possible, à l’échelle mondiale et par des observations instrumentales, de distinguer les causes d’un écart de forçage radiatif de seulement 0,53 W m-2 sur une période aussi courte de 15 ans ? Il faut savoir par exemple que la précision des instruments mesurant la TSI (Total Solar Irradiance) varie entre ± 0.5 et ± 1.3 W/m2. Remarquons dès lors l’exploit des chercheurs qui obtiennent 0,53 ± 0.11 W/m2… Ceci n’est pas très sérieux…

        – Un changement si faible (0.53 W/m2) pourrait aussi être causé par une variation de la quantité de nuages dans la troposphère. Il suffirait que la couverture nuageuse ait varié de seulement 0.27% (voyez la discussion sur le blog de Judith Curry : https://judithcurry.com/2021/03/28/a-pertinent-climate-question/). Mais ceci n’est pas mesurable. Même une variation de seulement 1% de la couverture nuageuse n’est pas détectable à l’échelle mondiale… Les auteurs attribuent donc la variation détectée au taux de CO2 (car c’est politiquement correct) mais cela pourrait très bien être causé par une variation de la quantité de nuages.

        – Et même si tout ceci était vrai, et que les 0.5 W/m2 seraient bien causé par du CO2, rappelez-vous que le CO2 humain ne représente que 4% des émissions annuelles de CO2 (qui sont essentiellement naturelles)… Et n’oublions pas non plus que c’est l’eau qui est le facteur le plus important dans tous les phénomènes de transport de chaleur (avec une terre couverte à 70% par des océans). Non, cette étude de Kramer ne nous convainc pas!!

        Pour terminer, remarquons que les alarmistes climatiques n’aiment pas les satellites qui mesurent la température de la basse troposphère (par exemple les satellites RSS et UAH) car ceux-ci nous montrent que le réchauffement global n’est pas très important. Par contre, ils adorent les satellites lorsqu’ils démontrent qu’il y aurait un déséquilibre radiatif, comme dans le cas de Kramer et al. 2021…

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      • @Cher Nicolas Décidément il va falloir que j’attende encore un peu pour organiser mon sea trip avec mon jet ski au charbon.
        C’est dommage, je me faisais une joie de parcourir les océans en dégustant des côtes à l’os.
        J’admire votre effort pour vous convaincre, contre la communauté scientifique que le RCA est une fable bricolée par les Illuminatis pour nous gâcher la vie (et accessoirement m’empêcher de profiter de mon nouveau jet ski).
        A défaut de vous discerner un doctorat en climatologie, vous me laisserez la liberté de vous conférer le titre, purement honorifique, mais dont je vous autorise à vous prévaloir, de Don Quichotte du climat, vous trouverez aisément votre Sancho Panza et votre Rossinante parmi les contributeurs assidus de ce sympathique blog.
        Sur ce je vous laisse à vos délires et vous souhaite une paisible retraite, les vacances ayant une fin je dois redescendre au fond de la mine pousser des wagonnets (de panneaux solaires, saletés d’escrolos).

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      • @fudan94,

        en dehors de l’argument d’autorité et de l’insulte, qu’avez vous ?

        Qui pensez-vous convaincre, en dehors d’attardés intellectuellement de votre espèce n’étant pas capable de saisir ce qui est du domaine de la logique élémentaire, logique élémentaire que l’on commence à apprendre dés la maternelle avec des objets en plastique à faire entrer dans des trous.

        Ce que même un enfant serait en mesure de comprendre, vous en êtes incapable.

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  9. Ah superbe
    «  » » » » » » » Mais il me semble plus raisonnable de croire que la grande majorité à raison devant l’écrasante minorité. «  » » » » »
    Allez donc rejoindre votre colonie dans les trous de ver

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    • @Fritz
      Comme vous dites aussi plus haut :
      Aie le lombric , retournez dans votre galerie et arrêtez de nous mettres(!) vos turricules dans nos parterres

      Toujours fidèle à vous même, mais cette fois vous vous surpassez !!
      Primo, le dénigrement, secundo l’insulte et tertio l’exclusion.
      A ce rythme, vos parterres sont en voie de désertification

      Ecce, un petit dialogue tout de mon cru, ou du vôtre, mais qu’aurait pu pondre (pour filer la métaphore) ce cher Plaute :
      Ego « pourquoi êtes vous si méchant Fritz ? »
      Tu « Paceque »

      Valē semper pancraticē, medullitus te salutat Cunctator

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  10. J’imagine que l’image que vous vous faites de votre propre intelligence est surement terriblement plus grande que celle que je me fais de la mienne ^^, le sentiment de supériorité permet à l’être qui se dévalorise par rapport aux autres de se protéger des expériences quotidiennes de sa propre petitesse et des limitations de sa compréhension. Ou alors juste un énorme manque d’humilité.

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  11. Nicolas :

    Restons en sur la discussion concernant le réchauffement climatique.

    La courbe dont vous parlez est en fait une agglomération de nombreuses données de la communauté scientifique.
    Les proxies sont nécessaires pour pouvoir connaître la température avant les relevés par thermomètres. Différentes méthodes existent et se vérifient entre elles. Ainsi on peut connaître avec précision les températures il y a plusieurs milliers d’années.
    Le fait que la météo aujourd’hui ne soit prévue qu’avec plus ou moins 1 degré de précision ne remet pas en cause la précision des proxies. On ne parle pas du tout de la même chose puisque la météo prévoit le futur avec des modèles, et les proxies sont des relevés physiques du passé, dont le traitement statistique est validé par la grande majorité de la communauté scientifique (Ou alors doutez vous de l’honnêteté de cette communauté ? Il n’y a pas de honte à cela si c’est votre cas vous pouvez le dire)
    Enfin on peut donc déduire de ces relevés et des relevés actuels (que l’on peut aussi corréler avec les méthodes utilisée par les proxies) les tendances de températures. Et il devient indéniable que l’époque moderne et l’utilisation massive d’énergie fossile entraîne l’élévation de la température et modifie le climat.

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    • Ver de terre,

      je vous lis et je me demande comment il est possible d’être à ce point intellectuellement attardé.

      Il y a quelque chose de fascinant chez les gens de votre espèce, de fascinant et de terrifiant à la fois.

      Vous ne semblez même pas avoir le bon sens d’un ver de terre.

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      • Nicolas
        le ver de terre c’est le Würm , la dernière période glaciaire du pléistocène qui s’est terminé il y a 20 000 ans ; il faut laisser au ver de terre le temps de comprendre ce qu’il se passe

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  12. Bonjour, Ver de terre,
    « Il devient indéniable… et modifie le climat » est un argument d’autorité que vous devez démontrer.
    Lorsqu’on fournit des données comme la courbe en forme de crosse de hockey, il ne faut pas omettre de fournir les marges d’erreurs.
    Vous devriez être sans problème prêt à nous fournir toutes ces informations puisque vous parlez de précisions dans les reconstitutions à partir de proxys.
    Effectivement, les études des températures faites à partir de proxys ne font pas débat au sein de la communauté scientifique. Par contre, elles restent rigoureuses dans la méthode et celle qui a permis de réaliser « la » courbe que vous brandissez, est des plus douteuse.
    De nombreux scientifiques ont démontré la supercherie. D’ailleurs Mann n’a pas osé fournir sa méthode de construction lors du procès qu’il avait lui-même initié contre M. Tim BALL. Procès qu’il a perdu à ce propos.
    Lorsque vous parlez des modèles météorologiques qui prévoiraient le futur.
    De quel futur parlez-vous ? De qui et de quoi ?
    A quelle échelle prévoient-il ce futur ?
    Si vous regardez le chevelu des projections climatiques jusqu’en 2030-2050 ; toutes surchauffent mais pas une seule suit la tendance des températures réelles. C’est bizarre car le Forum Économique Mondiale parle des mêmes échelles. Y aurait-il une forme d’entente ?
    Il faudra aussi nous expliquer comment un modèle météorologique arrive à « prédire l’avenir climatique » surtout sur une terre sur laquelle il existe presqu’autant de climats que de régions.
    Mais vos compétences vont sans doute nous éclairer.
    Bien cordialement.

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  13. Difficile de suive ces fils ! Une question à Nicolas Carras : lorsque l’on observe à partir du sol les flux radiatifs descendants, comment évolue la partie ondes courtes non réfléchies (c’est assez facile à mesurer mais on ne peut bien sur remonter avant la mise au point des capteurs actuels) ? Le moteur net de l’atmosphère est en effet ces ondes courtes qui atteignent le sol et sont transformées en chaleur et en ondes plus longues.
    Ces ondes courtes sont soumises à l’albedo (par les nuages, un peu par les gaz et par le sol) et complètement perdues pour alimenter la machine (car renvoyées vers l’espace sans absorption). Et il n’y a bien sur aucune raison pour que ces facteurs d’albedo ne varient pas.
    Les ondes longues à forte absorption (qui sont celles qu’évoquent le plus les obsédés du changement climatique) n’ont guère d’intérêt car du fait de leur libre parcours assez faible, leur flux vertical descendant est pratiquement identique à leur flux vertical montant, ce qui donne un bilan très faible pour ces termes.

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    • Précision évidente (c’est mieux en le disant !) la presque égalité locale des flux montant et descendant des ondes fortement absorbées n’est pas vraie pour la couche la plus supérieure d’atmosphère (quelques dizaines de mb d’épaisseur bien au-dessus de la tropopause) car le flux montant n’a plus grand chose à traverser avant de s’échapper.

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    • Bonjour Jean-Claude BARESCUT,

      Je ne comprends pas bien le sens de votre question. « comment évolue la partie ondes courtes non réfléchies  »

      À quoi faites vous exactement allusions. Au rayonnement solaire (250 nm à 2000 nm (2 µm)) ?

      Si c’est ça, cela réchauffe la surface, c’est absorbé par la surface et ensuite dissipé.

      Vous pouvez posez la question directement a Monsieur Geuskens, la première référence de mon commentaire, le point 1 concernant les spectromètres de type AERI, est de lui, j’ai oublié de le citer… Désolé.

      Bien à vous.

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      • Je veux simplement connaître le flux solaire entrant net ( toutes fréquences venues du soleil) c’est à dire après déduction de ce qui est réfléchi sans changer de fréquence et qui n’alimente donc pas la machine atmosphérique.

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    • Vous avez écrit : « Je veux simplement connaître le flux solaire entrant net ( toutes fréquences venues du soleil) c’est à dire après déduction de ce qui est réfléchi sans changer de fréquence et qui n’alimente donc pas la machine atmosphérique. »

      Est-ce que ceci répond à votre question ? :

      — « En attribuant à la Terre un albédo moyen de 0,3 impliquant 30 % d’énergie réfléchie ou diffusée par la surface terrestre, l’atmosphère et les nuages (valeur mentionnée sur la fig.8* et flèche jaune ascendante) le rayonnement effectivement absorbé par le système Terre-atmosphère serait alors réduit à 70 % de 342 W m-2, soit 240 W m-2 . L’atmosphère (principalement la vapeur d’eau) absorberait 20 % de 342 W m-2 (voir fig. 2 ci-dessus et grande flèche orange sur la fig. 8). Finalement n’arriveraient à la surface terrestre que 50 % de 342 W m-2 (large flèche jaune descendante sur la fig. 8*) » – Georges Geuskens / L’effet de serre et le bilan énergétique de la Terre

      *La figure en question : https://www.science-climat-energie.be/wp-content/uploads/2020/12/Fig.08.jpg

      Sinon n’hésitez pas à aller sous l’article cité et poser la question a Monsieur Geuskens. Il vous répondra.

      A++

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  14. pédant, prétentieux,suffisant,fat,scolastique,pontifiant, infatué,vaniteux,arrogant,orgueilleux,pompeux,on ne sait quel terme convient le mieux à nos dupont dupond de la poele à frire,qui nous démontrent si besoin était à quelle clique nous nous confrontons
    on ne cesse de s’interroger sur les causes de cette hystérie imbécile qui traverse nos sociétés occidentales de nantis, en surpoids d’abondance inouie et inédite dans l’histoire de l’humanité

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  15. Bonjour, je ne remonte pas le fil, qui est touffu.
    Par construction, toute onde (quelle que soit sa longueur) qui n’est pas réfléchie avant d’atteindre le sol ou lorsqu’elle atteint le sol… rentre dans la litosphère ou dans l’océan.
    Tout simplement.
    Il s’agit de l’ « inbalance », un peu moins de 1 Watt par mètre-carré (en mettant de côté ce qui monte du centre de la Terre).

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  16. Coucou,

    pour détendre:

    En remontant du sud ouest, j’ai été surpris de voir les hirondelles se rassembler. Déjà à mi-aout ?
    En arrivant chez moi, dans le jura: plus d’hirondelle. Elles sont déjà parties !

    Alors, explication rationnelle ou catastrophiste ? ou les deux !

    Bonne journée

    Stéphane

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  17. https://www.cielvoile.fr/2023/08/la-retractation-choquante-d-un-article-sur-la-science-du-climat-montrant-qu-il-n-y-a-pas-d-urgence-climatique-est-comparable-au-scandale-du-climategate.html Ce qui confirme le titre de l’auteur « Beaucoup de bruit pour rien (4/4) « . En attendant un retour à la raison, le malus auto passe à 100 000 € en 2024 ! De qui se moquent-ils, quand rendront-ils des comptes aux contribuables français ?

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    • Ben non, quand un article est mauvais il est rétracté, c’est tout, la prochaine fois les auteurs travailleront plus sérieusement.

      Et le malus à 100KE, sérieux ? Vous voulez rouler avec quoi pour payer cette somme ? Un VAB ? Dépêchez vous d’en racheter un d’occaz, en ce moment on les envoie tous en Ukraine.

      Décidément je ne me lasse pas de ce blog !

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      • Bonjour, une simple auto correctement motorisée, ou un véhicule capable de tracter sera éligible au Malus à 100 000 €. Notez qu’en 2023 le Malus est de 50 000 €. Merci

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      • Fake news du siècle ou alors problème de compréhension basique, dans les deux cas c’est inexcusable.
        Faites l’effort de lire l’article, c’est pas compliqué : https://www.autojm.fr/blog/malus-ecologique-nouveau-bareme-pour-2024/#:~:text=Fix%C3%A9%20%C3%A0%2010%20%E2%82%AC%20par,%C3%A0%20la%20hausse%20d%C3%A8s%202024.
        Alors maintenant si par correctement motorisé vous entendez un monstre de trois tonnes, dangereux pour la planète et les autres usagers de la route, 100KE de malus semble bon marché, soyez heureux qu’on n’interdise pas ce genre d’aberration.

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      • fudan94 a »Ben non, quand un article est mauvais il est rétracté, c’est tout,  »

        Et bien entendu, pas un instant vous ne pourriez envisagez une corruption ?

        Pourriez-vous nous expliquez en quoi l’article en question est mauvais ?

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      • Cher @Nicolas, heureux de reprendre nos échanges constructifs, la réponse à votre question est accessible en un clic : https://link.springer.com/article/10.1140/epjp/s13360-023-04386-3?fbclid=IwAR1q7IPjUqWNhFiKw9DVJi32Fkyrmps5hTx18ryytuADENavJF3IUL-O4oE
        En résumé, les auteurs ont réfléchi avec leurs pieds, utilisé des mauvais jeux de données et fait de la mauvaise science en abordant une spécialité dont ils n’étaient pas familiers.
        Ils auraient pu corriger la copie mais ne l’ont pas non plus fait correctement, du coup l’article est parti à la poubelle.

        Après ce n’est pas un avis sur le fond : peut être qu’ils ont raison, mais il faudra mieux travailler pour le démontrer.

        Quant à la corruption… j’imagine que vous suggérez que c’est le lobby des moulins à vent, avec la collaboration des Illuminati et des Soulèvements de la Terre qui a fait pression sur l’éditeur, tout cela manipulé en sous-main par les reptiliens et les francs-maçons ?
        Les forces du mal sont partout et le Malin expert dans l’art de la dissimulation, mais parfois l’explication la plus simple est la meilleure : certains scientifiques sont des baltringues.

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      • « Fake news du siècle ou alors problème de compréhension basique, dans les deux cas c’est inexcusable.
        Faites l’effort de lire l’article, c’est pas compliqué :  »

        Emmerder les automobiliste à cause du CO2 …

        Et ce alors que strictement aucune mesure expérimentale, aucune expérimentation ne démontre, ne prouve que la quantité de CO2 de l’activité humaine peut réchauffer toute la planète.

        Tout est bon pour taxer.

        La « fake news » c’est : le CO2 de l’activité humaine réchauffe la planète.

        Et l’idiot utile, c’est vous.

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      • Aïe, il y a du niveau !
        Bon, un peu de lecture simple, basique :
        (…)
        Le CO 2 que les hommes ont ajouté à l’atmosphère au cours des 250 dernières années renforce la capacité de l’atmosphère à empêcher la chaleur de s’échapper (comme si cela épaississait la couche isolante) et exerce une influence croissante sur le réchauffement du climat. L’accroissement exact de cette isolation en un lieu et à un moment donnés dépend de la température, de l’humidité, de la couverture nuageuse, etc. Si l’on prend pour exemple des conditions de ciel clair (sans nuages) le CO 2 ajouté entre 1750 et aujourd’hui augmente la fraction de chaleur interceptée de 82,1 % à 82,7 %. Et si la quantité de CO 2 continue à progresser, l’aptitude de l’atmosphère à intercepter de la chaleur (d’où son influence en termes de réchauffement) augmente également, doublant la concentration en CO 2 à partir de sa valeur de 280 ppm en 1750 pour atteindre 560 ppm, soit 83,2 % par ciel clair. Une telle hausse représenterait une augmentation de juste 2,8 molécules pour 10 000 – autrement dit, moins de trois molécules de plus de CO 2 sur 10 000 molécules d’air augmenterait la quantité de chaleur interceptée de 82,1 % à 83,2 %, soit de 1 % environ. Si vous avez suivi jusqu’ici, deux choses vous ont peut-être étonné. D’abord, comment le fait de changer moins de trois molécules sur 10 000, c’est-à-dire 0,03 %, peut-il accroître la capacité de l’atmosphère d’intercepter de la chaleur selon un multiple de trente (1 %) ? Et deuxièmement, comment une simple augmentation de 1 % de la capacité d’intercepter de la chaleur peut-elle entraîner de telles conséquences ? La réponse à la première question dépend des détails du rayonnement infrarouge (chaleur) émis par la planète pour conserver sa fraîcheur. Si nous avons déjà évoqué la façon dont la quantité totale de ce rayonnement doit compenser la chaleur du soleil, il s’étale en fait sur un spectre de différentes longueurs d’ondes. On peut se les représenter comme des « couleurs », même si elles ne sont pas visibles par l’œil humain. La vapeur d’eau, le principal gaz à effet de serre, n’intercepte que certaines couleurs, mais comme elle les bloque à près de 100 %, ajouter davantage de vapeur d’eau dans l’atmosphère n’aboutirait pas à une couche isolante plus épaisse – ce serait comme ajouter une couche supplémentaire de peinture noire sur un carreau de fenêtre déjà peint en noir. Il n’en va pas de même du dioxyde de carbone. Cette molécule intercepte certaines couleurs qui échappent à la vapeur d’eau, ce qui signifie que quelques molécules de CO 2 peuvent avoir beaucoup plus d’effet (comme la première couche de peinture noire sur un carreau transparent). Ainsi, le potentiel supérieur d’une molécule de CO 2 dépend d’aspects relativement obscurs de la façon respective dont ce gaz et la vapeur d’eau interceptent le rayonnement de chaleur – ce qui montre, une fois encore, l’importance des détails quand on essaie de comprendre l’influence des activités humaines sur le climat.(…)

        Je vous fait grâce du reste de la démonstration que vous pourrez lire dans « Climat, la part d’incertitude » de Steven Koonin ce zadiste bien connu des lecteurs de ce blog.
        (Pas d’incertitude par contre sur le rôle du CO2, comme on le sait depuis plus d’un siècle !).

        Donc pour ce soir, une petite tisane (pas trop, vous risquez de devoir vous lever cette nuit) et lecture du chapitre 2 de l’ouvrage de Steven, vous allez apprendre plein de choses nouvelles et passionnantes 😉

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      • fudan94 : « En résumé, les auteurs ont réfléchi avec leurs pieds, utilisé des mauvais jeux de données et fait de la mauvaise science en abordant une spécialité dont ils n’étaient pas familiers.
        Ils auraient pu corriger la copie mais ne l’ont pas non plus fait correctement, du coup l’article est parti à la poubelle. »

        Avez-vous conscience que votre commentaire, dans l’argument d’autorité, comme tous vos commentaire ici, ne remet en rien en question ce que dit l’article ? Ne démontre en rien ce en quoi il est mauvais.

        Auriez-vous des problèmes d’ordre cognitif ?

        et non, non, il ne peut pas y avoir de corruption dans le monde des carbono-réchauffiste, dans le monde des sciences, au sein d’un organisme gouvernemental, ni aucune récupération idéologique, politique.

        Non, non. Ça n’est pas envisageable.

        Pour info. Je suis tombé là-dessus hier. Pure corruption idéologique :

        Déclaration en 2015 de Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) entre 2010 et 2016, lors d’une conférence en 2015 :

        « C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous nous fixons pour tâche de changer intentionnellement, dans un délai défini, le modèle de développement économique qui prévaut depuis au moins 150 ans, depuis la révolution industrielle…. Il s’agit probablement de la tâche la plus difficile que nous nous sommes jamais donnée : transformer intentionnellement le modèle de développement économique pour la première fois dans l’histoire de l’humanité. »

        Le charlatanisme a encore de beaux jours devant lui.

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      • Euh… ? A part les attaques ad hominem, je ne vois pas trop l’argument sur la corruption ? Ou alors on n’a pas le même dictionnaire…

        Oui, le modele de développement doit changer car il conduit à la destruction des conditions d’une vie acceptable sur terre pour les êtres humains (et on peut laisser le climat de côté, c’est une blague comparé à l’effondrement de la biodiversité).
        Les humains se sont comportés comme des primates qui voulaient toujours davantage de biens matériels pour satisfaire des désirs mimétiques et ce faisant ont littéralement salopé la cage dans laquelle ils vivent.
        Les boomers occidentaux sont largement coupables mais avaient au moins l’excuse de l’ignorance (enfin jusqu’à récemment). Les choses doivent changer sinon on court au désastre – je ne connais pas votre âge mais si vous avez, disons encore au moins 15-20 ans d’espérance de vie, vous n’y échapperez pas et c’est dans votre intérêt (comme à nous tous) que les choses se passent le moins mal possible.

        Une petite devinette pour la fin (vous pourrez la poser à vos copaines de bridge) :
        – qu’est ce qui sépare la civilisation de la barbarie ?
        – trois repas

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      • fudan94 : « Le CO 2 que les hommes ont ajouté à l’atmosphère au cours des 250 dernières années renforce la capacité de l’atmosphère à empêcher la chaleur de s’échapper (comme si cela épaississait la couche isolante) et exerce une influence croissante sur le réchauffement du climat.  »

        Aucune mesure expérimentale, aucune expérimentation n’ont démontré, prouvé, que la quantité de CO2 de l’activité humaine dans l’atmosphère pouvait réchauffer toute la planète.

        Et ni le système AERi au sol, ni les données satellitaires. Voir mon commentaire plus haut pour les références.

        Et les résultats des modèles informatiques du climat ne forment pas des preuves expérimentales.

        Les modèles ne décrivent pas LA réalité climatique, pour la simple et bonne raison que cette réalité est bourrée d’inconnus, d’inexpliqués, voire d’inexplicable.

        Qui peut expliquer par exemple le phénomène nuage ?

        Avec tout un ensemble d’interactions mal comprises, voire pas comprises du tout.

        Et concernant la turbulence. Impossible de mettre en équation la turbulence.

        Toujours pas de théorie générale de la turbulence, cela fait pourtant plus d’un siècle que des scientifiques ont le nez là-dedans.

        Ne peut être observé des transitions turbulentes et des comportements dynamiques que dans des systèmes ayant un très petit nombre de degrés de liberté. Dans un système modèle bien contrôlé de régimes multi-stables. Et les équations de Navier-Stokes n’ont pas permis à ce jour de montrer l’existence de solution régulière dans le cas général.

        L’effet de serre reste une hypothèse. Une hypothèse ne forme pas une loi universelle.

        La preuve est que des zones ayant été soumises à des hausses de CO2 n’ont pas été soumises à des hausses de températures.

        Qu’il y a eu par le passé des hausses de températures avec des taux de CO2 bien plus faible.

        La « théorie » (une hypothèse n’est pas une théorie) ne fonctionne pas partout apparemment.

        Hypothèse basée sur des concepts physico-chimiques qui ne sont pas en accord avec la théorie.

        Quand on commence à prendre des hypothèses, des probabilités, des résultats avec des marges d’erreur énormes, pour des preuves scientifique absolues, des preuves expérimentales, sur une base avec autant d’inconnus, c’est qu’il y a régression intellectuelle.

        Aussi, utiliser une soi-disant crise climatique, pour affirmer qu’il faudrait sortir du capitalisme libéral, c’est bien de la corruption idéologique. Sous-entendu que le capitalisme serait responsable d’une soi-disant crise climatique.

        On nage en plein délire.

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      • Bon, on va s’arrêter là !

        J’avais pourtant essayé en ayant recours à Koonin, dont la venue en France a permis au taulier de ce blog de faire des rêves mouillés pendant quinze jours en attendant sa visite, mais si même ce ponte de la physique ne vous convainc pas et que vous préférez vous référer à des galimatias pseudo scientifique, je vous laisse à vos élucubrations (prévenez moi quand même si vous recevrez un coup de fil en suédois pour vous proposer un prix, je viendrai faire amende honorable en venant à genoux jusqu’à chez vous, pour sacrifier devant votre porte un zadiste pouilleux et réduire son vélo en limaille avec une disqueuse).

        Prenez tout de même le soin de réfléchir avant d’écrire, ça évitera d’étaler votre ignorance – il n’est jamais trop tard pour faire.un peu de physique, bien maîtriser le programme de terminale c’est déjà une base convenable.
        (je cite) :
        « La preuve est que des zones ayant été soumises à des hausses de CO2 n’ont pas été soumises à des hausses de températures.
        Qu’il y a eu par le passé des hausses de températures avec des taux de CO2 bien plus faible. »

        Sur le premier paragraphe : totalement absurde, le CO2 fait parité des « well mixed greenhouse gases », il n’a pas d’influence locale mais se diffuse très vite dans l’atmosphère.

        Et sur le 2, encore plus bête, il y a de nombreux facteurs qui influent sur le climat, au hasard le rayonnement solaire, la répartition des continents, les paramètres orbitaux, le volcanisme etc. A titre d’exemple, avant le grand événement oxygenatif (même vous n’étiez pas encore né !) l’atmosphère était composée de méthane, il y avait moins de CO2 qu’aujourd’hui et pourtant ça chauffait sa race, frérot (= il faisait bigrement chaud).

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      • @fudan, Bonsoir, contraindre le choix du type de véhicule des contribuables est digne d’un pays communiste. Le choix doit rester libre en fonction de ses besoins ou de ses envies.
        Puisque vous défendez une économie communiste, trouvez-nous un véhicule non éligible à un énorme malus qui répond aux besoins universel et polyvalent suivant: Emport de 5 passagers, capacité de traction de 2 500 kg, 4 roues motrices et capacité de chargement de 500 kg, ceci afin d’avoir un seul véhicule familiale correspondant aux usages forestiers, de campagne, de montagne, familiale et de bricolage? Si vous trouvez, nous achetons. Il y en avait un, Mathilde Panot est passé par là pour imposer un malus de 50 000 €. Voilà le résultat, désormais, il faut une camionnette et une voiture…pour échapper au hold-up fiscal et pour conserver un peu de liberté de vaquer à ses occupations et ses obligations.
        Vous parlez de VAB…prenez seulement un minuscule Suzuki Jimny à 25 000 € qui est assujetti au malus à 14 000 €, sauf en 2 places. Nous n’évoquerons pas ici, la catastrophe économique engendrée par ces décisions ineptes.
        Le rabougrissement est la résultante de la Macronisation de notre pays, rappelons-le, ex 3 ème puissance mondiale, désormais 6 ème. La France n’a pas à payer et faire d’effort pour la démographie exponentielle de l’Afrique. Sans parler de la supercherie carbo-climatique, la France donne déjà l’exemple: https://static.climato-realistes.fr/2021/01/FicheACR9-1.pdf . Le choix de vie n’a pas à être imposé pour la Macronie essentiellement Davosienne. Merci pour cet échange et surtout, sortez de votre ville, vous aspirerez à la liberté.

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      • « Sur le premier paragraphe : totalement absurde, le CO2 fait parité des « well mixed greenhouse gases », il n’a pas d’influence locale mais se diffuse très vite dans l’atmosphère. »

        Vous avez bien des problèmes d’ordres cognitifs…

        Malgré cela, c’est ce que dit mon commentaire, des zones n’ont pas été soumises à des élévations de températures. Les données sont valable sur le site de la NOAA.*

        L’effet de serre est une hypothèse qui ne forme pas une loi universelle.

        Vous écrivez : « Et sur le 2, encore plus bête, il y a de nombreux facteurs qui influent sur le climat, »

        C’est exactement ce que je dis. et ces phénomènes sont encore à l’œuvre au moment même où j’écris ces mot.

        Rien ne prouve que la quantité de CO2 de l’activité humaine dans l’atmosphère aurait pris le dessus…

        Et malgré cela, le dernier rapport de synthèse du sixième rapport AR6 du GIEC, affirme explicitement dès la première page, que depuis 1850, c’est quasi, quasi la totalité de ce CO2 qui est responsable d’un réchauffement climatique.

        C’est une aberration scientifique totale. Ne reposant sur aucune preuve expérimentale.

        Les phénomènes d’ordres terrestres et cosmiques ayant par le passé engendré des fluctuations, n’ont pas disparu avec la Révolution industrielle, ni depuis 1950 et ont toujours un impact sur les climats de la planète.

        RIEN ne prouve que ce CO2 de l’activité humaine serait le facteur principal d’un réchauffement.

        *Également :

        « Lorsque l’on considère la planète entière, un accroissement de la température à long terme est observé dans les basses couches de l’atmosphère et la surface des océans, ce n’est un secret pour personne. Bien entendu, les médias et le GIEC trouvent ici un seul et unique coupable, le taux atmosphérique de CO2 et donc l’être humain.

        C’est cependant aller un peu vite car comme vous le savez peut-être si vous êtes un lecteur attentif de SCE, l’effet de serre est une hypothèse basée sur des concepts physico-chimiques qui ne sont pas en accord avec la théorie (voir par exemple ici et ici), et de nombreux autres facteurs sont capables de faire varier la température. L’une des preuves est que de nombreuses villes ne se réchauffent pas malgré l’augmentation significative du taux de CO2 dans l’atmosphère (voir ici).

        De même, au début de l’Holocène, le Svalbard (Arctique) était 7°C plus chaud qu’aujourd’hui alors que le taux de CO2 n’était que de 260 ppm (voir ici).

        Dans le présent article nous allons vous montrer que l’évolution de la température de la basse atmosphère sur l’ensemble du continent américain (USA) n’est pas corrélée avec le taux de CO2 atmosphérique, ni même avec les émissions anthropiques de CO2. Serait-ce une autre preuve? » – Prof. Dr. Jean N., Faculté des Sciences, Université Européenne – L’effet de serre ne fonctionne pas aux USA

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  18. fudan94,
    Vous semblez avoir foi dans les déclarations du GIEC. Permettez moi une très simple question : pourquoi, dans la troposphère, la température décroît-elle avec l’altitude ?

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    • Une autre question à fudan94 : pourquoi, si c’est prouvé, que le CO2 de l’activité humaine réchauffe la planète, le GIEC cherche-t-il encore à prouver ? Teste encore… Nous pond-il encore des rapports pour prouver que ça réchauffe ?

      Si c’est prouvé, c’est prouvé. Pourquoi continuer à chercher à prouver ?

      Imaginez des enquêteurs, prouvant, via les empreintes, l’ADN, des vidéos de surveillances, des témoignages, qu’une personne a bien tué quelqu’un.

      Cette personne est jugée, puis emprisonnée.

      Malgré cela, les enquêteurs cherchent encore à prouver que c’est bien elle qui a tué.

      Cela signifierait :

      1 – Que soit ces enquêteurs sont fous.

      2 – Soit qu’en fait, ça a mal été prouvé, qu’après le jugement il y a encore des doutes, et qu’il faut donc continuer à chercher des preuves.

      3 – Soit que les preuves étaient de fausses preuves, et que la personne a été emprisonnée de manière arbitraire. Que ça a fini par se savoir publiquement grâce à un autre enquêteur. Donc les enquêteurs essayent de prouver encore, inventent de nouvelles preuves, mais petit à petit, ils s’enfoncent de plus en plus dans le mensonge. Finalement se sont les enquêteurs qui sont emprisonnés, et le soi-disant criminel est libéré.

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      • Bonjour Carras, votre analyse est pertinente. La réponse est sans doute qu’il faut continuer de polluer les esprits avec cette histoire carbo-climatique. Comme toute religion, il faut un édifice pour entretenir la foi des croyants, cette édifice s’appelle le GIEC (et même d’y ajouter un E inopportun). De plus, s’agissant d’une néo-religion qui s’adresse à une jeunesse crédule, il convient d’utiliser les moyens de communication moderne, dont la presse aux ordres se fait le porte étendard. C’est le même scénario qu’en 1933 avec les jeunesse Hitlériennes. La lutte contre cette idéologie mortifère s’annonce rude, mais le vent commence par tourner. Merci pour vos interventions instructives et de qualité.

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      • Dans une nouvelle de Rufin, une Kirghize éblouie par la France s’en fait enseigner la langue par un filou ne pratiquant que le hongrois. Je vous laisse imaginer la scène quand elle débarque enfin à Paris!

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      • Cunctator91,

        Mon commentaire était purement une provoque.

        Je n’aime pas les rationalisations que font Platon et Aristote de la poésie. Je ne crois pas que ni la poésie, ni la tragédie, imitent la vie.

        Le poète observe le monde et en donne une interprétation, cette interprétation n’est pas une imitation. Ça passe par beaucoup de « filtres », de chose qui orientent l’œuvre. Et le poète lui-même n’a pas conscience de tout ce qui en lui oriente.

        Et je ne pense pas me tromper en affirmant qu’Aristote est loin de saisir le pourquoi du comment du processus qui amène à écrire un poème. Je ne crois pas que cela puisse être rationalisé de toute façon.

        Il faudrait que je me tape son « De la poétique ».

        A++

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