23 réflexions au sujet de « Christian Gerondeau aujourd’hui sur YouTube »

  1. Bonjour, excellent, merci Christian pour cette réinformation claire et limpide. Le titre me fait un peu penser au célèbre film « Les douze salopards » et sa blague en corolaire « s’il y en avait fallu un treizième…. » et de désigner un individu peu recommandable. En revanche, pour ce titre « Les douze mensonges du CIEC », nul doute qu’il y a largement de la place pour un treizième, voire bien davantage … La liste des salopards et des profiteurs de cette escroquerie en bande organisée serait même interminable. Merci. Bien à vous

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  2. Bonjour, à propos de cette gigantesque supercherie, dans la famille nous commençons par boycotter les marques qui se gargarisent en permanence de slogan infantilisant et mensonger du genre » bon pour la planète, bon pour le climat, moins de C02, plus vert, électricité verte, 100 % électrique, etc… » et tous ce genre de tapage marketing à la solde des escrocs en col blanc, et ce, encouragé par l’ONU et les ONG aux financements douteux. Plus une publicité ne fait l’impasse sur ce thème marketing du moment. A mon sens, il est temps de faire le tri et de ne plus acheter les produits des complices de cette escroquerie. En résumé, nous pourrions établir une liste de marque ayant une communication sincère, digne et non basée sur l’escrologie, le mensonge scientifique et la duperie. Nous pourrions même créer un label  » non escrologue ». J’avoue que cela va être difficile en France, mais en cherchant bien ! Merci. Bien à vous

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  3. Le problème n’est pas simplement négatif, le problème est positif aussi : on n’arrive pas par idéologie à imposer un égalitarisme et une mythologie qui unie le groupe français. L’égalitarisme permacole me semble suffisant, pour autant je vois pas de mythologie suffisante à l’heure actuelle. Vendre l’éternelle propagande poétique du communisme (ou du fachisme qui l’a réinterprétée et exploitée) ne marche plus, l’éternelle propagande religieuse de la pensée apocalyptique marche moins bien et la mythologie de la société de consommation s’essouffle.

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  4. Bonjour à tous, je me permets de venir émettre quelques critiques sur cette vidéo. Sachant que je n’ai pas lu l’ouvrage de Mr Gerondeau, je me contenterai donc de seulement souligner les erreurs et traitements analytiques qu’il a proférés durant cet entretien et qui me semblent poser problème. En réalité cette intervention de 29 minutes est du pain-béni pour les alarmistes du RCA, réchauffistes apocalyptiques de tout poil et militants néo-écologistes a-scientifiques grands pratiquants de la dialectique sophiste. Je m’explique : le discours de M. Gerondeau n’est entendable que pour les déjà convaincus, les adeptes anti–Giec qui ont déjà fait leur religion et sont aveuglément certains que le Giec « trompe le monde ». Mais ceux qui au contraire sont dans l’autre église, celle de l’urgence climatique ne peuvent qu’éclater de rire, ou mieux, démontrer que les climato-sceptiques renommés climato-réalistes sont de simples lobbyistes prêts à tout dire, même des mensonges, grâce à cette vidéo.

    Parce que c’est là que la bat blesse : M Gerondeau fait porter des fausses affirmations au Giec et établit une sorte de conspiration globale des gouvernements — originelle — pour expliquer que leurs rapports sont à la fois mensongers et effectués seulement par des « politiques ». Lorsque l’intervieweur demande « mais quand même pourquoi ces scientifiques ne savent même pas calculer une progression du niveau des mers », M Gerondeau répond « parce que le Giec n’a pas d’experts », avec une sombre histoire de traduction entre IPCC et GIEC où la notion d’experts n’est pas présente dans l’appellation anglaise mais l’est dans la français et dans d’autres langues. C’est assez affligeant et surtout très facile à démonter comme argument, pour qui connaît le GIEC et son fonctionnement. Le principe des 3 groupes de travail, des chercheurs qui y contribuent, du tri et analyses des différentes études, des rapporteurs critiques (dont M Gervais a fait partie d’ailleurs), etc… Donc expliquer qu’il n’y a pas d’experts au GIEC est franchement à côté de la plaque. Sauf à vouloir décrédibiliser les climato-réalistes, mais il ne me semble pas que M Gerondeau ait cette volonté… Et puis M Gerondeau sait comment fonctionne le Giec, donc cette démonstration qui voudrait qu’il n’y ait pas d’experts scientifiques qui travaillent aux rapports du Giec est très étrange et ne peut qu’attirer la méfiance. Voire pire.

    Les affirmation du type « Le Giec établit la montée des eaux à 15 mètres pour la fin du siècle, Bordeaux serait recouverte par les eaux, alors que le niveau des océans ne monte que de 2 millimètres par an », est là encore une énormité qui ne peut que desservir le discours de M Gerondeau. Deux chercheurs ont certes sorti une étude délirante — très relayée par la presse bien entendu — durant l’été 2021 qui établissait ce genre d’affirmations fallacieuses, mais ensuite, un rapport intermédiaire du Giec sur le sujet (la montée des eaux), n’a pas du tout fait cette prédiction. La prédiction du Giec tablait sur 50 cm en 2050, ce qui ne recouvrait pas du tout Bordeaux, même si cette projection de 50 cm en 30 ans est scientifiquement discutable. Donc entre 15 mètres prédits et 50 cm, il y a un pas que le Giec n’a jamais franchi, mais que M Gerondeau lui fait franchir… C’est très gênant à mon sens.

    Pour qui a lu les rapports du GIEC (au moins en partie, ils font plusieurs milliers de pages chacun), il est impossible de parler de pure mensonge de la part de ces rapports. Ces rapports ne sont en fait que des compilations d’études ayant pour base scientifique un seul et même objet : l’augmentation (théorique) de l’effet de serre par les rejets de gaz déclarés du même type depuis 1870, ses conséquences et ses effets sur le climat futur. Les chercheurs payés pour démontrer quoi que ce soit en lien avec les 1°C d’élévation (théorique) de la température planétaire sur cette période sont simplement… convaincus par la théorie. Ils gagnent leur vie et sont publiés parce qu’ils ont adhéré à cette théorie qui est la seule théorie mondiale et officielle sur le climat acceptée. Que la théorie soit contestable, voire fausse, ou même une pure construction qui n’est pas vérifiée scientifiquement par d’autres chercheurs, n’a absolument plus aucune importance puisqu’elle est LA théorie officielle, incontestable, et qui explique à elle seule cette élévation de température.

    Dans ce contexte — à la fois politique et scientifique — parfaitement verrouillé du GIEC et du RCA, où la majorité des acteurs engagés le sont avec une conviction tout à fait béate et sincère, il n’est pas très constructif ni très adéquat de leur faire dire ce qu’ils n’ont pas dit ou leur faire porter des actions, volontés et autres malversations qui ne sont ni démontrables ni vérifiables. On tombe très vite dans la théorie du complot et autres accusations de conspirationnisme qui permettent alors aux croyants des thèses officielles sur le RCA de se débarrasser très vite de leurs détracteurs.

    Pour avoir longtemps travaillé sur les théories dites complotistes (non prouvables) ainsi que sur des véritables complots (politiques souvent, mais pas que) démontrés comme tels, sur les méthodes de propagandes, d’influences psycho-sociales et autres techniques militaires de PsyOp, il me semble que la nature du problème de fond avec le GIEC et les conclusions sur le RCA ne peut être combattue avec des arguments simplistes et accusateurs comme le fait M Gerondeau dans cette vidéo. La réalité est bien plus complexe que ça. Et même si c’est « énorme » — parce que toute cette affaire du RCA géré par un robinet à CO2 que les nations devraient fermer ou réduire pour « réguler » le climat, est énorme —, dénoncer l’énormité ne peut pas fonctionner. Surtout en exagérant l’énormité. Une génération entière a été éduquée avec comme connaissance officielle le fait que le CO2 est un polluant qui va créer une apocalypse climatique. Venir lui expliquer que tout ce qui leur a été dit à l’école est faux et qu’au contraire le CO2 est bon pour la planète, la verdit, etc… n’a que peu de chances d’être entendu. Et surtout crée une dissonance cognitive. Qui est immédiatement et nécessairement réduite avec des arguments tout prêts et qui font mouche : « oui, mais trop de CO2 c’est dangereux, il n’y en a jamais eu autant dans l’atmosphère depuis 100 000 ans, etc, etc…

    Sachant qu’il est politiquement établi que la gauche dite progressiste défend le climat et les thèses du Giec, comme la droite libérale et sociale, alors que les droites conservatrices, nationalistes, réactionnaires, identitaires (dont l’extrême droite) contestent ces thèses du RCA, il est devenu très difficile de contester le GIEC sans être assimilé à cette partie de l’échiquier politique, que je trouve nauséabonde à tous les égards, pour ma part. Comme je trouve affligeante, très inquiétante et affligeante, la « gauche militante pour le climat », abreuvée à la cancel culture et et autres thèses autoritaires qui me rappellent des passages de l’histoire très sombres comme on dit, rapport à un petit livre rouge, par exemple. Il est donc peut-être temps de chercher à savoir comment dévoiler la « farce du RCA » aux foules, mais de manière claire, neutre, scientifique et dégagée de toute idéologie ou volonté politique plus ou moins affichée. C’est en tout cas ce que je retire de cette intervention, qui à mon sens est parfaitement contreproductive.

    Bien à vous tous.

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    • Déjà 50 cm en 28 ans est une énormité assez grosse vu la vitesse actuelle de la montée du niveau des océans, de l’ordre de 0.3 cm annuel. Il faudrait 1.7 cm, on en est loin. Détrompez moi si j’ai faux.
      Sinon j’aime bien votre intervention..

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    • Bonjour, je crois qu’entre autre aussi, il est important de ne surtout pas tomber dans le godriole et se préserver de toute touche d’humour dans les arguments attaquant la doxa. Le protagoniste se sentent immédiatement humiliés et c’est tout aussi contre-productif. Factuel, factuel, et toujours factuel, sans aucune, même minime, exagération d’aucune sorte. Les faits avérés sont déjà bien suffisamment conséquents.
      En ce sens, personnellement, je trouve que le ton habituel de Benoît est en juste nuance.

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    • Entièrement d’accord avec vous, Draphermundo. Et j’ajoute que les écrits de Gérondeau sont malheureusement de la même veine. Ca et là quelques infos intéressantes, mais que de raccourcis, d’exagérations, de caricatures… et d’erreurs de physique. Pour s’attaquer à un monstre, il faut être beaucoup mieux armé.

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  5. @draphermundo
    Merci d’avoir démontré que la question climatique est une affaire politique et n’a rien a voir avec la science ; si Monsieur Macron arrive à imposer une nouvelle matière éducative dans les écoles qui s’intitulera  » écologie » on en reviendra à l’ère de la Hitlerjugend
    «  » » »Dans les Jeunesses hitlériennes, l’entraînement physique et militaire passait bien avant l’instruction scolaire et scientifique. «  » » » »( piqué sur WIKI)
    D’ailleurs je vais remettre en suivant mon commentaire concernant un article d’un climato sceptique connu que vous pourrez lire et commenter si cela vous dit

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  6. Monsieur Rittaud , je sais lire , mais j’ai compris que vous ne prenez pas le temps de lire ; le message que vous avez supprimé deux fois ne concerne pas MON OPINION sur l’invasion de l’Ukraine , mais celle de Monsieur Michel Gay ( je ne sais pas si c’est votre ami ou votre ennemi) dont j’aimai bien les idées et les papiers sur CONTREPOINTS mais dont ce papier m’a surpris ; je pense que la pandémie du covid et l’invasion de l’Ukraine vont bousculer bien des avis des gens qui ne comprennent rien à la science du climat ou au futur énergétique de la société , je veux parler des hommes et femmes politiques
    Mais pour en revenir à votre commentaire , faire le lien entre la crise ukrainienne , la vidéo de Gérondeau et les douze mensonges du GIEC n’a rien de hors sujet

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    • C’est pourtant simple : qu’il s’agisse de votre opinion ou de celle d’un autre, un hors-sujet reste un hors sujet. Et dire « ça n’a rien de hors-sujet » n’est pas un argument : en l’espèce, le hors-sujet se voit autant que dans « épilepsie et changement climatique ».

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  7. Bonjour à tous.
    Merci M.Gérondeau pour cette vidéo globalement convaincante. Quelques critiques :

    Ordre des arguments pour défendre le CO2 : C’est une erreur de com assez importante.
    – 1er argument : « De toute façon, les pays en développement en produiront inévitablement pour leurs besoins de développement.  »
    – 2e argument : « Photosynthèse, Pas de vie sans CO2. »
    C’est très important d’inverser cet ordre. À défaut, la vidéo ne s’adresse qu’à nous, déjà convaincus. Or il faut s’adresser aux « convertibles » en premier, à nos « adversaires », en second, et à nous en dernier. Car dans l’absolu, si réellement le tiers monde nous mène à l’apocalypse climatique, alors la seule solution raisonnable, c’est de le contraindre diplomatiquement puis militairement pour l’éviter. Cet argument du « tiers monde qui se développera de toute façon » doit venir en dernier, et en petits caractères, derrière tous les autres arguments: 1) la photosynthèse, 2) contre-exemple préhistorique (taux CO2 mésozoïque sans catastrophe climatique) 3) contre -exemple récent (30 glorieuses) 4) l’absence de démonstration autre que les modélisations, etc.
    Imaginez que l’on découvre un processus révolutionnaire qui produirait une énergie 10fois moins chère que le charbon, mais qui rendrait l’air de la planète si toxique qu’en moins de 5 ans 95% des humains périraient, nous compris. Dirions-nous « oui mais de toute façon, les autres vont s’en servir ? ». Non bien sûr. Nous attaquerions militairement les centres de production, évidemment. Donc l’argument doit être dit, mais en dernier. À défaut on passe pour des ayatollahs du pétrole.

    Montée de la mer :
    Ici aussi le premier argument cité est « l’ordre de grandeur de 3mm/an ». Je mettrais en premier le fait que la mer a toujours monté, et que ce rythme de 2 à 3mm/an est constaté bien avant l’ère industriel. « L’ordre de grandeur », vient en second derrière le fait qu’il n’y a rien de nouveau. Pour les gens à convertir « 2 à 3mm » est secondaire devant « rien de nouveau ». Car pour eux, si c’est l’homme qui fait monter la mer, même un tout petit peu, c’est grave quand même.

    Une petite imprécision :
    Il est dit minute 11’34 » « Les énergies renouvelables, c’est ou bien les éoliennes, ou bien le solaire… elles sont intermittentes, on ne peut pas compter sur elles ». Il y a confusion en « renouvelable » et « intermittentes ». En effet, l’énergie hydraulique et l’énergie bois sont renouvelables et pilotables (non intermittentes).

    Tremblements et cadrage :
    La vidéo tremble beaucoup coté C.G., ce qui agace un peu. De même, c’est filmé de dessous (vers le plafond). Ces deux défauts se règlent facilement en investissant dans une perche à selfie à 30euros (qui inclut un trépied au bout du manche).

    Le parallélisme avec la religion est bien exprimé.

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    • Merci M.Gérondeau pour vos actions. L’objet de mes remarques c’est uniquement d’améliorer notre pouvoir de conviction en essayant de me mettre dans la peau des personnes « convertibles » (c’est à dire pas trop bornées), ce qui n’est pas simple et que je ne suis pas sûr de faire mieux que vous, bien sûr.

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    • @dominiquecrestey A la limite du hors sujet (car remarque sur le fond d’un argument de CG et non sur la méthode comme tu le fais ici) : Ci-dessous, un article juridique sur l’opposition du droit au développement avec celui de l’environnement. Les pays pauvres s’appuient sur le droit au développement dans la gestion de leur environnement alors que l’UE s’appuie maintenant sur le droit à l’environnement. Et dans les faits, les pays pauvres choisissent bien le droit au développement avec le risque pour l’UE qu’elle s’isole internationalement sur le marché des matières premières avec ses barrières environnementales à l’entrée de son marché.
      https://www.village-justice.com/articles/droit-developpement-urgences-climatiques-liceite-projet-fermeture-marche,42129.html?utm_source=alerte_article

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      • Salut Cédric. Ben non, je ne trouve pas que c’est hors sujet. Droit au développement versus droit à l’environnement, c’est précisément ce qu’argumente C.G. sans arrêt et à raison, quand il dit que brider l’utilisation des fossiles au tiers monde équivaut à plus de mortalité infantile. Amitiés Dominique

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      • Regarde ce que le CNRS a financé pour l’envoyer à toute la représentation nationale française:

        C’est pas du Gérondeau,; mais du nécolonialisme pur car le climat est pour eux une question globale qui s’impose aux nations, une conscience planétaire (mais surtout occidentale dans les faits), qui entend dicter aux pays du monde ce qu’ils doivent faire de leur énergie, via les Nations Unies, cette organisation d’arrivistes qui ne voit que par le pognon qu’elle procure à ses consultants; administratifs et politiciens recasés.
        Tout cela n’est qu’une honte pour l’humanité. Que le CNRS marche dans ces politiques globales montre bien le piètre niveau de la neutralité de la recherche française, ici politisée à outrance (envoi de la propagande GIEC remâchée par un décroissantiste à tous les politiques français quand même !), et ne fait que refléter le déclassement de la puissance de la France, dans pas mal de domaines scientifiques, où le dogme comme ici l’emporte sur toute analyse pragmatique de développement endogène, souverain, choisi dans l’intérêt des diversités nationales,.
        A vomir mais BonPote est estampillé CNRS France.

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      • Merci Cédric, on voit là ce qu’ils disent ce qu’ils disent sur nous https://vvv.cnrseditions.fr/catalogue/ecologie-environnement-sciences-de-la-terre/tout-comprendre-ou-presque-sur-le-climat/ sur nous (j’ai remplacé les 3 w par 3 v pour éviter référencement ). Sur ce lien, en cliquant sur « lire un extrait » on voit aussi quelques pages du contenu. Celles sur le « consensus » donne une bonne idée du restant…

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      • Merci Dominique. Justement, il est édifiant que la page d’introduction et la trame du livre s’appuient méthodologiquement sur une critique de beaucoup des arguments climato-réalistes. Dès fois, je me demande si le fait que nous existions ne leur permet pas d’exister à travers nous et que si on se retirait du débat, ils ne s’écrouleraient pas sur le poids de leur propre bêtise, faute d’ennemi désigné à combattre pour qu’ils fassent corps. En tous cas, cet ouvrage démontre bien que sans nos arguments, ils ont du mal à construire un autre discours.
        On notera pour finir la piètre approche scientifique du livre : on reprend un argument climato-réaliste en quelques mots seulement puis on déroule un argumentaire climato-alarmiste en plusieurs pages et graphiques. On a vu mieux pour éclairer dignement un débat scientifique en cours. Mais il ne s’agit plus de vision neutre et objectif diffusée par le CNRS mais de propagande.
        Bonus : la police du livre proche du Comic Sans MS, que même les enfants n’en veulent plus à lire. Police de caractère infantile qu’on envoie à toute la représentation nationale dans le genre « vous êtes trop cons l’élite politique, voici une BD Pif Gadget pour vous aider à comprendre ».

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      • Bonjour à tous, Préface de Valérie Masson-Delmotte & association avec un « blogger » spécialisé dans l’escroquerie climatique en bande organisée, le CNRS est tombé bien bas. Un grand Reset est nécessaire, mais pas pas tout à fait celui qu’ils veulent nous infuser. Merci. Bien à vous

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