Arrivé hier dans ma boîte aux lettres. Pas vraiment la meilleure manière de vous souhaiter à tous un joyeux noël, même si je profite de l’occasion pour le faire. Voici donc ce qu’ont récité les enfants d’une école primaire il ya quelques jours, à l’occasion de leur fête de fin d’année.
Si j’étais un oiseau,
je monterais très haut,
J’irais voir les étoiles,
dans mon vaisseau spatial,
Je verrais alors la Terre,
sous un manteau de poussière.
Avec toutes ces pollutions,
on mériterait une bonne punition,
Mais ça ne servirait à rien,
car tout ça ne changerait pas demain.
Cet effet de serre,
tout autour de la Terre,
Ne pourra pas s’en aller,
si nous continuons de polluer,
Il faut agir vite,
car le réchauffement climatique
Ne fera pas attendre,
même si on lui demande.
La propagande lave le cerveau de nos chères petites têtes blondes ! C’est inacceptable !
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…..Et ensuite, il faudra leur faire un poème expliquant que pour lutter contre l’effet de serre, il faut construire des éoliennes et des panneaux solaire afin de produire de l »électricité « verte », en se gardant bien, celà va de soit, de préciser que des centrales thermiques sont nécessaires pour compenser l’intermittence de ces « renouvelables » !
Ca tombe bien, nos petites têtes blondes ne sont pas encore suffisamment « mûres » scientifiquement, pour comprendre tout celà……. Ca aide à la propagande !
Climatiquement vôtre. JEAN
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C’est ça le « nudging »: utiliser les enfants pour attaquer les parents.
Ce n’est hélas pas la première fois qu’on utilise ce genre de méthode, mais avant, ça n’avait pas un nom gentillet et snob. En anglais, ça fait moderne.
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c’est une arme classique et par nature totalitariste
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Le sage confucéen disait : « Écoute toujours attentivement tes professeurs, mais ne les crois jamais ».
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Bien, ça me rassure, c’est ce que je répète à longueur de temps à mes élèves.
Bonnes fêtes à tous et vive la science.
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Bonjour l’amalgame pollution – effet de serre…
Joyeux Noël quand même.
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Quelques mots-clés me viennent en tête : « ingénierie sociale » « totalitarisme féminin » « triangle de Karpman » … je quote Aldous Huxley (Retour au Meilleur des mondes)
« Sous la poussée d’une surpopulation qui s’accélère et d’une
sur-organisation croissante et par le moyen de méthodes toujours plus
efficaces de manipulation des esprits, les démocraties changeront de
nature. Les vieilles formes pittoresques — élections, parlements, Cours
suprêmes, et tout le reste — demeureront, mais la substance sous-jacente sera une nouvelle espèce de totalitarisme non violent.
Toutes les appellations traditionnelles, tous les slogans consacrés
resteront exactement ce qu’ils étaient au bon vieux temps. La démocratie et la liberté seront les thèmes de toutes les émissions de radio et de tous les éditoriaux. Entre-temps, l’oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée de soldats, de policiers, de fabricants de
pensée, de manipulateurs des esprits, mènera tout et tout le monde comme bon lui semblera. «
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C’est extrêmement bien dit : « Sur-population », « sur-organisation », « sorte de totalitarisme non violent », « oligarchie au pouvoir », tout cela colle assez parfaitement à ce que j’en pense.
Tout cela se met en place implacablement, lavage de cerveau compris, sans aucune opposition.
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Ne désespérez pas! Pour moi, à cet âge, il y a 75 ans, tout était «Doux Jésus, gentil et bon» (Gentle Jesus, meek and mild). Ce n’ai laissé aucune marque sur moi!
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Noël est passé, le temps est à la détente… Je vous propose une version alternative, en respectant l’esprit du texte initial (ainsi que les rhymes, même si elles ne sont pas très riches):
Si j’étais un gogo,
A chaque fois qu’il fait chaud
J’accablerai les poêles
à charbon du Baikal.
Ces russes de misère
Polluent mon atmosphère,
Et leurs émanations
Comme d’autres à Canton
Violent les droits humains
Des gens de Saint-Germain.
Contre l’effet de serre,
Il faut lutter mes frères!
Point de prospérité
Pour les non alignés.
Et il faut agir vite,
Car réfléchir m’irrite,
Et j’ai bien soif de pendre
Qui refuse d’entendre.
Je précise pour ceux qui lisent trop vite que le texte initial n’était pas de moi.
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moi je vous propose celui là :
Tous petits pouillons à très grandes gueules
Sont toujours fâchés contre leurs voisins.
Guerres et tueries occupèrent en vain leurs aieuls
Maintenant s’accusent de crever les brins de foin.
Mais le soleil qui dessèche la moisson
Ignore tout de ces microscules vanitons.
Ainsi s’afflige la nation pouillonne
Toujours en quête de clameurs brouillonnes.
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Encore une intox ?
« Les assureurs affirment que le nombre d’evenements climatiques extraordinaires a été multiplié par quatre depuis trente ans’ » dixit Laroutourou dans Ouest France .
Éligible au climathon !
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Ils doivent confondre « nombre d’événements » et « dommages financiers » … si le nombre et l’intensité on été diminuants, les dégâts sont plus importants parce qu’on a beaucoup construit en dessous.
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C’est surtout le mot extraordinaire qui est à définir plus précisément. Ceci dit, les experts qui viennent constater et chiffrer les dégâts ne vous font en général pas de cadeau. Donc s’ils ont dû payer plus c’est qu’il y a eu plus.En nombre ou en intensité ou les 2 ?
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oui et non,
les chiffres des assureurs sont ceux des indemnisations et celles ci dépendent des enjeux assurés et garantis.
Or les enjeux augmentent principalement en fonction des couts de la construction/réparation, et de la cote immobilière*, mais aussi en fonction bien sûr, de la densification des biens, parfois dans des zones hasardeuses.
*) (hausse très forte en 2000 et 2008)
En reconstruction à neuf, 1 milliard d’euros aujourd’hui c’est le cout de seulement 2500 habitations moyennes.
C’est aussi, par exemple pour les sinistres de dessiccation des sols sous- fondations (160 000 €/maison : de réparations en cas de reprise en sous-oeuvre totale), le budget pour réparer environ 6000 maison, or 40 000 sinistres déclarés en France suite à la dernière sécheresse.
Le vrai problème des assureurs c’est la provision de ces fonds, mais c’est aussi leur business, car ils ont le droit de répercuter leurs dépenses sur les cotisations de l ‘année suivante.
Leur intérêt de communiquer sur les catastrophes récentes et futures relève donc d’un principe de gestion éclairée.
Cela légitime bien sûr, qu’ils décident collectivement* de provisionner des fonds toujours plus colossaux.
* trustement n’existe pas en français je crois
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Chez moi, les enseignants sont surnommés les Aliborons…
Je rejoins le commentaire à propos de l’intox religieuse subie par les générations précédentes et ça me laisse plein d’espoir quant au caractère éphémère de la trace que laisseront ces âneries imposées à nos enfants.
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