Les silences significatifs du récent rapport du GIEC

par Rémy Prud’homme.

Le GIEC vient de publier un texte de 36 pages intitulé Rapport de synthèse du sixième rapport AR6. Le GIEC n’a pas lésiné sur la main d’œuvre : environ 150 contributeurs, nommément cités, ont été mobilisés pour produire ce grand œuvre, applaudi et reproduit sans le moindre esprit critique par presque tous les médias du monde. Dans cette brève note, on ne s’attardera pas sur les affirmations du rapport. On se contera de souligner trois omissions importantes et significatives.

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Conte climato-réaliste

La conteuse Soline Acan a mis en ligne sur sa chaîne YouTube Alcaline un conte climato-réaliste, « L’Île de Cambia », réalisé en association avec l’Association des Climato-Réalistes. Ce n’est pas un cours de science, mais une invitation à réfléchir de façon différente sur l’une des alarmes les plus fréquentes autour du climat : la hausse du niveau marin.

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Le climato-réalisme est bien vivant !

par Guillermo GM, étudiant en physique à l’Université Catholique de Louvain. (Article initialement paru sur l’excellent Science, climat et énergie dont il a justement été question hier.)

En août 2020, un climatologue belge affirma ceci : « Je crois que les climatosceptiques sont plutôt une espèce en voie de disparition, et heureusement » [1]. Que nenni ! Une étude parue en décembre 2021 par Ipsos et pour l’Électricité de France (EDF) permet précisément de démentir cette affirmation. En réalité, les sceptiques du changement climatique d’origine humaine, en plus de couvrir près d’un tiers de la population mondiale, sont une espèce qui soit stagne, soit s’étend, mais qui n’est certainement pas en voie de disparition. Cet article le démontre en détails.

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Gérondeau répond à Bercoff et aux auditeurs de Sud Radio

Pour ceux qui auraient manqué l’émission « Bercoff dans tous ces états » diffusée le 7 avril 2022 sur Sud-Radio, où Christian Gérondeau vient y parler de son dernier livre « Les douze mensonges du GIEC » aux éditions l’Artilleur, la voici :

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Mais où sont les glaces d’antan?

Par MD

1/ Introduction.
Les glaciers constituent une préoccupation ancestrale des populations. Dans les régions de montagne ils représentent une menace pour les villages de vallées lors des phases d’avancées. Au contraire leur recul réduit les réserves d’eau qu’ils recèlent et compromet l’alimentation des cours d’eau et des nappes. Outre ces évolutions de long terme, des évènements interannuels et saisonniers affectant les glaciers peuvent agir sur les équilibres hydrologiques, par crues ou asséchements. Les historiens du climat tels que Hubert Lamb ou Emmanuel Leroy-Ladurie ont retracé les allées et venues de ces monstres de glace, ainsi que les comportements magiques auxquelles naguère donnaient lieu leurs fluctuations : prières, processions et actions de grâce.
Le présent article fournit un aperçu sommaire des connaissances les plus récentes.

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Ebauche de lexique climato-réaliste

par Cédric Moro.

La connotation que certains donnent aux mots (médias partisans, scientifiques activistes, vulgarisateurs propagandistes et autres militants politiques) influe directement sur nos représentations des phénomènes. Dans les phobies pathologiques, les connotations de vocabulaires sont souvent exagérées, disproportionnées, très déformées par rapport à la réalité.

Dans ce type de vocabulaire, il n’y a plus de nuances ou d’objectivité. Les termes utilisés montrent en eux-même que la conclusion précède le raisonnement, tandis que lorsque l’on utilise des termes neutres ou objectifs scientifiquement, on peut mener un raisonnement à son terme avec des conclusions bien plus justes.

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Un nouveau soutien inattendu

Je l’évoquais l’autre jour : ma tribune dans le FigaroVox (qui a fait hurler si fort les climato-bien-pensants qu’ils en ont oublié de présenter des arguments de fond) était dans la ligne de la Commission européenne, pour ce qui est de l’aspect « adaptation aux changements climatiques ». Un autre soutien inattendu, arrivé la semaine dernière, porte sur l’inutilité qu’il y a à continuer l’expertise du GIEC. Avant de cliquer sur « lire la suite », essayer donc d’imaginer qui a bien pu écrire les phrases ci-dessous :

(…) plus de trois décennies après sa création, (…), il est peut-être temps de se demander si le célèbre groupes d’experts sert encore à quelque chose.
Et, aussi iconoclaste que cela puisse sembler, il est même possible de se demander si son existence et son activité ne deviennent pas, à terme, contre-productives.
Le GIEC inscrit son travail dans un cycle sans fin. Aussitôt le sixième rapport rendu, le septième est mis en chantier. Un huitième lui succédera, et ainsi de suite. L’expertise apparaît ainsi toujours inachevée, comme si elle était sans cesse à parfaire, à jamais insuffisante.

Je vous le dis : vous allez avoir du mal à y croire.

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