par Rémy Prud’homme.
Le GIEC vient de publier un texte de 36 pages intitulé Rapport de synthèse du sixième rapport AR6. Le GIEC n’a pas lésiné sur la main d’œuvre : environ 150 contributeurs, nommément cités, ont été mobilisés pour produire ce grand œuvre, applaudi et reproduit sans le moindre esprit critique par presque tous les médias du monde. Dans cette brève note, on ne s’attardera pas sur les affirmations du rapport. On se contera de souligner trois omissions importantes et significatives.
La première est relative au réchauffement « naturel ». Celui-ci est éliminé à la première page du rapport. On y lit qu’au cours du siècle et demi passé, la température moyenne du globe (en réalité il s’agit de la moyenne des températures) a augmenté de 1,09 degré centigrade, et que l’impact des rejets anthropiques sur la température a été une augmentation de 1,07 degré. En d’autres termes, le GIEC affirme que la seule cause de variation du climat est l’action de l’homme, et donc que la notion de variation naturelle du climat est un mythe à écarter – ce que fait la suite du rapport. Cela revient à mettre à la poubelle comme non-scientifiques car sans objet les milliers de recherches conduites sur la façon dont la température a évolué avant 1850, à des époques où l’activité humaine ne rejetait pas de gaz à effet de serre. Selon le GIEC, le professeur Leroy-Ladurie et tous les paléo-climatologues sont de faux scientifiques qui ont travaillé pour rien.
La deuxième concerne le nucléaire. Sauf erreur, le mot « nucléaire » n’apparaît pas une seule fois dans le texte. Une bonne partie du rapport, à vrai dire l’essentiel du rapport, consiste à dire pourquoi et comment réduire (et finalement éliminer) les rejets de CO2. De toute évidence, l’électricité nucléaire est une réponse, au moins partielle, à cette question. Le fait de ne pas l’évoquer n’est pas anodin. Ou bien aucun des 150 contributeurs, (membres du comité scientifique, rédacteurs, reviseurs, et autres responsables du rapport) n’a pas conscience de cette réalité scientifique, ce qui est peu vraisemblable, et serait assez inquiétant. Ou bien ceux qui ont voulu parler du nucléaire ont été censurés, ce qui suggère que le GIEC est efficacement contrôlé par des ONG comme Greenpeace ou WWF qui ont fait, et continuent de faire, carrière dans l’anti-nucléaire, ce qui est l’hypothèse la plus probable, et pas la moins inquiétante. On est ici assez loin du fameux « consensus scientifique » que le GIEC, et ses thuriféraires, se flattent d’incarner.
La troisième omission se rapporte à l’argent. Le mot dollar (ou euro) n’apparaît pratiquement pas dans le rapport [1]. Le GIEC y traite assez longuement des politiques qu’il faut absolument mettre en œuvre pour réduire les émissions anthropiques de gaz à effet de serre, notamment en matière d’énergie, de transport, d’industrie, d’agriculture, d’urbanisme. Mais à aucun moment, il n’essaye d’estimer le coût de ces politiques, ni d’ailleurs des bénéfices que l’on en pourrait attendre. Préconiser, ou pour mieux dire vouloir imposer, une politique dont on ne connait absolument pas les coûts ni les bénéfices est une posture politicienne (assez courante, il est vrai), pas une démarche « scientifique ». On ne peut guère s’empêcher de penser que si le GIEC est aussi léger avec la physique du réchauffement qu’avec l’économie de l’anti-réchauffement, il est difficile de lui faire confiance.
Dans un texte aussi important, largement diffusé auprès des décideurs et des opinions dans tous les pays du globe, et tamponné par 150 soi-disant spécialistes de très haut niveau, des omissions de ce calibre ne sont pas des accidents. Que dirait-on d’un rapport solennel de l’OMS sur la covid dans lequel les mots « décès » et « vaccin » n’apparaîtrait même pas ?
[1] À deux exceptions près (pages 9 et 30). La première est banale et connue. La deuxième est très discutable.
L’imposture climatique ne doit pas être combattue comme une controverse scientifique, ce qu’elle n’est nullement puisque la mauvaise foi est patente à tous les étages, mais en tant que puissant outil totalitaire. Le sujet est là!
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Oui. La science nous dit ce qui est, ainsi que ce qui pourrait se produire (sous certaines hypothèses comme les scénarios/trajectoires d’émissions de CO2). Elle ne dit pas ce qu’il faut faire, car la décision collective ne relève pas de la science mais de la politique. La science peut éclairer le débat mais son rôle s’arrête là. Ceux qui clament sur tous les toits qu’il faut faire ceci ou cela car « la science a dit que » sont des imposteurs. Les scientifiques qui prétendent nous *dicter* notre conduite sont (par définition) des dictateurs.
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A ceci près que ceux qui proposent des solutions scientifiques idoines ne sont pas tous issus de la même formation. Il faut arrêter avec la suprématie d’une politique qui n’a pas de sens si elle ne s’appuie pas sur des réalités scientifiques prouvées et démontrées. C’est valable pour les « pros » et pour les « antis ». Le reste est insignifiant.
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Bonjour, ce rejoins cet avis depuis un moment. Ce qui signifie que nous devrions nous organiser comme un parti politique, en tant que parti politique, les dons sont déductibles à 66 %. Résistons. Bonne libération de C02
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Bonjour Alex, en revanche le film mensonger de Al Gore, présenté comme scientifique, ne semble pas vous déranger. Mais vous pouvez aussi lire: https://www.climato-realistes.fr/trente-ans-mesures-de-temperature-mondiale-par-satellite/ . Merci. Bien à vous
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La « mauvaise foi »? Des milliers de chercheurs passent des décennies à mener des simulations complexes, à recueillir des tombereaux de données expérimentales variées, mais tout cela est disqualifié à cause de leur « mauvaise foi »? Soyez sérieux.
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Bonsoir Monsieur Jean Bon, même Arté, qu’on ne peut soupçonner d’être non « intégrée » a diffusé un film expliquant bien l’origine de la supercherie: « Le réchauffement climatique, une escroquerie « : https://www.youtube.com/watch?v=r4ZPETbKeNY Merci. Cordialement
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Le postulat de base est que le CO2 est l’unique variable d’i climat. Interdit de dire ou me le penser autre chose. Exit l’activité solaire, les cycles astronomiques, etc… a partir de la des milliers de chercheurs cherchent la même chose, et la trouvent. Seuls points de divergence c’est de savoir si on se réchauffe de 0.8, 1,1,2 ou 5°, et dans combien de mois ou d’ années le dernier humain agonisera, cuit comme un homard.
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@JR Je doute fortement que ce documentaire (dont le titre français est « La Grande Arnaque du réchauffement climatique » et a été produit par Martin Durkin) soit passé sur ARTE. Sinon veuillez me donner vos sources ? Ce documentaire qui est sorti il y a quinze ans en 2007 est mélange de vérités, de demi-vérités et de mensonges, assemblés dans le seul but de discréditer la science du réchauffement climatique. Les thèses avancées dans ce documentaire ont reçu de nombreuses critiques du milieu scientifique.
Il est intéressant de souligner que Carl Wunsch (professeur au département d’océanographie du M.I.T.) qui est interviewé sans ce documentaire, a par la suite déclaré que ses propos avaient complètement été déformés dans le film et qu’il avait été totalement induit en erreur après avoir accepté d’être interviewé. Carl Wunsch qualifié le film de grossièrement déformé et plus proche de la pure propagande qu’autre chose.
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c’etait dejà le type d’action menee par Arhenius l’inventeur de la supercherie du CO2..
D’ailleurs toutes ses evaluations se sont revelées fausses d’un facteur 2 au moins..dixit discretement le giec
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Étant donné que les membres de l’IPCC savent que les quidams ne lisent pas les documents que produit cet organisme. Ils ont tous loisirs à faire et dire ce qu’ils veulent.
Nos chers escrologistes malthusiens, eugénistes fascistes veulent nous imposer leur nouvel ordre mondial. Mais il risque de ne s’appliquer qu’aux occidentaux. Le reste du monde n’en veut pas.
Nous serons sans problème et aucun doute obligés de reprendre notre liberté dans les urnes… Si ce n’est pas autrement.
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Le reste du monde n’en veut pas ? Même la Chine, plus grand pollueur actuel, a instauré une taxe carbone, des mesures de finance verte, et installe centrales nucléaires, panneaux solaires, éoliennes et voitures électriques à un rythme bien supérieur au nôtre. Renseignez-vous avant d’avancer de grandes vérités surplombantes.
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Bonjour Jambon,
Instaurer une taxe carbone ne veut pas dire que cet état valide le prétendu réchauffement climatique pompeusement nommé anthropogénique et toutes les inepties de type wokisme et tant d’autres aberrations en lien direct avec le mondialisme.
Jusqu’à preuve du contraire ce sont bien les chinois et les indiens qui ont dit qu’il continueraient à utiliser des énergies fossiles lors de la dernières COP !.
Votre ton franchement péremptoires me donne envie de rire.
Pour ce qui est du malthusianisme, de l’eugénisme et du fascisme, je vous rappelle juste les propos de Maurice Strong. On sent vrai que ce monsieur aime les humains ! : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas l’écroulement des civilisations industrielles ? Notre responsabilité n’est-t-elle pas d’agir pour y arriver ? » (Malthusianisme) et « La durabilité globale demande une recherche délibérée de la pauvreté, une réduction de notre consommation des ressources et le maintien d’un niveau élevé de mortalité’ (Malthusianisme et Eugénisme). Les propos de Sir John Houghton, premier président du GIEC : »« Si nous n’annonçons pas de désastres, personne ne nous écoutera. » (Propagande fasciste).
Bien cordialement.
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Bonjour Nounours, a propos de l’acronyme IPCC il y a à dire. Comme nous le savons tous ici, mais pas que, il y a quelque peu une usurpation d’identité. Le GIEC (version française) introduit le vocable Expert alors qu’il ne figure pas dans la version mondiale « IPCC ».
L’appellation “IPCC” est elle-même incomplète puisqu’il y manque le “A” pour “Anthropic” qui est pourtant bien stipulé dans ses statuts.
“Il a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation.”
“Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents.”
L’appellation originale est donc PICCA (Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique d’origine Anthropique). Les mots ont un sens. On ne nous dirait pas tout 🤔 🤥🤫😯 Merci. Meilleures salutations
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Bonjour JR,
Je valide entièrement votre propos.
Meilleures salutations.
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Pour information, les auteurs des rapports du GIEC s’intéressent bien entendu aux causes naturelles possibles du réchauffement climatique. Pour preuve, le premier rapport du premier groupe du GIEC de 1991 indiquait à l’époque : « L’augmentation observée pourrait donc être due en grande partie à cette variabilité naturelle. Néanmoins, il se pourrait au contraire que cette variabilité et d’autres facteurs humains aient compensé un réchauffement d’origine humaine encore plus important ».
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@Alex Kibkalooo alias …
Effectivement, je me souviens d’une « relecture » avec changement du texte après signature des scientifiques du rapport de 1995. Voici le texte qui a été ajouté : « L’ensemble des données suggère que l’on peut discerner une influence de l’homme sur le climat mondial ». Ce qui avait eu pour effet de très nombreuses démission de ce groupe de menteurs. J’en tiens pour preuve la terrible déclaration de Monsieur Frederick Seitz au sujet de ce rapport : « En soixante années de participation à la recherche scientifique américaine, y compris en tant que président de l’Académie des sciences et de la société américaine de physique, je n’ai jamais eu à connaître une corruption du processus de relecture aussi inquiétante que pour ce rapport de l’IPCC. ». Donc, comme c’est ce rapport qui est à l’origine des autres, ils ne sont que falsification depuis 1995.
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Bonjour, je m’apprêtais à répondre à Alex, mais Nounours a parfaitement bien résumé la situation. Il en résulte un discrédit et un manque de confiance qui pèsent lourdement sur le GIEC. D’autre part, les explications fumeuses de J.Jouzel face aux Professeur François Gervais ne plaide pas en la faveur du premier cité. Merci Nounours. Le C02 est la molécule de la liberté.
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Les membre de l’IPPC sont composés de 195 États. Chaque version de chapitre est relue à plusieurs reprises par les personnes de la communauté scientifique qui le souhaitent (des milliers de commentaires de centaines de relecteurs par chapitre), et par les experts nommés par les gouvernements, qui peuvent laisser des commentaires. En ce sens, les rapports du GIEC font partie des documents scientifiques les plus relus qui existent. Et les experts nommés par les gouvernements ont relus le rapport plusieurs fois
fois.
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@Alex Kibkalooo alias…
Le processus de relecture ayant déjà été entaché d’un mensonge et plus d’ailleurs, je doute que vous puissiez me faire croire que leur travail soit sérieux et sans but final dissimulé.
Concernant, les 195 états participant, je doute qu’ils soient tous capables de fournir des scientifiques de renom qui puissent parler climat avec le plus grand de sérieux. Mais je dois vous rappeller que les effectifs du GIEC en mai 2022 était de 98 personnes. Sur les 33 experts du GIEC ayant une position directement significative ou influente pour les aspects scientifiques et la rédaction du rapport de synthèse à l’attention des décideurs, (celui auquel l’article ci-dessus fait référence), six experts seulement ont une formation en météorologie ou climat (quatre chinois, un Indonésien, un marocain), deux experts étaient océanographes, trois experts sont physiciens. On peut noter que sur ces trente trois personnes, neuf personnes ne communiquent pas leur niveau de compétences.
Je note que le président est un économiste et donc bien loin de son domaine de compétence. Il peut donc relire autant de fois qu’il souhaite ce rapport, je doute que la lumière lui apparaisse.
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Bonjour Alex , le tour de passe-passe opéré en 1995 par le GIEC (ou plutôt GIC), s’assimile au tour de passe-passe de Nicolas Sarkozy en 2005 sur l’UE. Et après il faudrait faire confiance, non merci. Merci.
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@Nounours Je ne vois pas où vous sortez votre information « les effectifs du GIEC en mai 2022 était de 98 personnes. Sur les 33 experts du GIEC ayant une position directement significative ou influente pour les aspects scientifiques et la rédaction du rapport de synthèse à l’attention des décideur » ? Puisque le rapport AR6 WG1 qui traite des bases physiques du climat date de 2021 et a été rédigé par 234 scientifiques. Si les 195 États ne peuvent pas tous fournir des scientifiques, pour le rapport AR6 WGI viennent tout de même de 66 pays différents. Vous semblez très mal renseigné. Je vous invite à consulter le rapport AR6 WGI pour voir la liste des auteurs. Les auteurs ne donnent généralement que leur affiliation actuelle, c’est à dire leur employeur. Pour obtenir leur curriculum vitaen il faut faire des recherches sur Google, Google Scholar ou ResearchGate. J’ai fait quelques recherches au hasard et ce sont tous des scientifiques experts de la discipline concernée, qui ont tous un doctorat avec la spécialité en question, travaillent dans une organisation qui étudie le climat et ont tous publié des études dans des revues à comité de lecture. Je ne vois pas pourquoi leur travail ne serait pas sérieux.
Les compétences du président du GIEC n’ont aucune importance, puisque le président ne participe pas à la rédaction des rapports du GIEC. Cependant le président du GIEC Hoesung Lee est professeur dans le domaine de l’influence du climat sur l’économie, sur l’énergie et le développement durable, compétences qui pourrait tout à fait être utile dans le deuxième groupe de travail du GIEC, groupe qui étude la vulnérabilité des systèmes socio-économiques aux changements climatiques. Donc Hoesung Lee peut certainement lire et comprendre certains chapitres des rapport AR6 WG2 et AR6 WG3.
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Bonjour Alex Kibkalooo alias …?…
A mon avis, vous devez avoir un problème de compréhension de texte et vous avez une méconnaissance totale du fonctionnement du/des groupe(s) nommé(s) IPCC.
Première erreur, vous confondez les effectifs de l’IPCC et ses membres de droit. Les 195 pays inscrits à l’ONU sont de droit membres de l’IPCC,
Deuxième erreur, vous confondez, les effectifs du GIEC et les scientifiques qui participent à l’écriture des rapports tendancieux,
Troisième erreur, vous êtes dans la confusion entre AR6 WG1 et AR6 SYR. C’est de ce dernier dont on parle en ce moment, il est sorti de mémoire le lundi 20 mars, tous le monde en parle mais de toute évidence vous ne le savez pas.
Quatrième erreur, le président de l’IPCC a participé à l’élaboratio de l’AR6 SYR car son nom est porté dès la première page. Je vous donne juste le premier nom : « Core Writing Team: Hoesung Lee (Chair),… ».
Cinquième erreur, comment une personne peut-elle juger qu’un document est conforme à une science si elle n’a pas la connaissance du domaine ? Il est vrai que les membres de l’IPCC font de la science au doigt levé. Merci de me l’avoir confirmé.
Donc, avant de porter des jugements péremptoires sur votre contradicteur, vous devriez faire tourner vos doigts sept fois au-dessus du clavier avant d’écrire des âneries.
bien cordialement.
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Si le CO2 est LE PROBLÈME et la seule cause du réchauffement de la planète ,comment expliquer que tous ces pseudos écologistes aient très largement contribué à la fermeture des centrales nucléaires en Allemagne et en France, et sont donc responsables d’une très forte augmentation des émissions de ce gaz?
Il faut être complètement abruti pour faire le contraire de ce qu’on préconise.
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L’idéologie mon cher ! La même idéologie qui a fait des millions de victimes, comme le communisme, puis le nazisme, aujourd’hui le 3 ème fléau est en marche. Si l’on suit ce que les pseudos écolos préconisent, le monde serait affamé depuis un moment. C’est bien l’objectif caché (Great Reset de Klaus Schwab 2021), réduire le nombre d’habitant de notre terre. Pour cela, il faut un nouveau dieu, l’homme aime avoir peur, Greta est là, cela tombe bien, ou plutôt, elle a été fabriquée la malheureuse. Merci. Libérez bien votre dose de Carbone, le Carbone rend libre.
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Communisme = nazisme = écologisme ? Joli, votre pensée politique atteint des sommets. Et je suppose que le communisme et le nazisme aussi étaient soutenus par 97% des chercheurs de tous les pays du monde ?
https://factuel.afp.com/doc.afp.com.32H29QP
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Bonjour @Jambon,
Escrologisme (Ou écologie politique) = fascisme = communisme ! Oui, je confirme que toutes ces idéologies ont fait plus de morts dans le monde que n’importe quelle autre idéologie. Concernant, votre prétendu consensus de 97%, je vous invite à revoir la méthode de calcul… Si tant est que vous puissiez le faire, réanalysez l’étude qui conclut à à ce chiffre rocambolesque ou lisez celle de monsieur Legates & al : https://link.springer.com/article/10.1007/s11191-013-9647-9
En ce qui concerne votre lien, il ne prouve qu’une seule chose, c’est qu’une personne a passé du temps pour ne rien démontrer.
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Bonjour Monsieur Jean Bon, effectivement ce constat se vérifie de jour en jour. Le véritable but de cette minorité activiste n’est pas de sauver la planète (qui de toute façon rencontrera le soleil un jour) mais de détruire l’économie, notre civilisation, notre culture, nos traditions, nos patries, nos industries et nos libertés, pour mettre en place un monde stéréotypé, bon, atone, sans odeur et sans saveur», conforme à l’idéologie décliniste décrite par Klaus Schwab. Et si l’Homme actuel rechigne trop, on le rééduquera pour en faire un « homme nouveau ». Euh, ils ont pas compris que cela va se terminer.
Avant la sortie de Great Reset de Klaus Schwab en 2021, le simple fait d’évoquer la politique de Schwab, captée si et là par morceau ou par phrase, vous faisait passer pour un complotiste. Hors, après la sortie de son livre, en tenant les mêmes propos vous êtes toujours complotiste, sauf que c’est lui qui a tout écrit. Allez comprendre la logique médiatique !
Les idéologies mortifères du XX ème siècle, comme le nazisme et communisme, ont fait des millions de victimes par internements ou de morts en voulant instaurer le « socialo-communisme » par la contrainte, pour les Allemands (au prétexte de la supériorité raciale), pour les Russes (au prétexte de l’égalité). A l’identique, l’écologie politique veut imposer son mode de vie eu nom du vert, mais qui tourne indiscutablement en brassard verdâtre. Essayez de justifier un malus auto à 50 000 € ?
Philippe Simonot (RIP) dans « Le Brun et le vert », explique parfaitement l’analogie entre l’écologie politique et le nazisme.
Je cite : » L’écologisme des nazis allait de pair, comme chez les écologistes d’aujourd’hui, avec leur haine de l’individu, de la personne humaine, du capitalisme, de la propriété privée et du christianisme ».
Regardez simplement ce qui se passe dans les villes « gérées par les écolos, c’est un petit aperçu de ce qui nous attend si nous lassons faire. Evidemment, vous l’aurez compris, il ne s’agit pas ici de vilipender le respect de l’environnement et les mesures efficientes comme le recyclage par exemple.
Si dans une problématique industrielle donnée, nous frisons le 0 déchet par exemple, j’appelle cela de l’efficience et non de l’écologie, le vocable « écologie » étant détourné à des fins politiques, idéologiques, voire néo-religieuses afin de favoriser le Casse du siècle.
Quand à l’histoire du taux de C02 passé de 0,03 à 0,04 %, tout le monde s’enfiche, y compris les écolos radicalisés (qui ne connaissant même pas le taux de C02 dans l’air), c’est un simple prétexte qui justifie les moyens. Nous avons à faire à un fléau qu’il faut contrer de toutes nos forces, pour cela il faut réagir avec des qualificatifs aussi puissants que ceux qu’ils utilisent. Merci. Bien à vous
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Bonjour Monsieur Jean Bon, vous faites référence à un communiqué de l’AFP, n’avez-vous pas plus indépendant et libre d’esprit comme source ? Par exemple : https://static.climato-realistes.fr/2021/01/FicheACR10-1.pdf Merci. Bien à vous
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Monsieur Jean Bon, autre source indépendante et ce sont des professionnels de la statistique: http://www.scmsa.eu/archives/rechauff0.htm Merci. Bonne libération de C02
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Ah, l’argument des écologistes contre le nucléaire. Oui, l’écologie politique a historiquement lutté contre le nucléaire et continue à le faire aujourd’hui par inertie- ce dont je me désole, en tant que chercheur dans le nucléaire. Mais il serait temps que vous arrêtiez de vous protéger derrière ce paravent bien commode : le nucléaire ne règlera malheureusement qu’une partie minime de nos problèmes écologiques, et les écologistes mènent bien des combats pertinents hormis celui-ci.
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Le nucléaire est la seule solution viable à moyen terme en matière d’énergie ,que vous le vouliez ou non. En ce qui concerne les écologistes je ne vois pas ce qu’ils ont pu apporter de positif depuis 20 ans! Fossoyeurs du nucléaire, promoteurs des énergies intermittentes dont le coût est catastrophique pour le consommateur ainsi que l’impact environnemental, promoteurs de la voiture électrique qui est une véritable ineptie écologique et le plus grand pillage des matières rares dans le monde, saboteurs des retenues d’eau qui permettent de nourrir des millions de personnes dans le monde depuis des lustres et qui apportent en France énergie et réserves pour l’agriculture. Les écologistes sont les plus grands destructeurs de la planète et je pense personnellement que ces partis devraient être dissous.
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Fer9michel,
« Le nucléaire est la seule solution viable à moyen terme en matière d’énergie », « énergies intermittentes dont le coût est catastrophique pour le consommateur ainsi que l’impact environnemental » : sur quoi appuyez-vous ces affirmations ? Est-ce que EDF, RTE, l’AIE, le Shift Project, l’institut Montaigne (institutions qu’on ne peut pas toutes considérer comme des repaires de gauchistes) l’affirment ? Non : elles disent que le coût des renouvelables a été divisé par 10 en deux décennies*, qu’un mix optimal doit aujourd’hui comprendre les deux technologies, et qu’à moyen terme et à l’échelle mondiale le nucléaire est voué à être une ressource énergétique importante mais pas dominante.
(sur la question du coût : je suis bien conscient que le LCOE n’est pas une bonne mesure du coût de l’énergie, et que l’intermittence demande de manier ces chiffres avec beaucoup de précaution. Pour une modélisation économique d’un mix électrique complet, on peut par exemple se référer au dernier rapport RTE)
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Bonjour @ jambon,
Les énergies renouvelables ne tiennent que grâce à nos impôts. De plus, elles perturbent le réseau et c’est grâce au centrales nucléaires que nous avons un réseau stable. Elles sont trop chères ! Si vous avez des données référencées et surtout sérieuses, il ne faut pas hésiter à nous les fournir.
Pour les problèmes écologiques, pourriez vous nous les lister, vous êtes trop généraliste.
Puisque vous êtes chercheur dans le nucléaire, vous devriez vous identifier… C’est bien mieux !
Bien cordialement.
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Je soupçonne que le fait de supprimer toute mention du nucléaire vient du fait que les rapports du GIEC ont jusqu’à présent été largement utilisé par les promoteurs du nucléaire pour mettre les écologistes type Greenpeace face à leurs contradictions.
Quant à ce fameux « résumé pour décideurs », il s’agit évidemment d’un texte purement politique, vaguement inspiré par le contenu des rapports tout en omettant des parties importantes, ça a été largement démontré ici pour les sessions précédentes. Le gros problème est qu’il est présenté par les instances politiques et médiatiques comme la quintessence de l’état de l’art de ce que la Science fournit de plus solide.
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Commentaire le plus pertinent de cette page, bravo à vous !
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Le « résumé pour décideurs » est approuvé ligne par ligne, mot par mot, par les 195 représentants des 195 États, mais sous contrôle des auteurs qui ont le droit de veto. Les informations du « résumé pour décideurs » ne peuvent pas aller à l’encontre des informations du rapport complet et sont donc en phase avec le rapport complet.
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Mwouarf
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Parmi les « promoteurs du nucléaire », il y a des gens qui souhaitent simplement disposer d’une électricité abondante, bon marché et indépendante des soubresauts internationaux autour des hydrocarbures.
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Ce qui me paraît le plus hallucinant dans les résumés du GIEC et dans les prises de parole de leurs représentants, c’est que la notion d’incertitude y est tout simplement bannie. Et là, c’est du délire: affirmer que le réchauffement d’origine anthropique est estimé à 1,07° quand le réchauffement mesuré est de 1,09°, cela sous-entend que les modèles seraient maintenant capables de simuler l’évolution de la température globale avec une précision meilleure que 1% ! Quand on sait que, pour un même scénario d’émission de GES, les projections des modèles retenus par le GIEC divergent d’un facteur 3 (300%) de la plus basse à la plus haute estimation, on se dit que le bon sens a définitivement quitté le navire.
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Hum… Vous êtes au courant que le GIEC affiche ces fameuses barres d’incertitude de 300% sur chacun de ses graphiques ? Et qu’il prend la peine de quantifier le niveau de certitude de chaque affirmation dans les rapports pour décideurs ? Vous comprenez aussi que des incertitudes de 300% sur le devenir du système planète + société dans 80 ans n’implique pas qu’il y ait des incertitudes de 300% sur les causes du problème et sur la dynamique actuelle ?
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Bonjour Jambon,
Il ne faut pas hésiter à donner les pages et les numéros de graphes dans lequel, il donne son incertitude à 300%.
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Bonjour, le GIEC est une sombre officine Onusienne, dont le guignolesque António Guterres est secrétaire général. Le GIEC (dont le E vient dont ne sait où), n’est pas indépendant et vous le savez. En revanche, MM&M n’est pas seul à avoir l’esprit ouvert à la discussion. CLINTEL, organisation mondiale de 1 500 scientifiques indépendants ne va pas non plus dans le sens du catéchisme du GIEC, sans parler des médias subventionnés : https://clintel.org/france/ . Merci. Libérez bien votre C02
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Excellent article. Quand la source de la « science du climat » est en situation de monopole, on peut se poser la question de sa légitimité. Les pays « fédérés » par l’ONU, ne diffusent que cette information, reprise sans analyse….Dans le reste du monde, en particulier en Inde, certaines universités travaillent sur d’autres hypothèses (activité magnétique solaire et conséquences sur la terre dont le noyau est lui même magnétique) pour mieux comprendre la dynamique des phénomènes terrestres. Pour le GIEC, seul compte l’effet de l’homme, et utilise dans ses calculs des valeurs différentes que celles de la NASA (effet anthropique NASA 0.5W/m2 GIEC plus de 2.5W/m2…), néglige complètement l’activité volcanique (les curieux chercheront les effets du Tambora 1815 et ceux du Hunga Tonga janvier 2022). L’activité solaire est aussi ignorée, le site NOAA, nous informe de cette activité, c’est édifiant. Il faut aussi se rappeler de la corrélation entre minimum de Maunder et le petit âge glaciaire, bref des évènements qui sont volontairement négligés pour des publications militantes, au service d’une idéologie onusienne que l’on retrouve dans les commissions européennes.
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Non, non et non. Tous les phénomènes dont vous parlez sont des tartes à la crème du climatoscepticisme. Ils sont parfaitement intégrés aux modèles climatiques et aux études du GIEC, il s’avère juste que leurs effets sont négligeables.
Un point de logique également : pourquoi s’évertuer à chercher des explications compliquées quand des explications simples sont disponibles ? L’effet réchauffant du CO2, dû à son absorption des infrarouges, est connu depuis le XIXe siècle, et plusieurs scientifiques ont donné des bons ordres de grandeur du réchauffement qui résulterait de nos émissions. L’évolution actuelle des température suit fidèlement les prévisions effectuées par les climatologues il y a quelques décennies. Pourquoi s’obstiner à croire qu’ils ont tort ?
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non non, vous mentez comme toute votre clique
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bjr, en tant que « climato-intérrogatif », je cherche à comprendre. L’observation des phénomènes réserve des surprises : comment le Giec explique l’accident climatique 4200BP ? on ne sait pas ….. pourquoi les 0.5W/M2 observés par la NASA sont différents de la valeur utilisée par le GIEC ? pourquoi dans les thèses (archives ouvertes) certains doctorants n’ont pas de corrélation avec les modèles ? (surement incomplets). Alors oui l’effet de serre existe, mais son effet est très modéré. Pouvez-vous m’expliquer la « téléconnexion » golf de Guinée/méditerranée, qui influence les moussons en Inde mais aussi les précipitations dans la vallée de la mort aux USA? (mais aussi les épisodes méditerranéens effet de foën) Nous ne savons pas grand chose, sans nier les variations, il est urgent de trouver des causes d’autant que ENSO n’est pas encore bien compris. Allez voir le site « complotiste » : https://lejournal.cnrs.fr/articles/un-apres-son-eruption-les-lecons-du-volcan-hunga-tonga. Nous avons des progrès à faire. Bonne lecture.
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Oui, cette théorie est connue depuis le XIXe siècle, mais vous oubliez de dire qu’elle est connue comme fausse dès la fin de ce même siècle.
Cette théorie dite radiative qui postule que le CO2 est chauffé par le sol et en même temps chauffe ce sol est contraire au second principe de la thermodynamique.
Dans une serre il suffit de remplacer la vitre par un matériau transparent tous les IR pour constater que la serre chauffe pareil. La théorie s’effondre.
La serre chauffe par convection interne, et blocage de la convection vers l’extérieur. On régule la température de la serre en ouvrant les vitres.
Dans l’atmosphère, pas de vitre qui bloque la convection, pas d’effet de serre.
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Pimpin,
« Cette théorie dite radiative qui postule que le CO2 est chauffé par le sol et en même temps chauffe ce sol est contraire au second principe de la thermodynamique. »
Oui et non. Le CO2 froid ne peut bien entendu pas chauffer la surface chaude mais il peut freiner son refroidissement radiatif et donc élever sa température. C’est bêtement le principe de l’isolation.
Jean Bon,
« L’effet réchauffant du CO2, dû à son absorption des infrarouges, est connu depuis le XIXe siècle »
Certainement pas. L’effet du CO2 n’est pas dû à son absorption du rayonnement thermique en provenance de la surface. Si c’était le cas, l’atmosphère serait chauffée radiativement par la surface or ce n’est pas ce que l’on observe. En réalité, l’atmosphère est essentiellement chauffée par l’énergie latente de la vapeur d’eau donc par la convection. L’absorption par les GES ne joue qu’un rôle très marginal, presque négligeable. Du point de vue de l’atmosphère, les GES dont le CO2 n’ont strictement qu’un rôle refroidissant.
Le mécanisme est d’une infinie complexité et bien entendu personne n’est capable de le modéliser. Les GCM ne modélisent pas l’effet de serre mais le paramètrent sur la base d’une pataphysique inaugurée par Manabe et Wetherhald 1967. C’est cette pataphysique qui ne respecte pas les principes de la thermodynamique. Autrement dit, les résultats des GCM pour ce qui est de l’effet de serre ne peuvent qu’être arbitraires et fantaisistes.
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allez , un article grand public qui nous montre qu’on ne sait rien…. https://www.techno-science.net/actualite/improbable-amplification-rechauffement-climatique-par-diminution-petits-cumulus-N23004.html et que les modèles doivent encore être améliorés, cordialement.
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Il n’y a pas non plus d’effet couverture du CO2 . 0,04 % de l’atmosphère. Imaginez un toit prévu pour 10 000 tuiles, on n’en met que 4 !
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Pimpin,
Les GES sont bien assimilables à une couverture parce qu’ils isolent radiativement la surface de l’espace intersidéral. Radiativement, l’horizon passe d’une température moyenne de 2K (-271 °C) à une température de 277 K (4 °C) par effet de serre. De 100% sans GES, le flux IR refroidissant la surface n’est plus que de 38 % grâce à l’effet de serre. Le solde du flux est assuré par la convection. La proportion des gaz actifs dans l’infrarouge n’est pas une quantification pertinente.
La question n’est pas de savoir si l’effet de serre existe ou pas, il est bien réel, efficace, il tempère la surface et c’est à lui que nous devons les phénomènes météorologique et l’existence même de climats sur notre planète. Le gros problème est de calculer l’effet d’une variation du taux de CO2 dans l’atmosphère actuelle. J’insiste encore une fois, absolument aucun scientifique n’a prétendu être capable de réaliser ce calcul sur la base des lois de la physique! En d’autres termes, personne ne sait exprimer la relation thermodynamique, même schématique, qui relie le taux de CO2 à la température de surface. Ceux qui prennent au sérieux les résultats des modèles sont des naïfs ignorants.
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phi, non ! pas d’effet couverture à 0,04 %, ne soyez pas ridicule ! Pas d’effet de serre non plus, la théorie est contraire au second principe de la thermodynamique.
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Pimpin,
Les GES constituent la source froide du système atmosphérique. Pas de GES, pas de source froide dans l’atmosphère et donc pas de machine thermique atmosphérique. Les GES jouent un rôle capital même s’ils ne représentent qu’une faible part de la masse atmosphérique. Pas de GES, pas de météo!
Comme plus du 80% de la chaleur radiée par notre planète l’est dans la colonne atmosphérique, le flux thermique qui va toujours du chaud vers le froid a parcouru un certain chemin depuis la surface avant d’être libéré vers l’espace. Ce transit par l’atmosphère implique un gradient de température et donc une surface plus chaude que si l’énergie était radiée directement depuis la surface.
Ce n’est pas parce que la nouvelle religion organisée par le GIEC construit une infâme pseudo-science que toutes les connaissances physiques sur le climat sont abolies.
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phi, vous ne pouvez pas aller contre les lois de la physique. Il n’y a pas d’effet de serre, cette théorie est fausse.
Le sol chauffé par le soleil est refroidi par convection de tous les composants de l’atmosphère qui chauffent et montent se refroidir en altitude pour redescendre ensuite. Le CO2 n’a aucun rôle spécifique.
Le sol se refroidi aussi par rayonnement direct vers l’espace, et aussi par l’évaporation de l’eau
Avec en plus l’important rôle des océans qui accumulent et répartissent la chaleur.
Tout cela forme un système très complexe qu’on est loin d’avoir compris.
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Pimpin,
Et elle va où toute cette chaleur que transporte la convection ???
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Elle est évacuée dans l’espace .
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Elle est évacuée dans l’espace
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Oui, évacuée vers l’espace, mais par quoi ?
Par les GES, il n’y a qu’eux qui peuvent le faire.
Si ce sont les GES qui évacuent l’essentiel de l’énergie vers l’espace et pas la surface, cela implique une élévation de la température au niveau du sol.
Voilà ce qu’est l’effet de serre et pourquoi l’analogie jardinière n’est pas si mauvaise. Pas plus que le verre, les GES ne retiennent la lumière mais comme le verre empêche la chaleur de s’échapper par convection, les GES font barrière au refroidissement radiatif de la surface.
Le CO2 joue son rôle de GES mais quantifier l’effet thermique de l’augmentation de son taux est impossible.
La théorie n’est pas fausse parce que l’effet de serre n’existe pas mais parce qu’elle s’est construite sans respecter l’acquis de la thermodynamique ce qui l’a conduit à inventer notamment la ridicule notion de forçage radiatif.
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Non ! toute l’atmosphère rayonne vers l’espace, pas que les GES ! Et le sol aussi . Tout ce qui est chaud envoie des IR.
Les GES empêchent la chaleur de s’échapper par convection ? sérieux ? 0,04% de l’atmosphère ! Il n’y a pas de toit en GES qui bloquerait la convection comme dans la serre.
Il n’y a pas d’effet de serre selon la théorie radiative. D’ailleurs il suffit de remplacer la vitre de la serre par un matériaux totalement transparent aux IR pour constater que cela ne change rien, la serre chauffe pareil.
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Absorption et émission de rayonnement électromagnétique sont les deux facettes d’une même propriété physique. Les gaz sont de mauvais absorbeurs/émetteurs, en tous cas aux conditions de pression et de température sur terre, sauf ceux composés d’au moins 3 molécules comme la vapeur d’eau et le gaz carbonique.
Le rayonnement solaire est peu absorbé par l’atmosphère (les UV partiellement par l’ozone dans la stratosphère et les proches IR partiellement par la vapeur d’eau dans la troposphère).
Le rayonnement terrestre IR est assez fortement absorbé par la vapeur d’eau et un peu par le gaz carbonique dans la troposphère.
Le rayonnement IR émis par la terre et son atmosphère vers l’espace provient donc:
– de la surface du globe (océans et continents) via la fenêtre atmosphérique (part non absorbée par les GES)
– des GES (vapeur d’eau dans la troposphère essentiellement, gaz carbonique dans la troposphère et la stratosphère, ozone dans la stratosphère).
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Hug,
Merci pour ces précisions.
Pimpin,
« Les GES empêchent la chaleur de s’échapper par convection ? sérieux ? 0,04% de l’atmosphère ! Il n’y a pas de toit en GES qui bloquerait la convection comme dans la serre. »
Ce n’est bien entendu pas ce que j’ai prétendu. La serre est juste une analogie, pas un modèle réduit!
Un point qui vous a probablement échappé dans mes explications : non seulement les GES ne bloquent pas la convection mais ils la permettent. Pas de GES, pas de convection.
Quelques ordres de grandeur. Sur les 160 W/m2 absorbés par la surface, environ 40 W/m2 s’échappent radiativement par la fenêtre atmosphérique, le solde de 120 W/m2 transite par l’atmosphère essentiellement par convection et est donc libéré par les GES et dans une moindre mesure par ses composants liquides et solides. La totalité de l’énergie libérée radiativement par l’atmosphère comprend également l’énergie solaire qu’elle absorbe directement ce qui nous amène à 200 W/m2. La part radiée vers l’espace par le CO2 doit se situer autour des 20 W/m2 mais à vérifier.
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Hug : « Les gaz sont de mauvais absorbeurs/émetteurs, en tous cas aux conditions de pression et de température sur terre, »
Ah bon ? c’est à se demander comment les convecteurs chauffent l’air de la maison …
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Les convecteurs chauffent l’air par…convection ! 🙂
Ils ne sont pas aussi efficaces que les radiateurs qui chauffent par…radiation (rayonnement) car la chaleur produite est trop vite envoyée vers le plafond alors que la gravité nous colle malheureusement au plancher…
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À tous ceux et celles qui se congratulent mutuellement dans ces commentaires en se félicitant de leur « esprit critique » : vous êtes ridicules. Combien d’entre vous ont déjà pratiqué la démarche scientifique, pour donner si allégrement votre avis sur ce qu’est la « bonne » science? Et ne trouvez-vous pas curieux de vous fier à UN SEUL mathématicien (non-physicien) plutôt qu’à des milliers de climatologues spécialistes de leur discipline ? De mon côté, vous serez heureux d’apprendre que je ne suis pas un militant Greenpeace lobotomisé comme vous le supposez sûrement, mais chercheur dans le nucléaire, cette discipline si chère à votre cœur.
Petit debunk des « arguments » de votre Maître, juste pour le plaisir :
-en quoi affirmer que 1,07 des 1,09 degrés de réchauffement observé revient à mettre à la poubelle les données de paléoclimatologie pré-1850 (que beaucoup de chercheurs du GIEC ont consacré toute leur carrière à établir, soit dit en passant)??
-le rapport évoqué par l’auteur est (vraisemblablement, puisqu’il ne prend pas la peine de le préciser) le résumé pour décideurs du groupe de travail Atténuation. Ces résumés pour décideurs font l’objet d’échanges avec des responsables politiques, et sont donc effectivement susceptibles d’être entachés de biais politiques. Malgré cela, le nucléaire n’est pas occulté, il est présent dans de nombreux graphiques et dans un paragraphe dédié ; par ailleurs, et c’est un chercheur en nucléaire qui vous le dit, il me paraît parfaitement exact que les renouvelables ont bien plus de potentiel que le nucléaire pour produire de l’énergie décarbonée, notamment dans des pays en développement et où le foncier est un moindre enjeu.
-pardon ? Le GIEC ne parlerait pas d’argent ?? Trouver les solutions les plus économiques possibles est l’un des sujets principaux de ce rapport, notamment de la figure SPM.7 qui compare les coûts d’une quarantaine de solutions socio-technologiques !
En bref : faites preuve d’un peu d’humilité avant de préférer votre opinion à la parole de spécialistes ; lisez les rapports que vous critiquez ; et sortez débattre avec des personnes qui en ont les moyens, plutôt que de ressasser vos fables entre convaincus sur des forums.
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*Correction du 1er paragraphe : « en quoi affirmer que 1,07 des 1,09 degrés de réchauffement observés EST D’ORIGINE HUMAINE
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les renouvelables ont bien plus de potentiel que le nucléaire pour produire de l’énergie décarbonée
et vous vous présentez comme ingénieur?
le niveau des trols diminue non?
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Joletaxi,
La sécurité des centrales et la gestion du plutonium sont des sujets extrêmement complexes et à haut risque ; par conséquent il n’est probablement pas souhaitable de construire des centrales nucléaires dans certains pays en développement à court-moyen terme, en particulier en cas de tensions politiques. Par ailleurs, l’opposition très forte de certaines populations au nucléaire est aussi un facteur à prendre en compte à cette échéance- ni vous ni moi n’allons convaincre l’Autriche de se mettre au nucléaire avant un moment. Le nucléaire suppose aussi un réseau électrique très développé, ce qui constitue un autre frein à son développement dans certaines régions. Enfin, dans certains contextes (notamment les pays tropicaux avec de vastes étendues désertes), les renouvelables sont tout simplement plus économiques jusqu’à un certain degré de pénétration dans le mix électrique.
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blablabla.
les teutons démontrent de façon magistrale que les renouvelables sont un échec retentissant
cela ne marche pas dans des pays à haute technicité, on imagine les fabuleux résultats chez les moins nantis
d’ailleurs, pour ces pays, ils ont tout intérêt à utiliser le charbon, chose que la clique s’ingénie à empêcher
suffit de prendre connaissance du génial plan allemand sur l’hydrogène pour se rendre compte que l’on a mis aux manettes de parfaits crétins… verts
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Première phrase : insulte. Deuxième phrase : mépris. Troisième phrase : argument d’autorité. Quatrième phrase : affirmation de supériorité. Cinquième phrase : moquerie gratuite.
Il faut les attendre, vos arguments, dites-donc !
Sur vos « débunks » :
– votre premier point n’est pas un débunk mais une question. Réfléchissez aux réponses possibles, proposez vos réfutations, en on verra. Et si vous pouvez le faire dans le respect de vos contradicteurs, ce ser encore mieux.
– le rapport mentionné dans l’article est le rapport de synthèse de l’AR6, sorti il y a une semaine : c’est mentionné en première phrase de l’article. De rien.
– « Ces résumés pour décideurs font l’objet d’échanges avec des responsables politiques, et sont donc effectivement susceptibles d’être entachés de biais politiques » : je suppose donc qu’en tant que scientifique vous vous en indignez comme il se doit.
– Un « paragraphe dédié » au nucléaire ? Je ne sais pas où vous l’avez trouvé, mais moi je ne le vois nulle part. Ce qui pourrait le plus s’approcher du nucléaire est en B.6.3 : « transitioning (…) to very low- or zero-carbon energy sources, such as renewables or fossil fuels with CCS [Carbon Capture and Storage] (…) ». Raté, donc. Faites donc une recherche du mot « nuclear » sur le pdf, et on en reparle.
– Vous pouvez mettre autant de points d’interrogation que vous voulez pour simuler l’indignation, la vérité est que le rapport ne parle nulle part d’argent. La figure SPM7 que vous brandissez ne contient pas le moindre chiffrage des coûts.
« En bref » : prenez-nous de haut si ça vous amuse, mais il en faudra davantage pour être convaincant.
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Ils osent tout c’est à ça qu’on les reconnaît!
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Être en désaccord avec vous ne m’empêchera pas de m’amender : j’ai cru que vous aviez manqué de précision en ne mentionnant pas de quel working group vous évoquiez le rapport, alors que vous vous vous référiez au dernier rapport global dont j’ignorais la sortie. De mon côté, je parlais du dernier en date, le WGIII sur la mitigation : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/
Malgré cela, la figure SPM7 est la même dans les deux cas, et chiffre bien des coûts sous forme de code couleur (fourchettes de coût). Et l’argument sur le nucléaire prend un nouveau jour : le rapport dont vous parlez traite seulement à la marge l’atténuation. Donc certes le mot « nucléaire » n’apparaît pas, mais par comparaison le mot « renouvelable » apparaît seulement trois fois…
Pour votre premier argument, je vous renvoie la balle : votre prémisse (le GIEC explique 98% du réchauffement actuel par des facteurs anthropiques) n’a pas de rapport avec votre conclusion (le GIEC disqualifie les données paleoclimatiques). Ce 98% est une conclusion à laquelle les chercheurs arrivent par la modélisation, pas une hypothèse arbitraire qu’ils adoptent.
Et enfin, sur le sujet du ton : oui, je me permets d’être agressif. D’une part parce que vous et vos partisans l’êtes vous-mêmes envers les écologistes (il suffit de regarder cette page : escrocs, vendus, nazis, abrutis, etc), et surtout car vous adoptez un discours dangereux simplement par esprit de contradiction et pour satisfaire votre amour-propre. Le manque de rigueur qui caractérise ce chat donne une piètre image de votre prétendue « quête de vérité »,
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ils mentent sur tous les sujets
c’est leur stratégie, « un mensonge répété… »
tiens notre auguste président va régler les problèmes d’eau( je me demande bien où il a vu un problème d’ailleurs)
et comme par hasard, sujet du jour sur Cdans l’air
« êtes vous prêt à payer votre eau plus cher?
ces crétins nous coûtent une blinde,pour imposer leurs lubies, qui va enfin mettre fin à cette fête au slip ruineuse?
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Jean Bon,
-en quoi affirmer que 1,07 des 1,09 degrés de réchauffement observé revient à mettre à la poubelle les données de paléoclimatologie pré-1850 (que beaucoup de chercheurs du GIEC ont consacré toute leur carrière à établir, soit dit en passant)??
Essentiellement parce que les outils utilisés par les paléo climatologues pour chiffrer les températures passées ne détectent pas de réchauffement récent exceptionnel, ils ne détectent pas ce 1.09 °C quelle qu’en soit l’origine.
Ces 1.09 °C sont censés correspondre au réchauffement entre les périodes 1850-1900 et 2011-2020, les outils des paléo climatologues donnent une valeur correspondante d’environ 0.4 °C.
Comme un réchauffement de 0.4 °C sur 150 ans n’est pas exceptionnel dans les siècles et millénaires passés, il n’y a aucun moyen de connaître la part éventuellement due au CO2.
Voilà la situation du point de vue de la paléoclimatologie. Vous pouvez essayer d’aborder le sujet sous d’autres angles et ce sera souvent encore pire pour la pseudo-science du climat. De la fumée partout et rien qui ne tienne debout.
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Phi,
Si votre affirmation est exacte, elle soulève en effet un point méthodologique intéressant. Auriez-vous des sources pour l’appuyer ?
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Pourriez-vous nous fournir vos sources ?
Par avance, je vous en remercie.
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Jean Bon, Nounours,
Dans ce que j’affirme, je fais implicitement référence à l’ensemble des données d’observations disponibles en paléoclimatologie. Cela fait plus de dix ans que je demande à toutes occasions une référence vers un jeu de données qui soutiendrait l’affirmation d’un réchauffement récent exceptionnel et je n’ai toujours rien obtenu.
Plus spécifiquement, le meilleur proxy de la température disponible est probablement la densité du bois d’été (MXD). Les données de Briffa 2013 reproduites dans le graphique ci-dessous montrent assez bien où se situe la barre qualitative.
Pour ce qui est de l’évaluation 0.4 °C, je la tire des données dites Briffa 1998 pour l’hémisphère nord complétées par le proxy basse troposphère :
Cette évaluation est cohérente avec tous les proxies de la température que j’aie pu examiner, y inclus par exemple le niveau des océans et le comportement des glaciers.
Si quelqu’un a une référence sérieuse vers quelque chose qui contredirait cette estimation, je suis intéressé au plus haut point.
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Bonjour Phi,
en fait, je demandais les sources de Jambon. Malheureusement je suis dans l’incapacité de répondre à votre propos (Ci-dessous). Vos sources sont claires. En tout cas, il faut espérer que Jambon répondra à votre question.
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Oui mais notre troll est « chercheur dans le nucléaire », ça devrait clouer le bec à plus d’un.
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Moi aussi je suis chercheur dans le nucléaire, je collectionne les noyaux de cerises.
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Excellent !
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Le catastrophisme climatique est un fond de commerce inépuisable, il suffit de conjuguer la catastrophe au dixième de degrés près pour trouver des jambons près à y croire et à en faire la propagande sans être rémunéré. C’est prodigieux.
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Le 30 mars 2023 à 14 h 49 min,
Benoît Rittaud
Le 30 mars 2023 à 17 h 41 min,
Jean Bon
Benoit , il faut arrêter d’inviter des jambons pour animer votre blog ; quelques tranches revenues dans la poêle , cela suffit
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J’abonde.
On ne sait si c’est du lard ou du cochon.
Et puis cher fritz, vous qui êtes alsacien, vous savez qu’au printemps, les six rondelles sont là…
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les six rondelles sont là , les six cognes aussi et sont de plus en plus nombreux à circuler dans les villes
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@benoitrittaud : Bonjour Benoît. J’espère que tu vas bien. Sur la forme, un lien vers le rapport de synthèse n’aurait pas été de trop dans cet article.
La question du coût du net zéro mondial en 2050 aurait en effet dû être chiffrée, c’est mon principal reproche. Il s’agit probablement du plus gros effort financier mondial de tous les temps (loin devant probablement celui de la seconde guerre mondiale à PIB constant) mais pour l’affirmer avec certitude, il faut des chiffres.
La Banque mondiale estimait cet effort NetZéro en 2015 à 89 000 milliards de dollars et plus récemment à 190 000 milliards de $, je crois. Quand l’aide au développement (santé, éducation, infrastructures…) représentait 1000 milliards de $/an fin des années 90, on voit l’effort à fournir pour le seul objectif climatique, qui se ferait probablement au détriment des secteurs traditionnels de l’aide classique au développement (j’ai un ami sénégalais qui est expert dans les projets d’aide au développement : le climat est probablement le domaine où il y a le plus d’appel à projets maintenant et principalement dans l’atténuation).
Face à un tel poids financier de ces objectifs climatiques officiels, il se pose donc des questions légitimes d’arbitrages budgétaires (pourquoi investir dans la décarbonation pour préserver des des vies plutôt que, par exemple, dans la santé ou la sortie de la pauvreté ?). Quelques chiffres : des millions de morts évitables tous les ans avec plus de moyens de santé, notamment un accès universel à la santé, alors que les catastrophes « climatiques », c’est 32 000 décès /an, en baisse constante depuis plusieurs décennies.
Du seul point de vue de la préservation de la vie humaine, le meilleur investissement est dans la santé (selon moi) ou dans l’économie, notamment auprès des pays et personnes pauvres et vulnérables, comme le soulignait très humainement M. Prud’homme.
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Bonjour Cédric, l’objectif n’est pas d’améliorer la santé ou le confort de vie, mais bien de tout faire pour réduire la population mondiale. Sous prétexte carbo-climatique, Klaus Schwab le Davosien l’explique parfaitement bien. Pour cela, rien ne vaut de pomper le peu de richesse et de libertés qu’ils restent aux honnêtes citoyens contribuables. Et au passage enrichir une nouvelle caste financière qui excelle dans l’escroquerie en bande organisée, avec la complicité de gouvernants mal intentionnés. Merci pour vos commentaires de qualité. Bien cordialement
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Bonjour JR. Avec les indices de fécondité qui tendent tous rapidement vers 2 dans les pays en développement et en dessous de 2 dans bcp de pays industrialisés, la réduction de la population mondiale se fait d’elle-même et un choc mondial de vieillissement arrive à grands pas, qui ne pourra pas être compensé par l’immigration comme actuellement.
Sur l’enrichissement dans l’escroquerie, c’est un des extrêmes du pendule de la l’alarmisme climatique, avec à son opposé, celui d’une certaine crédulité qui frise la bêtise. Merci à vous.
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Bonjour Cédric, le lien du doc demandé : https://report.ipcc.ch/ar6syr/pdf/IPCC_AR6_SYR_SPM.pdf Amitiés Dominique
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Merci Dominique, c’est vraiment sympa, en plus d’être probablement utile pour d’autres lecteurs. Jje me sens un peu coupable de ne pas l’avoir fait moi-même après l’avoir remarqué. Bon week-end.
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Bonjour, mais où est passé Monsieur Bon ? Merci. Bien à vous
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– Taisez vous donc, malheureux.
Vos incantations risquent d’attirer les petites créatures de la mythologie nordique.
– La remarque de M. Moro me rappelle que les ZFE sont mises en place pour diminuer le nombre de morts… prématurés.
Vous savez, ces gens qui ne sont pas réellement morts, mais qu’on compte comme tels car ils sont supposés mourir statistiquement plus tôt, à cause de la pollution de l’air.
Pollution de l’air qui tue, mais pas vraiment, tout en tuant quand même parce voyez vous c’est scientifique.
Les écolos se battent pour limiter un nombre de morts qui n’existent pas, de morts supposés à partir de situations fantasmées et totalement improbables qui jamais ne sont arrivées et n’arriveront jamais.
Les vrais morts des situations réelles ne les intéressent pas.
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De Perna …
Num potest de albo ille loqui, cui ignotum est atrum?
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Hald gosh und geh heim
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Cunctator, stop les faux textes. Prochaine incartade => modo a priori.
BR
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Je suis moins inopportun que Fritz n’est vulgaire.
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Du besch a davoir imbsel
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