Ce n’est certes pas la première fois que je fais une conférence et que je suis content de l’ambiance générale, mais là, l’événement organisé par le Club Entreprises Rives de Moselle est de ceux que j’aurais aimé qu’ils ne finissent jamais.
Vu des coulisses, ce qui a été remarquable a été la rapidité avec laquelle les huit intervenants ont formé une équipe. En quelques heures seulement, j’ai eu le sentiment de faire corps avec un groupe pourtant composé de personnes aux trajectoires sans aucun point commun. Il faut y voir la patte de Didier Chambaretaud, irremplaçable coach qui, ces trois derniers mois, nous a permis à tous de nous préparer à donner le meilleur. Chacun des huit exposés a ainsi apporté sa pierre à un bien bel édifice – et si je me mets dedans ce n’est pas par vanité mais par souci de ne pas donner dans une fausse modestie qui me ferait me distinguer de l’ensemble. De mon point de vue, l’essentiel n’a pas résidé dans la qualité de telle ou telle intervention, mais dans la réunion des différentes approches proposées de la notion de courage. Au début, j’estimais confusément que le thème de la soirée allait avoir un côté un peu gratuit, car on peut toujours tout relier à tout sans que cela soit toujours très pertinent. Rien de grave là-dedans me disais-je, mais j’étais loin d’imaginer que, finalement, la problématique posée se révèlerait effectivement un axe articulant nos interventions pourtant radicalement différentes.
C’est à votre serviteur qu’a échu le rôle d’ouvrir le bal. « Ça va être facile pour toi, t’es prof à la fac t’es habitué », me lançaient les autres… Mouais. En vrai, se retrouver devant 740 personnes dans une salle comme l’Arsenal de Metz, je peux vous dire que ça n’a pas grand chose à voir avec faire un cours dans un amphi de première année. En arrivant sur scène, intérieurement je ne faisais vraiment pas le malin. Au menu des 18 minutes qui m’étaient imparties : grains sur l’échiquier, tape sur le bec de Malthus (et plus encore sur ses épigones d’aujourd’hui)… du classique pour ceux qui ont lu La Peur exponentielle. Quelques considérations, hélas, sur l’attentat terroriste de Buffalo de samedi dernier, considérations sur lesquelles je reviendrai dans un prochain article (on se serait pourtant bien passés de cette actualité). Un zest de climato-réalisme, enfin, parce qu’on ne se refait pas.
L’exposé suivant a été celui d’Arthur Guérin-Boeri, champion du monde d’apnée. Le bonhomme nous a raconté la manière dont il s’est préparé à son record du monde de 2021 en eau glaciale, et le rapport qu’il a entretenu avec sa peur durant ses années de préparation jusqu’aux instants finaux où il a établi son record. Quelques minutes avant la soirée, comme on était plusieurs à ne pas savoir quoi faire de nous avant le début et qu’on était tous un peu stressés, il nous a fait faire quelques exercices de respiration avec une force d’entraînement assez incroyable, portée par une voix qui mettait en confiance en même temps qu’elle nous poussait à approfondir l’exploration de notre corps. Pour un intello dans mon genre, ce type d’expérience a toujours une valeur particulière, elle me rappelle que le cerveau n’est pas tout.
Karine Chossinand nous a parlé de son métier qu’elle a inventé : « non pas coach de vie mais coach de survie ». Les clients de Karine ? Ceux à qui on a dit qu’ils ont un cancer. Sacré travail que le sien : suivre le parcours psychique des malades et les aider à orienter leur trajectoire pour se reconstruire. Pour décrire l’état de ses clients (mais sans doute faut-il plutôt en parler comme de ses patients), elle utilise une échelle numérique inspirée de celles des douleurs. Dans cette dernière, on décrit la douleur comme une grandeur de 1 (douleur très faible) à 10 (douleur insupportable). Dans l’échelle de Karine, 1 représente une incapacité presque totale à se projeter dans l’avenir, et 10 une maîtrise parfaite de l’organisation de sa propre vie. La moyenne de ceux qui viennent la voir en venant d’apprendre qu’ils ont un cancer est de 4,3, et à l’issue du travail plus de 8. Là où les choses deviennent étonnantes, c’est que Karine a vu arriver de nouveaux profils lors de la crise du covid. Non plus des malades, mais des gens frappés par les conséquences socio-économiques de la pandémie. Des gens qui, curieusement, étaient eux aussi à 4,3 de moyenne dans son échelle (ce qui en dit long sur le drame psychique qu’a été la pandémie sur beaucoup de gens), et qu’elle a su aider eux aussi.
Alain Marcotullio était tout désigné pour l’intervention suivante, lui qui, en quelque sorte, a vécu le covid de l’autre côté, c’est-à-dire de celui de tous ces entrepreneurs dont l’activité a été si durement frappée par les confinements et restrictions diverses à partir de 2020. Alain est traiteur, à la tête d’une entreprise familiale de 70 personnes, et aussi responsable national de l’association des professionnels du secteur. « On est dans la merde, monsieur le ministre », a-t-il lancé début mars 2020 lors d’une réunion à Bercy, tandis que les annulations de colloques et de banquets se succédaient déjà depuis février. Du courage, il lui en a fallu pour continuer à se battre pendant plus de deux ans pour sauver ce qu’il pouvait, préserver ses salariés, reconstruire ses activités, sans baisser les bras.
Pascal Richet nous a ensuite parlé de la notion de consensus en science, et du courage qu’il faut pour aller contre l’esprit de groupe qui règne si souvent dans les labos de recherche, contrairement à l’imagerie d’Épinal qui voit volontiers le scientifique comme perpétuellement à la recherche d’idées neuves. Il n’a pas beaucoup insisté sur sa propre expérience malheureuse de censure scientifique pour propos climatiquements déviants dans une revue à comité de lecture (en passant : si je ne vous ai pas parlé du dossier que j’ai sur le sujet, ce n’est pas qu’il s’est dégonflé, mais parce que Pascal prépare une manière d’en parler à sa façon). Pascal a plutôt choisi, à raison il me semble, d’employer le ton dépassionné de l’histoire des sciences, de sorte à pouvoir mettre d’accord tout le monde sur quelques faits simples et hélas trop négligés : le consensus n’a pas de valeur scientifique, trop d’exemples du passé démontrant que l’unanimité du jour ne survit pas toujours au temps. Ma boule de cristal me dit que la vidéo de son intervention pourra constituer une excellente référence pour les climato-réalistes pas plus impressionnés que ça par l’argument d’autorité du « GIEC a dit ».
Alexia Hetzel nous a ensuite parlé de son parcours, d’abord fait de maintes difficultés professionnelles, entre autres en raison de sa grande gueule toujours trop prompte à la ramener en réunion, avant qu’elle comprenne que la racine de ses difficultés tenait à un mode particulier de son fonctionnement intérieur qui porte le nom de TDAH (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité). Il s’agit à la fois d’un handicap et d’un « super-pouvoir ». Un handicap parce que, entre autres, ce trouble rend difficile, pour celui qui en est victime, de se situer dans le temps long, la temporalité se résumant pour lui à la perspective purement dichotomique de « maintenant/plus tard ». (Allez donc planifier quelque chose avec ça.) Un super-pouvoir, parce que les personnes concernées ont un potentiel créatif élevé. Vu de loin, nous a-t-elle expliqué, ce dernier point devrait être un atout déterminant, sauf qu’il y a de la marge entre les beaux discours des DRH assurant « rechercher du personnel créatif » et la réalité du monde de l’entreprise, où la créativité fait peur et est bien souvent perçue comme une menace. Au cocktail qui a suivi la soirée, j’ai gentiment taquiné Alexia en lui disant que son exposé était excellent mais que bon, elle avait quand même eu jeu facile vu qu’elle avait juste eu un handicap à vendre. Ce à quoi elle m’a répondu qu’elle avait tout fait pour l’éviter (dézinguant au passage cette façon américaine de faire larmoyer avec des personnes en fauteuil roulant), et c’était tout à fait vrai. Elle ne voulait pas qu’on s’apitoie, elle voulait nous initier à sa façon spécifique d’habiter notre monde, et signaler que celui-ci n’est pas pensé (ni adapté) pour son type de fonctionnement psychique. Cela conduit souvent les personnes sujettes au TDAH à dissimuler leurs difficultés, parfois pendant des années, jusqu’au point où leur vie devient insuppoortable.
Des huit interventions de la soirée, celle de Raphaël Pitti a sans doute été la plus émouvante. Voilà un spécialiste de la médecine de guerre qui, stationné durant des mois en Arabie Saoudite durant la première guerre du Golfe en attendant l’arrivée de blessés, s’est posé des questions sur son engagement de terrain et la meilleure manière d’être vraiment utile. On l’a senti plus d’une fois débordé par l’émotion lorsqu’il nous a raconté les terribles exactions dont il a été le témoin en Syrie (commises, déjà, par l’armée russe), un pays où il s’est introduit de nombreuses fois clandestinement et où il a, en quelques années, formé plusieurs milliers de soignants. Ces jours derniers, Raphaël était en Ukraine pour y chercher une dizaine de médecins locaux qu’il a fait venir à Metz pour les former à la médecine de guerre. En un mot, Raphaël est le genre de monsieur à côté duquel on se sent vraiment tout petit.
Élisabeth Grimaud a fermé la marche avec une présentation extrêmement instructive sur la biologie du plaisir, du stress ou du courage, avec pour message que non, tout n’est pas « dans la tête » : le corps aussi est un acteur essentiel de ce que nous ressentons. Un point remarquable de sa présentation a été la façon particulièrement effiicace de présenter ses idées (j’espère en prendre de la graine). Retenez D.O.S.E.® (oui, il y a un ®, elle a déposé le concept) : Dopamine, Ocytocine, Sérotonine et Endorphines, mais aussi les signes qu’elle leur associe pour en faire comprendre les effets. C’est « +. » pour la dopamine, c’est-à-dire « du plaisir (le signe +) et puis c’est tout (le point final) », puis « +:+ » pour l’ocytocine, substance qui créé le plaisir pour deux personnes liées (notamment par le lien mère-enfant), et ainsi de suite.
En principe, les vidéos des exposés devraient être montées et disponibles sur YouTube. Il faut juste espérer qu’il n’y aura pas eu de problèmes techniques ou de défaut d’enregistement, parce que la maison-mère TED n’a pas l’air d’être du genre à rigoler sur les autorisations de mise en ligne. Mais vu l’équipe d’organisation vraiment très pro, je ne m’en fais pas trop. Et vivement le prochain…
Ça fait un bien fou de voir qu’on est pas tout seul à voir autre chose dans la vie que la télé réalité.
Bravo à tous
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Merci Benoît, on attend avec impatience la diffusion (non tronquée !) sur YT… et pas seulement la tienne (je taquine).
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Grand merci Benoît pour votre présence à cet événement qui, je l’espère, sera abondamment relayé.
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J’ai trouvé intéressant le paragraphe relatif à Alexia Hetzel et la notion de TDAH. J’ai recherché sur le net un peu plus d’infos sur cette personne et j’ai trouvé cet article :
https://theconversation.com/trouble-du-deficit-de-lattention-decouvrez-les-talents-de-vos-employes-atypiques-149859
Je me demande si je ne serai pas personnellement un peu concerné par ce « syndrome ». En tous cas quand je lis ça, je me dis que ça me concerne un peu :
« des études récentes montrent que les personnes TDAH ont un potentiel créatif supérieur à la normale, qui se manifeste notamment par une tendance à l’anticonformisme, à la pensée originale, et la pensée divergente. »
En tout cas le climato-réalisme, c’est clairement de l’anticonformisme et de la pensée divergente. Et vous avez sans doute constaté comme moi, que les anticonformistes que sont les climato-réalistes ont pour la plupart été aussi « raoultistes » et très critiques vis à vis des politiques sanitaires menées dans la plupart des pays occidentaux face à la covid19, dont on espère bien qu’elle va désormais cesser de nous embêter.
Tous les climato-réalistes ne sont très probablement pas sujets au TDAH, mais je ne serai pas surpris que l’inverse soit vrai.
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Oui et ce qui est navrant c’est que désormais un « non-conformiste » est traité directement de « complotiste », et ce, sans aucune réflexion derrière. Quel monde !
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Merci Benoît pour ce résumé enrichissant.
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Bonjour,
J’aime bien en général ce que vous écrivez, même si je commente rarement. Mais ici, il y a une remarque que j’ai envie de commenter: « commises, déjà, par l’armée russe ». Sans doute que dans le contexte, c’était vrai. Mais ce sous-entendu implicite que les russes sont toujours les méchants, surtout dans le contexte actuel, m’irrite. En Syrie, des monstruosités ont été commises pas tous les belligérants, y compris les américains et turcs sans parler des islamistes. Et les drone de Obama n’étaient pas gentils. En Ukraine, je vous invite à regarder le film de la journaliste Anne-Laure Bonnel sur ce qui se passe depuis 2014 au Donbass (https://vimeo.com/202792798) avant de juger l’armée russe.
Les russes sont les méchants, c’est du même ordre que le CO2 c’est méchant. On a le droit d’être plus intelligent que cela.
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Les russes ne sont pas plus méchants que la moyenne de nos congénères mais le mode de fonctionnement du régime russe et de son armée fait que les exactions sont plus facilement commises et pas obligatoirement dénoncées, médiatisées et sanctionnées par les hiérarchies, en particulier lorsque elles sont utilisées comme outil politique.
Ce sont des faits historiques et bien documentés.
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Les mêmes problèmes se passent dans tous les pays et la France n’en ai pas exclue. François Hollande a admis avoir fait exécuter une cinquantaines de personnes. Certes, des terroristes à l’étranger. Mais peut-on se vanter d’être contre la peine de mort et faire cela? Epstein est tout de même décédé bizarrement dans sa prison aux USA. Et les exemples sont légions sur toute la planète. Mais seule la Russie semble bénéficier d’un traitement particulier. La Russie telle qu’on la perçois me semble plus un mythe qu’une réalité.
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@Fabien
La Russie de Poutine a trop longtemps bénéficié de trop de mansuétude de la part de la collectivité internationale.
Malgré ses exactions connues en Tchétchénie, Géorgie, Syrie et j’en passe, elle n’a pas vraiment été mise au ban des nations et a même reçu la Coupe du Monde de Foot en 2018.
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@douar:
C’est votre point de vue, que je ne partage pas du tout. Je pense au contraire que ça fait 25 ans que la Russie ne cesse d’être injustement vilipendée, contrairement à beaucoup de pays qui le mériterait bien d’avantage, à commencer par les USA à l’origine de toutes les guerres récentes. Et quand on s’intéresse au sujet, il n’est pas aberrant de voir en Poutine un De Gaulle russe (De Gaulle avait aussi fait la guerre en Algérie, avait laissé massacré des milliers de personnes, en particulier les harkis, mais n’en reste pas moins un grand président qui a redonné à la France sa grandeur). Accordez-moi d’avoir le droit de penser ainsi. Mais ce n’est peut-être pas l’endroit, je pense, pour argumenter davantage, car j’aurais énormément à dire sur le sujet, et j’imagine que vous aussi, et nous ne seront pas d’accord.
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@Fabien Selon moi, c’est là où vous dérapez. Autant, oui, il y a une certaine doxa sur la guerre en Ukraine, autant il est bon d’en avoir la vue la plus complète possible avec des informations alternatives fiables et les points de vue des deux belligérants mais cela, ne peut être fait que pour comprendre chaque partie en vue de RETOURNER A LA PAIX, où la solution sera forcément dans la nuance, et non de justifier et de légitimer la guerre de Poutine comme vous le faite (si De Gaule a fait des massacres en Algérie, alors les autres, dont Poutine, auraient le droit). Dans ma définition d’un Grand Homme, il n’y aura jamais de place pour celui qui massacre et je ne suis pas le seul à le penser, heureusement.
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Bine sur rien n’est ni tout blanc ou tout noir, mais dans le cas de la guerre en Ukraine, il y a très clairement un agresseur et un agressé, l’agresseur est la Russie, l’agressé est l’Ukraine.
Ajourd’hui, et au sujet de la guerre en Ukraine, les bémols et les teintes aquarelles me semblent malvenus.
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Tout comme sur le CO2, où, il y a, selon beaucoup, un consensus où les bémols et les teintes aquarelles semblent malvenus.
Désolé de ne pas partager votre point de vue, mais « les bémols et les teintes aquarelles » argumentées me semblent toujours les bienvenues.
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Le lien youtube est-il sorti ?
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principe : gaine de conatus fractal-topographique diffusive avec un conatus de joie infini au pré-calcul de Libet de ses propres variables de mouvements
hardware
réseau de communication géométrique
Le matin se pose la question du locus de calcul virtuel des opérations de la nature. -> motifs géométriques, nombres premiers, transcendants, une partie des complexes, lois de puissances
bios, wetware
perfection de l’entendement
relation étoile
logiciel
cohérence logique entre prémisses parfaites et conséquences parfaites
Tandis que la question P = NP pour la puissance de calcul artificielle se pose pour les problèmes du soir. -> calcul mental-arithmétique-algèbre-stratégie-quizz
INFORMATIQUE DE LIBET
hardware de Libet
principe simple qui guide les différents niveaux complexes : f = m*a (thermodynamique à l’équilibre) et (+équinumérisme) ensemble de mandelbrot = topologie fractale*énergie libre (thermodynamique hors-équilibre)
actualisation a priori de l’informatique de Libet :
– la totalité des noèmes intentionnels des êtres réflexifs de l’univers
– noosphère : opérateurs de communications et opérateurs de singularité collective et d’ostentation territoriale -> murmurations météorologiques pseudo-aléatoires spontanées, distribuées, à diffusion chimique avec des répartitions précises
– réseau chromosomique du vivant organique : opérateurs d’angoisses et opérateurs d’extases -> murmurations de camouflages et de pyrotechniques territoriales pseudo-aléatoires spontanées, distribuées, à diffusion chimique avec des répartitions précises
– réseau d’autonomie : opérateurs synesthésiques-biomimétiques et opérateurs syntaxiques-exodarwinistes -> murmurations pseudo-aléatoires spontanées, distribuées, à diffusion chimique avec des répartitions précises
– réseau pré-chromosomique et champs d’ARN de virus bactériologiques
bios et wetware de Libet
méditation de compassion ; prière de compassion -> visualiser et projeter l’angoisse dans l’espace externe
méditation de bienveillance, gratitude ; prière de bienveillance, gratitude -> visualiser et projeter les couleurs dans l’espace externe
méditation kama-sutra ; prière de refrain musical -> visualiser et projeter la sexualité dans l’espace externe
phase de composition constructive, matin |[défaite haine-stress fort, kinesphère, fonction zêta, ensemble de Cantor en 0,1, méditation de compassion]|non-moi absolu -> TCS, BBC, porno cuckhold
(rapport motifs/répartitions) itére les objets à irrégularité apériodique (cristal, phyllotaxie, stigmergie), théorie des systèmes complexes, logique intensionnelle (attributs, proposition, signification), significative, contextes A croit que p
phase des gammes dynamiques, midi |[défaite haine-stress moyen, dynamo-proutosphère, permaculture, mysticisme borderline ?, méditation de bienveillance, gratitude]|non-moi relatif -> face sitting cunni, face siting
(rapport poids/puissance) intégre les objets contradictoires (coordonnées, trajectoires, accélération), théorie de la matérialité réccurente, logique extensionnelle (équivalence tautologique, complétude fonctionnelle, compositions de Pensées), vérifonctionnelle, fonctions de vérité
phase chimique passive, soir |[victoire détente forte, dynamosphère, rangement, expérience-flux, méditation kama-sutra]|moi -> gang-bang hardcore »
froid, ordre (vérité, météo, indifférence) -> on trie des nombres premiers et tout tenter sur la fonction zêta -> démocratie et voiture le matin -> hymne national la main sur la poitrine dès 6 heure du matin avec la prière pour le christ et bouddha et les pauvres de ce monde !
froid, désordre (antifragilité, spinozisme, rhizome) -> faire de la géométrie et du rangement, tout doit être nickel -> ensuite hymne à la joie puis win de jay rock -> prn tcs, bbc, cuckhold je défends et prends tout au pressing
chaud, ordre (vérité, météo, différence) -> permaculture -> jeu de rythme et vélo électrique le midi -> osu et écriture de gratitude-bienveillance -> mur de l’attaque des titans mais de face-sitting à culs de femmes
chaud, ordre (vérité, météo, petites différences) -> vie contemplative, arts plastiques, gestion spontanée de la chaleur, massages, sport
chaud, désordre (antifragilité, spinozisme, rhizome) -> faire du calcul mental et de l’algèbre et arithmétique quelconque -> jeu, sexe et danse le soir -> Aoe, vrai détente en lisant des bons protocoles ancestraux de sexe
le logiciel de Libet
douleur de Libet (pas de moi mais vécue par moi) et stress de Libet (source imprécise)
module descriptif D’ABORD dichotomie à l’axe/téléautomates/relation aRb -> ENSUITE internet/ia/web
module interprétatif D’ABORD gestion par monnaies locales/gestion de l’axe dichotomique-R basé sur l’immunodépressivité du flux de vie du point de vue humain/gestion par interventionnisme technocratique à optimisation naturelle (et non pas à optimisation artificielle) -> ENSUITE libéralisme/capitalisme/démocratie
LIAISON PARTIELLE ENTRE HARDWARE ET LOGICIEL DE LIBET
murmurations météorologiques, de camouflages et de pyrotechniques territoriales pseudo-aléatoires spontanées, distribuées, à diffusion chimique avec des répartitions précises
SOLUTIONS LOCALES DU BIOS ET WETWARE
AVANT
barrière et gaine dopaminergique diffusive -> lithium, magnésium (harpagophytum), travail kiné sur les tendinites, bons anxiolytiques (stresam, rhodiole, bacopa), cardio de longues distances
géodésie de sélection naturelle -> ambidextrie, jouer d’un instrument de musique, oméga 3, bains d’eau froide, argile, travail kiné sur la souplesse et l’équilibre, anti-vertige (acétylleucine, bétahistine ; piracétam ; méclozine), cardio de courtes distances et cardio de moyennes distances (trail)
opérateurs synesthésiques-biomimétiques -> visualisation dans l’espace externe de l’angoisse, couleurs, sexualité ; DMT
MILIEU
murmurations, correspond au trois niveaux météorologiques de la mémoire :
« il n’y a que deux tendance bipolaires sur le chaos détermniste -> anxiolytiques efficaces, [lithium], branlette bonne/divine pour éviter les excitations sado-masos et psychopathes
soit c’est les pensées invasives (typique des schizophrènes) soit c’est typique des incels et autiste -> biais d’impuissance acquise/compulsion de répétition/comportements passifs-agressifs -> une barrière et gaine dopaminergique à diffusion chimique distribuée plus qu’une barrière et gaine à réaction chimique centralisée
après le chaos rétentionnel -> toxicologie, [nicotine], immunité adaptative
alzheimer [parkinson, gilles de la tourette, TOC] sclérose en plaques
après le chaos récupérationnel -> boucles physiologiques élémentaires, [ours bleu, tigre violet, taureau rouge], boucle grammaticale : angles verticaux, LATERAUX, DIAGONAUX fractals et ostentation territoriale optimisés naturellement
manque de confiance en soi [LA guerre] mauvaise gestion de l’agressivité et de l’ostentation territoriale »
APPRES
ici la pathologie à traiter est la mythomanie
la procédure des milles questions quizz les plus cohérentes logiquement c’est plus ça :
opérateurs de singularité collective et d’ostentation territoriale
opérateurs d’extases
opérateurs SYNTAXIQUES-exodarwinistes
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Trop long.
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on risque d’avoir besoin de mathématiciens pour battre les russes qui risquent de revenir à l’assaut à l’avenir…
https://lavoiedelepee.blogspot.com/2022/06/linfanterie-les-chars-et-la-guerre-en_7.html
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Trop court.
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