Retour du confinement, retour des quatorzaines ! On les avait oubliées, heureusement Chrit veille… Les autres poètes en herbe qui voudront publier leurs sonnets de mirlitons sont à nouveau les bienvenus, envoyez-moi vos merveilles pour publication sans filtre !
Valse-hésitation
Am-stram-gram, on est dans la galère,
Pour la deuxième fois on est dans le chaos,
Fallait se masquer mieux, c’est la faute à l’hiver,
Fallait anticiper, c’est la faute au temps chaud.
Tous devaient se méfier, c’est le nouveau credo.
Personne d’innocent, dans ce nouveau calvaire.
Boulot métro dodo, c’est la faute à Voltaire,
Tsumanis, deuxième vague, c’est la faute à Rousseau.
Le commerce ou la vie ? le fric ou le décès ?
Un coup l’un, un coup l’autre, ou la moitié des deux.
Oubliez les selfies, à vos masques, Français.
Ils se sont rencontrés, les vieux. Tant pis pour eux.
Attestations, dérogations,… C’est officiel,
Bien malin qui dira notre état à Noël.
Chrit.
A Noël je mangerai ma biche à la cuisine !
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ma buche …
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Avec Mamie ?
Dans le sellier, on peut la pousser , dans les ronces par contre … ahem…
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Tous dev-r-aient se méfier… La vue d’ensemble ici, pour mieux comprendre les « incohérences » apparentes de la gestion de la crise, avec l’éclairage avancé des Canadiens:
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La biche peut se déguster dans le cellier mais c’est plus confortable sur un canapé, comme une caille.
Quant à la bûche… Il vaut mieux parler de gros gadin…
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