La quatorzaine de ce soir, par Alice. C’est bientôt le début du déconfinement, mais on continuera après lundi si le flot continue.
Statuer sur la LibertéChère Liberté, mais où donc es-tu passée
On te cherche partout, dans la salle à manger
Voyons la salle de bain et la chambre à coucher
Il ne faut rien négliger pour la retrouver
Dehors peut-être, il faut que je m’en assure
Douce Liberté je veux voir ton ciel d’azur
Impérieux pour ma santé et mon avenir
Xérophytes à force nous pourrions bien devenir
Neuf semaines sans elle et nous la redécouvrons
Elle est trésor, la retrouver nous nous devons
Un parfum me vient aux narines, onze mai chéri
Fait que notre Liberté ne soit pas délit
Que nous puissions tous pleinement en profiter
Car sinon dans le pré c’est sûr elle va filer
mais le bonheur est dans le pré !
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Bonsoir, vous aurez remarqué les initiales des 12 premiers vers… 🙂
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NOn ! quelle classe !!
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Un acrostiche, donc…
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C’est parfait.
La liberté en effet n’est pas qu’une idée pour philosophe mais une application pratique de tous les jours. A certains moments tristes, la population semble ne même plus saisir le concept, qui est pourtant au sommet de la hiérarchie de nos lois. Ceux qui la bafouent s’appellent des délinquants ou des criminels.
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Je suis en train d’écouter The Andrew Marr Show, la grand messe d’information hebdomadaire ici au Royaume Uni (sur la BBC, une chaine hyper-étatiste extrêmement biaisée). Peter Horby qui dirge l’initiative d’évaluation des traitements du C19 « The Recovery”, vient de faire une promotion surprenante du Remsedivir (il n’a pas été questionné sur les relations étroites qu’il entretient avec Gilead depuis longtemps), et démoli l’approche hydroxychloroquine qu’il a qualifié d’imprudente à cause de ses effets secondaires dramatiques. Le combat est vraiment international.
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