Heureuse année 2019

Par Cédric Moro

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Merci à tous les lecteurs du blog de Benoît d’avoir pris le temps de me lire et je le remercie de m’avoir permis de partager avec vous ma pensée climato-réaliste (ça fait du bien). Je vous adresse à tous mes meilleurs voeux pour l’année 2019, dans les meilleures conditions puisque de notre côté, nous sommes débarrassés d’un futur apocalyptique causé par le méchant céodeux.

A cette occasion, je vous invite à lire ou à relire mes (nombreux) articles publiés contre la pensée climatique unique depuis un peu plus d’un an :

Campagne des Youtubeurs pour sauver le climat (quelle époque formidable)

Tel un titanic aux fondements anti-démocratiques assumés, la campagne des Youtubeurs français a essayé de mener les français en bateau jusqu’à son naufrage ultime avec la pétition record mais des plus bidons sur le climat, récupérée par le gouvernement en manque de légitimité sur les taxes climatiques depuis l’acte I des Gilets Jaunes.

En annonçant de 2 millions de signataires, l’objectif initial de mobiliser les 3,5% de la population a été atteint, mais seulement dans les chiffres annoncés par les ONG climat et une presse acquise car le buzz populaire n’a pas eu lieu (nous y reviendrons dans un prochain article ciblé Astroturfing).

– La pétition l’Affaire du siècle : un naufrage intellectuel et démocratique

– L’organisation de la marche pour le climat via #OnEstPret

La Marche pour le climat : l’objectif inavoué d’#OnEstPret

– A #OnEstPret, on a touché le fond

A #OnEstPret, on défend (encore) la taxe carbone

– #OnEstPret à être des SuperKonar

– #OnEstPret : dans les poubelles de la pensée climatique

– #OnEstPret : Pub papier, non ; pub Youtube, oh oui !

– Chez #OnEstPret, les lumières sont éteintes

– #OnEstPret : sauver des vies en supprimant des emails

– #OnEstPret : les bases anti-démocratiques

Les prospectives foireuses autour du climat

Le catastrophisme climatique hante l’histoire humaine et ses organisations, probablement depuis ses origines. Tout cela n’est pas nouveau et tire ses racines dans des visions idéologiques régressives. Mais ce catastrophisme génère de bonnes punchlines et des images spectaculaires dont notre société médiatique est friande. Les politiques ont bien compris les effets de levier qu’ils peuvent en tirer, notamment au niveau fiscal. Beaucoup de scientifiques, en recherche de financements, y trouvent une véritable manne. D’où la naissance récente d’un véritable dogme sur le sujet en France.

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– Les dystopies climatiques de la défense nationale

– Le catastrophisme climatique des années 60 à 80 à l’épreuve des faits

Aléas météo et alarmisme climatique

Cette tendance des médias à reprendre les effets d’un aléa météorologique pour illustrer un changement catastrophique du climat est non seulement anti-scientifique, hyper-anxiogène mais aussi, tel un obscurantisme des temps modernes, elle exige de penser que l’on pourrait se protéger des catastrophes naturelles en agissant sur nos émissions de CO2 plutôt qu’en améliorant la prévention, la préparation et notre résilience aux catastrophes naturelles. En toute irrationalité, la réduction de notre vulnérabilité, thème majeur, est largement oubliée des débats autour des catastrophes météorologiques, alors même que les efforts de la France pour réduire le CO2 ne pèsent rien au niveau mondial.

1 an après, l’ouragan Irma perd son seul record notable

Irma : un record de rumeurs

Irma : chronique d’un « record » médiatique

Sécheresse : quand des médias en craquent

Le frigo climatique de Jean-Louis Étienne

Tout le monde se moque bien du changement climatique

– Pas de priorité climatique selon les leaders mondiaux

Comme j’ai essayé de le montrer dans tous ces articles, il n’y a pas lieu de s’inquièter plus que de mesure de l’évolution du climat, même si, comme en tous temps, nous devons rester vigilants et nous préparer aux aléas météorologiques.

Contrairement aux alarmistes, nous ne sommes pas hantés par le mythe de l’apocalypse climatique. Réjouissons-nous alors d’être dans les meilleures conditions pour passer une heureuse année 2019.

Meilleurs voeux à tous.

Cédric

 

67 réflexions au sujet de « Heureuse année 2019 »

  1. Y a t’il des papiers sur le RCA, relative aux critères de stabilité type Critères de Nyquist, pour le système climatique.

    j’ai lu deux critiques qui me parlent, elles :
    * dans un système non linéaire extrêmement complexe comme le climat, il est très improbable qu’un unique paramètre (le taux de GES) ait un effet notable (sans que les autres ne s’y opposent), et surtout univoque. Le système ne serait pas assez commandable avec ce seul paramètre.
    * vu l’historique du climat, les yoyos des GES, des températures, des forçages astronomiques, même récemment, les chances d’un basculement de mode aussi brutal que annoncé, sont infimes.

    Comme vous c’est un mathématicien qui a fait son coming out.

    De mon coté je me souviens d’un point sur les systèmes dits « chaotiques », c’est qu’ils deviennent paradoxalement moins chaotiques quand le nombre de variables d’état augmente de manière massive (la matrice grossis et ça a un effet… Peut-être comme en physique quantique avec la condensation de la fonction d’onde qd le système est ouvert sur l’observateur).
    L’effet papillon qui effrayait Lorenz, serait en fait moins présent sur le système climatique réel, que sur les premiers modèles simplistes qu’on l’on fait paniquer (mathématiquement là).

    Sinon peux t’on prendre le risque?
    Après si comme Judith Curry on propose des solutions « no regret », pourquoi s’y opposer?

    Je comprend qu’on refuse d’arracher un bras des pauvres d’afrique pour un truc que certains discutent, mais s’il s’agit de proposer du nucléaire en remplacement du bois, du charbon
    (on est bien d’accord que si le CO2 est un vrai problème, les éoliennet et le PV n’en est pas une solution) et risquer entre 50 et 4000 décès toutes les décennies (bilan de tchernobyl, selon qu’on utilise les décès enregistrés, ou les estimations LLNT, loi réfutée sans remplaçante acceptée).

    Le point qui me chagrine, c’est que si pas mal d’argument sceptiques sont pas crédibles, u au moins opposés avec crédibilité de l’expert, le comportement absurde de la communauté climato-sensible est assez peu crédible non plus sur pas mal de sujets où on peut avoir une opinion facilement en étant ingénieur.
    Ils sont soit très antinucléaire, soit vraiment pro à contre cœur comme Hansen ou le GIEC.
    Coté math et résolution de problème, c’est à pleurer sur l’analyse ds incertitudes, du chaos, et ne parlons pas du biais évident de négation des effets positifs, et la focalisation sur la « mitigation » par rapport à l’adaptation…

    Ca n’aide pas à leur faire confiance. La dernière sortie contre les sceptique, Allègre&co, de Le Monde est assez ridicule quand on a suivi la controverse, car c’estbien le rodocume de Al Gore, et des autres activistes indignes de toute confiance, qui a fait le plus de mal aux trèses climatiques.

    Dur de décider, même en situation à forte asymétrie (précaution), dans ce galimatias de délire idéologique et de gros budgets politisés.

    En tout cas, mathématiquement avoir un papier sérieux sur les critères de stabilité du système climat, serait sympa.

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    • Vous dites : « Comme vous c’est un mathématicien qui a fait son coming out ».
      Je l’ai noté en haut et en bas de l’article mais je ne suis pas mathématicien même si les théories des systèmes chaotiques m’intéressent comme celle de la sensibilité aux conditions initiales et de sa conséquence l’imprévisibilité de ces systèmes, des attracteurs étranges de Lorenz ou de l’entropie de Prigogine.
      Pour ma part, quoiqu’avec un BAC S, j’ai eu un master en géographie (qui m’a fait bcp voyager, c’était le but, je ne voulais pas rester coincer dans un labo). Je m’attache d’abord aux faits, aux relations hommes/milieux et aux aspects idéologiques et historiques qui les sous-tendent et font évoluer nos représentations dans le domaine des risques majeurs.

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    • Bonjour et bonne année sur ce blog.

      Je pense que De Larminat est le seul à tenter une approche »système » sur le climat,approche qui me semble extrêmement féconde. Vous pourriez essayer de vous rapprocher de lui.
      Concernant la stabilité, le système climatique n’est pas forcément « stable », il est même plutôt « oscillant », ce qui cadre bien avec un système non linéaire: la plupart de ces systèmes, en présence d’une perturbation extérieure, et parce que les systèmes réels ne sont jamais exponentiels à l’infini, (cf B Rittaud) atteignent une « saturation » et se mettent à osciller. Un exemple connu de tous est l’effet Larsen.

      On peut très bien imaginer que c’est la situation du climat dans l »holocène… jusqu’à ce qu’il passe, peut être brutalement, dans un autre état.

      Nous vivons depuis 10 000 ans dans un climat qui oscille, mais très modérément. On peut supposer qu’il y a des non linéarités et/ou des rétroactions fortes à toute évolution de variables, ceci expliquant cela. Les nuages pourraient en être une.

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    • Oubliez le climat et le CO2 (un instant).

      Le charbon, même exploité dans les meilleurs conditions, pollue l’air.

      Les « renouvelables » sont une fumisterie. [Remarque : Même un gamin le verrait s’il s’informait, de la même façon qu’il verrait que la présentation de la couverture médiatique de l’accident de PN de Millas a pour objectif de protéger la SNCF, ou que le « fact checking » du débat MLP-Macron a pour but d’éviter à ce dernier l’humiliation qu’il mérite, ou que :

      – dans l’accident de PN de Millas : on ne peut pas insister sur le fait qu’il n’y a pas de trace de freinage du bus et dire ensuite qu’il a freiné trop tard;
      – dans le débat MLP-Macron : on ne peut pas dire que l’ECU ne servait pas de monnaie, n’était pas une monnaie, ne pouvait pas servir de monnaie, et ensuite dire que l’ECU était très rarement utilisé entre grandes entreprises et les banques comme monnaie (qu’il servait parfois de monnaie);
      – on ne peut pas dire qu’il est moral, bénéfique, favorable à l’environnement, essentiel d’utiliser les énergies renouvelables (notées ER), et que ces sources sont par définitions inépuisables si les barrages hydroélectriques sont ER dans certains pays/états et pas ER dans d’autres : cela montre que ER est un label attribué arbitrairement et qu’il n’y pas de caractère ER intrinsèque à un moyen de production (sauf si les lois de la nature changent d’un pays à l’autre);
      – on ne peut pas dire que les ER sont déjà moins chères que les « anciennes » énergies (ringardes) et prétendre que refuser de les subventionner est un crime contre l’environnement.

      Rien de tout cela ne relève de compétences niveau bac+5 en statistiques, thermodynamique, géographie, cycle de l’eau, économique, finance, mécanique, accidentologie… ni même du niveau brevet des collèges. Je ne vois pas pourquoi un gosse n’arriverait pas à voir ces problèmes (mais je peux imaginer pourquoi il n’aurait pas envie d’avoir l’air de jouer les fortes têtes en les mentionnant en classe).

      Les « adultes » sont souvent des gens qui ayant perdu toute boussole et tout sens commun se font passer pour des « adultes » en répétant des âneries qu’ils entendent des autres « adultes » qui se font passer etc. C’est l’équivalent d’une IA à apprentissage qui apprendrait sur la base de la sortie des autres IA à apprentissage.

      Ces contradictions des discours médiatiques dominants, et bien d’autres, sont évidentes pour toute personne qui n’a pas eu le cerveau réduit en fromage blanc périmé. –fin de la remarque]

      Que reste-t-il? Le nucléaire est toujours remis en cause par des associations qui considèrent comme une méga-catastrophe un accident qui contaminerait un grand territoire. Mais à chaque fois qu’on fait un calcul pour voir ce qui est considéré comme catastrophique et horrible pour la santé humaine (et des animaux), il s’agit d’accidents où les doses de radiation sont ridicules : la presse relayant servilement le discours catastrophiste a mentionné il y a quelques temps un animal sauvage très contaminé par les retombées radioactives « de Tchernobyl ». Une simple vérification avec les synthèses publiées par l’IRSN (qui ne sont pas contestées par les antinucléaires) et une immense compétence en maths (savoir utiliser la fonction multiplication de la calculette) permettait de voir qu’en mangeant régulièrement de l’animal sauvage le plus contaminé, on n’arrivait même pas à une dose radioactive supérieure à celle tolérée. J’ai posté cela sur les pages de discussion d’un site qui se veut un site de réflexion et de débat (pas un comparaison entre cartes graphiques et entre modèle d’iPhone) et de façon évidente personne n’avait pensé à faire ce calcul qui impliquait de :

      1) chercher les informations disponibles sur le Web OUVERT (légal, gratuit, contrairement aux lesétudes scientifiques payantes)
      2) multiplier les valeurs trouvées

      Ce qui montre le résultat de l’investissement dans « l’éducation » : quasiment personne (sur un site sur l’informatique où on prétend élever le niveau et débattre de questions de société) n’a l’idée d’aller chercher une information et de faire un calcul simple. C’est juste moins distrayant que de répéter en boucle : « lelobbydunucléaire veut ceci-cela, influence les politiciens, impose ses choix, etc. »

      La lecture de la littérature antinucléaire me fait penser que tout l’édifice de la crainte du nucléaire repose sur le dogme du caractère inacceptable de toute exposition accidentelle à des radiations (à presque n’importe quelle dose). Il faut pour cela que la moindre élévation de la radioactivité par rapport au niveau antérieur (pas par rapport au niveau d’une autre région) fasse considérer la région comme irrémédiablement polluée et inhabitable.

      (Par contre un accident de train qui fait cramer un quartier envier, ça passe quelques heures à la une et basta on passe à la suite. La vie humaine ne compte pas pour cette communauté là quand les gens sont victimes de chutes, noyades, feu…)

      Si on revient au climat :

      Valérie Masson-Delmotte a dit (enfin je pense que c’était elle, ou une de ses copines, ou une autre championne française) à la télé : il n’y a fait chaud au moyen d’age qu’en France, ou peut-être en Europe (paraphrase)

      https://sauvonsleclimat.typepad.fr/le_blog_de_lassociation_s/2009/09/que-penser-des-arguments-des-climatosceptiques-/comments/page/2/

      « Faux. L’optimum médiéval ne concerne qu’une partie de l’hémisphère nord, avec un maximum vers le Groenland »

      C’est le niveau d’aboutissement de la Science! Cela inspire confiance…

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      • Une « salade » à bac-10 alors.

        Une « salade » qu’un gamin pourrait manger.

        Une « salade » sans considérations thermodynamiques, sans thermalisation, sans modes de vibration des molécules, sans longueur d’onde du photon, une « salade » non quantique, contrairement aux « salades » habituelles des sites sur l’effet de serre.

        Une « salade » qui démontre que toute personne que accepte le discours médiatique sur tous les sujets mentionnés ici, et sur d’autres (qui sont tabou sur ce blog), a non pas de la « salade » mais du fromage périmé en guise de cerveau.

        Et bonne année!

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  2. Merci pour ces vœux qui me réchauffent !
    Je te retourne les miens en feed-back et souhaite un climat familial, professionnel, culturel et tout et tout …agréable pour tous en 2019

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  3. Merci. Je vous souhaite une excellente année. Continuez opiniâtrement, SVP ! Je suis atterrée par cette absurdité cautionnée par quelques « prétendus scientifiques » opportunistes.

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    • Merci. Dès fois, face à tant de lavage de cerveau, j’ai juste envie d’arrêter d’écrire sur ce sujet tant le dogme est puissant.
      Par exemple, quand j’ai vu la presse reprendre à l’unisson les chiffres bidons de la pétition de Greenpeace sur le climat, sans aucun recul, j’ai dit à Benoît que j’arrêtais d’écrire pour revenir à une vie plus réelle car ils avaient déjà gagné dans les médias. Il m’a remotivé en me disant que c’était important de ne pas laisser se propager de telles pratiques et idées sans rien dire. J’ai écrit l’article et il a cartonné dans les stats du blog, sur Contrepoints et probablement ailleurs. Un jour ou l’autre, nous arriverons à briser ce dogme. En tous les cas mon côté naturellement résistant et batailleur est mis à rude épreuve face aux alarmistes.

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  4. Meilleurs vœux depuis mon humble chez moi… et je vous transmet les vœux que j’ai prodigué à mes proches, à qui, comme tous les ans, j’envoie une bafouille truculente et un peu sauvage en récoltant des infos par ci par là… Mais cette année j’ai pas mal crassussé de votre prose, alors la moindre des choses c’est de vous en informer.
    Désolé, je copie beaucoup, mais quand les sources sont bonnes je ne me restreint pas !
    https://jopechacabri.blog4ever.com/le-dogme-qui-derange
    Liberté, liberté chérie pour 2019

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  5. https://www.liberation.fr/planete/2019/01/09/les-energies-renouvelables-depassent-le-charbon-en-allemagne_1701463

    Trouvé dans Libé… je ne sais pas ou trouver les chiffres ça serait intéressant de voir s’il ne s’agit pas d’une des escroquerie facon trompe l’oeil de nos si humbles défenseurs de très nobles et très pieuses causes. Ce qui excuse les pieux mensonges. Je soupçonne qu’il s’agit d’une simple comparaison des puissances brutes installées et non de puissances réelles fournies. je vais essayer de trouver les chiffres à la source de ce cri de victoire

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    • Allez sur Energy Charts de Frauenhofer vous aurez tous les chiffres.
      L’Allemagne a maintenant 110 GW d’éolien et de solaire pour 90 GW de fossiles alors qu’au maximum elle a besoin de 80 GW à la pointe d’hiver. Comme les ENR sont prioritaires, elle va donc bien finir par arriver à l’objectif cité … mais en été, lorsque la consommation es faible, elle devra « vendre » son surplus à prix négatif ou arrêter les ENR (ce qui coûte encore plus cher par contrat). Les Allemands vont donc subventionner l’électricité de leurs voisins….
      Et si les voisins font la même chose, ça ne marche plus….

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      • Coucou,

        J’ai même lu sur wikipadia je crois, qu’il existe une région en allemagne qui produit du méthane grâce au surplus eolien et du co2 collecté.
        L’energie supplémentaire produite permet en effet de produire de l’hydrogéne par hydrolyse de l’eau.
        Une réaction chimique permet de produire du méthane avec du co2 et de l’hydrogéne.

        L’oxygène est relaché dans l’atmosphére; ou est utilisé, j’en sais rien.

        voila un solution qu’elle est intelligente, non ?

        bonne journée

        stéphane

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      • bon d’accord mais mon probleme est de savoir si il s’agit de puissance fantasmée sur un bout de papier, ou pire encore un simple élément de langage a des fins de triomphalisme, ou une puissance réelle

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    • Allemagne, je ne sais pas, peut-être pendant quelques heures un soir de vent suffisamment (mais pas trop !) fort ?
      Plus sérieusement, allez voir sur le site des climatoréalistes la réalité des ENRi en Chine, pays vertueux s’il en est, surtout quand ça rentre dans ses objectifs sino-chinois ( 🙂 ) et qu’elle peut se faire mousser aux COP.
      https://www.climato-realistes.fr/volte-face-climatique-de-la-chine-patricia-adams/

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      • Ce que signale Baloo sans trop savoir ce que c’est, ça s’appelle la méthanation. Le premier problème est d’avoir du CO2: ça coûte très cher car il faut le filtrer de tas d’autres choses dans des fumées ou des gaz issus de méthanisation. Le deuxième problème est le rendement global electrolyse plus stockage hydrogène plus extraction du CO2 plus méthanation. Il faudra produire 3 à 4 fois plus d’électricité primaire pour obtenir une unité finale, donc installer encore plus d’éoliennes et de PV… Et tout cela ne fonctionnera que les jours avec vent, c’est à dire que ça doit être dimensionné avec des investissements qui ne tourneront que 25 % du temps.

        Cela ne pourra jamais n’être que marginal.

        Et on pourrait faire la même chose avec 4 fois plus d’efficacité à base d’électricité nucléaire. .

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      • cOUCOU,

        Merci pour ces précisions; je crois que c’est une région trés spécifique qui permet d’optimiser.

        Masi rien que le fait de produire de l’hydrogéne avec le surplus eolien, on en fait presque (hydrogéne) une energie primaire, ce qu’il n’est pas actuellement.

        Bonne soirée

        Stéphane

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  6. je suis encore dans les temps?
    meilleurs voeux décarbonés, bonne santé sans pesticides,, frugalité heureuse,et pauvreté écoconsciente assumée ,
    Désolé mais je n’ai rien d’autre en magasin
    Mes encouragements les plus ardents à l’auteur, et mes remerciements

    invariant:
    -(Ce) qui ne varie pas, qui est constant, fixe, stable
    une image qui peut illustrer:une enclume, un peu comme notre Saint Louis de la croisade climatique( rappelons l’incroyable échec des croisades)
    -Qui reste la même après une transformation.
    oui, le mouvement des GJ transforme le paysage politique, mais le paradigme reste intact
    – Système invariant. ,,Système dont la variance est nulle«  (Sc. 1962).
    le navire gouvernemental est secoué, ballotté dans tous les sens,la mutinerie couve,l’équipage est à bout, mais invariablement le commandant suprême, du haut de sa dunette garde le cap vers les récifs qui blanchissent la mer juste devant l’étrave

    j’exagère?
    en préambule des parlottes citoyennes, il n’y aura pas de remise en question des invariants, dont la « décarbonisation » en 2050

    bonne année tout de même

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  7. Le festival d’articles apocalyptiques à repris de plus belle sur tous les médias. On remet la pression avec l’affaiblissement des GJ. Avec ce qui semble une nouveauté : il n’y a absolument plus aucune limite au délire et a l’énormité des âneries proférées. On ne comptera évidemment pas sur les décodeurs du monde pour faire une étude minutieuse de la légitimité des sources de ces gros morceaux de propagande;
    derniers en date : (non exhaustif bien entendu)
    – midi libre : carte interactive des regions de france qui vont se retrouver sous les eaux
    – futura science (torchon « scientifique » a base de pigistes de 2eme année de fac), toujours particulièrement gratiné : Le réchauffement climatique transforme les mésanges en sérial killers
    etc.

    bon allez je ne vais pas vous asséner les myriades de calembredaines que je croise tout les jours. J’imagine que vous ne pouvez pas non plus y échapper.

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  8. Pour rester dans une veine scientifique, il est assez significatif que l’on entend assez peu les physiciens de l’atmosphère qui sont sans doute bien plus réalistes sur les qualités des modèles que des scientifiques venus de disciplines annexes. Un des arguments favoris des tenants de l’effet de serre est l’analyse des carottes glacières, c’est à dire une corrélation entre teneur en CO2 et anomalies isotopiques influencées par le climat. Et le lien entre anomalies isotopiques et climat n’est pas des plus direct et peut être lui aussi critiqué. Si l’on disposait de modèles atmosphériques incontestables aurait on besoin de se raccrocher à des arguments aussi faibles ?
    Il est vrai que l’on injecte beaucoup de CO2 dans l’atmosphère mais si l’on ne se limite pas au stock atmosphérique mais aussi aux autres stocks (océans, sol, sous-sol…) c’est beaucoup moins effrayant. Les échanges avec ces autres réservoirs font que la teneur atmosphérique n’augmente que de la moitié de ce qui y est injecté. En raisonnant à la louche on peut donc penser qu’à rejets constants on atteindra une asymptote pour un déséquilibre double (teneur actuelle moins teneur préindustrielle) de celui actuel. Ce n’est pas les plus de 1000 ppm mis en avant par le GIEC.

    Si l’on admet maintenant que cet excès de CO2 va modifier un peu les phénomènes radiatifs, il faut quand même rappeler ce que sait tout météorologiste débutant et qui est que le principal mode de transfert dans l’atmosphère est l’advection-convection. Un déséquilibre va donc déclencher toute une série de réactions qui vont s’opposer à ce déséquilibre et rendre l’efficacité du déclencheur initial bien plus faible. Cela aussi tout scientifique le sait et notamment les chimistes qui sont confrontés en permanence à ce type de problème qui les oblige à retire les produits d’une réaction pour ne pas qu’elle s’étouffe spontanément.
    Pour être honnête un scientifique n’oubliera pas qu’on ne peut jamais exclure une transition de phase faisant basculer vers un équilibre très différent. Néanmoins le système terre a déjà beaucoup vécu et a été confronté à pas mal d’évènements, cela signifie qu’il a donc déjà éliminé pas mal de faiblesses. Nous ne serions pas là si ce n’était pas le cas.

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    • « Néanmoins le système terre a déjà beaucoup vécu et a été confronté à pas mal d’évènements, cela signifie qu’il a donc déjà éliminé pas mal de faiblesses. Nous ne serions pas là si ce n’était pas le cas. »

      L’extinction d’une espèce à l’échelle du continuum évolutif terrestre ce n’est pas grand chose. On ne peut pas déduire l’existence et la survie de l’espèce humaine de la plasticité et résilience du climat surtout pris dans son échelle globale…

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      • Je me suis mal exprimé, je ne pensais pas à une espèce particulière mais au système terre. Si ce système était en équilibre instable et n’attendait qu’un petit stimulus pour basculer vers un état fondamentalement différent, cela serait déjà arrivé. Les petites oscillations de type glaciation-déglaciation ne sortent pas du domaine normal de variation du système et n’ont jamais été la fin du monde. Il a fallu des évènement extrêmement violents et d’une autre nature (météorite) pour provoquer de grandes extinctions . Peut on vraiment croire que le stimulus CO2 soit incomparablement plus grand que tout ce qu’à subi la terre pendant la quaternaire ?

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      • Je suis ce qu’on appelle communément ici un « réchauffiste », je tiens à préciser que j’ai une opinion « d’amateur » sur tout cela. Donc, je ne crois pas que le système terre soit tant que ça en danger, ce sont les pires scénarios du Giec qui prétendent cela, ils sont irréalistes, l’homme serait mort avant d’avoir pu les accomplir. Par contre l’homme est une espèce bien particulière dans l’évolution, sa capacité d’emprise sur l’environnement semble lui avoir permis plus que n’importe quelle autre de transformer son environnement à son avantage, j’aurais du mal à accepter qu’on nie l’origine anthropique de moult destruction biosphérique, le problème semble être que ces multiples destructions cumulées à une domestication des espèces (espèces domestiquées qui occupent une place conséquente dans l’éco-système aujourd’hui), a amené une baisse de la biodiversité donc de résilience des éco-systèmes ; une espèce domestiquée est plus spécialisée et donc moins résistante à la variabilité du milieu (ce qu’on constate de manière très inquiétante pour les espèces végétales cultivées en agricultures intensives). Le stimulus CO2 semble quand même très rapide (particularité de l’énorme capacité d’emprise humaine sur son milieu), après est-il comparable à d’autres événements bien plus violents (l’exemple typique de l’extinction des dinosaures), sûrement que non (parler de 6ème extinction semble un peu fort) mais quand même largement assez pour éteindre nombres d’espèces très spécialisées (ou en réduire fortement les populations, changer drastiquement les stratégies adaptatives) et peu résistantes à une variabilité si rapide (donc l’homme, les grands mammifères, les espèces domestiquées…), c’est-à-dire les espèces à stratégie démographique K pour favoriser les espèces avec une stratégie de développement des populations r. Ensuite pour la question du CO2 son absorption dans les océans pose il me semble le problème de l’augmentation de l’acidité qui impactent sur les coraux, et d’autres espèces (je n’ai pas vraiment le sujet de l’océan en tête).

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      • Là où je vous suis c’est sur l’influence excessive de l’homme sur son milieu. Je suis effrayé par la disparition des dernières zones sauvages de la planète et tout cela vient avant tout de la surpopulation. Comme je l’ai dit plus haut le CO2 me semble assez bénin. C’est vrai que le CO2 acidifie les océans mais compte tenu de la masse de ceux-ci, les transferts verticaux modèrent fortement l’acidification de surface et je ne serais donc pas étonné que l’asymptote soit proche. Et en matière d’impact sur les océans, c’est l’impact sur les zones côtières qui est le plus redoutable avec des déversements continus de grandes quantités de polluants (fertilisants, phosphates, polluants industriels…). Et il ne faut pas oublier aussi le déséquilibre induit par des pêches intensives qui perturbe le fonctionnement harmonieux du système en faisant disparaitre certains prédateurs (malheureusement les poissons les plus appréciés !).
        Un point me semble assez curieux dans toutes ces controverses sur le climat c’est justement l’importance démesurée que l’on accorde à des aspects physiques alors que les aspects biologiques sont moins évoqués. Les disparitions rapides d’espèces ont plus à voir avec la surexploitation (encore la surpopulation) qu’avec de légers changements climatiques. La vie peut parfaitement s’adapter. Les couvertures forestières ont une évolution nord sud lors des glaciations déglaciations. Les vignes peuvent remonter vers le nord ou un peu plus haut sur les reliefs si la température remonte. Et enfin si l’on est préoccupé par les pertes de terrain dues au recul du littoral lorsque la mer monte, il faut aussi comparer ce rythme de perte avec le rythme d’accroissement de la population. Quel est l’effet majeur ?

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      • Pour répondre à votre troisième commentaire en effet le climat semble servir à éviter le débat sur les questions qui fâchent autant d’un côté que de l’autre.
        Le problème majeur semble être la biodiversité, la question des déchets, de fin des ressources (métaux rares particulièrement), des diverses pollutions ; bref tout ce qui occasionne des dépenses et des destructions irréversibles, c’est d’ailleurs l’irréversibilité de la destruction des espèces qui est problématique, surtout dans les milieux coralliens ou des forêts profondes (qui sont ou étaient nos réservoirs de biodiversité sauvage).
        La non prise en compte des contraintes irréversibles dans un mode de vie particulièrement dépensier semble dater de la période des trente glorieuses.

        Ensuite pour réagir sur vos autres posts sur le climat j’ai du mal à vous suivre sur la « stabilité » a priori du climat, pourquoi le climat présent devrait a priori se comporter comme celui du passé alors qu’il ne l’a jamais fait ainsi.

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    • Si le système dont la variable d’entrée est « forçage radiatif » et la variable de sortie est « température globale » est instable et sur le point de basculer, il basculera quelque soit la cause qui modifie « forçage radiatif » : variation de la concentration de CO2, de méthane, de vapeur d’eau, de la couverture de nuage, etc. Or les variations de concentration de CO2 jouent un rôle mineur dans « forçage radiatif » donc le système en question a d’assez grandes marges de stabilité.
      Et s’il doit basculer, l’autre état est de fluctuer autour d’une température beaucoup plus froide.

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      • « Mais pourriez vous développer les raisons pour lesquelles s’il y a un autre état il est forcément plus froid ? »
        Les systèmes bistables sont très courants. Les systèmes à trois états stables semblent ne pas exister dans la nature, ni être très aisés à fabriquer. Pour avoir trois états stables il faut en plus deux états d’équilibre métastables entre deux états stables, ce qui fait une loi de variation (du genre un polynôme du 5ème degré) plutôt compliquée.
        Les états connus du système atmosphérique sont les états glaciaires, au cours desquels la glace recouvre la terre sur plusieurs kilomètres d’épaisseur jusqu’aux latitudes moyennes, et les états interglaciaires qui ne durent qu’une dizaine de milliers d’années le plus souvent. Le basculement de l’un à l’autre semble dépendre d’une conjonction de facteurs, dont sûrement des facteurs astronomiques.

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      • Excellent argument à réutiliser. Je résume : notre système évolue actuellement autour d’un attracteur dont même des perturbations plus grandes que notre excès de CO2 n’ont pas réussi à l’éloigner. Si malgré tout une conjonction exceptionnelle de perturbations arrivait à le faire basculer vers un autre état, cet état devrait être parmi ceux par lesquels il est déjà passé dans sa longue histoire, à savoir l’état glaciaire ou l’état actuel. Cela me semble assez conforme à ce que peut penser un physicien ordinaire.
        Le mauvais coté de cette théorie c’est que les acharnés de la « transition écologique » peuvent l’adopter s’ils sentent que le réchauffement apocalyptique n’est plus crédible. Ils essaieront simplement de faire peur avec la glaciation plutôt qu’avec le réchauffement. Et ils y trouveront des arguments pour nous pourrir la vie, ajouter des taxes et imposer des fausses solutions au bénéfice d’amis les vendant.

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      • cOUCOU,

        Passionante cette théorie sur les systemes stables.

        Mais peut on dire que le climat qui change tout le temps, est un systeme stable. Dans votre théorie, est stable une période glaciaire. Mais , même pendant cette période glaciaire, n’y a t il pas des variations de températures trés importantes ? Et si oui, peut on appeler ce syteme un systeme stable ?

        Bonne journée

        Stéphane

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  9. D’ailleurs j’aimerais avoir une discussion avec les personnes rationnels ici sur la question de :
    – l’origine anthropique ou non de l’actuelle destruction bio-sphérique et de l’impact à cours et long terme sur les sociétés humaines (particulièrement l’agriculture)
    – la possibilité de la croissance (aussi discuter des indicateurs qui la considère, comme centralement le PIB aujourd’hui) dans un contexte de déplétion des ressources

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    • COucou,

      Lisez freud ! ou keynes !

      Non je déconne. personne de peut répondre à ces questions
      Je déconseille la douche au glyposate tous les matin, surtout si on a un début de calvitie.

      Bonne soirée

      Stéphane

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      • Ça plaisait beaucoup à Freud le refoulement dans l’inconscient des informations allant à l’encontre du moi, d’ailleurs ça avait plus à Grothendieck dans ces dernières années où il s’était intéressé à la psychée ; cette importance de la notion de fuite, de refoulement de l’information gênante.

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      • Coucou,

        Je ne pensais pas au refoulement quand je citais freud, mais plutot aux désirs, à ce qui fait avancer.
        En ce qui concerne les informations génantes, ce qui me géne en l’occurrence, c’est le mélange des genres.

        L’homme fabrique, invente , vit, et pollue.
        la température dans certaines régions, peut-être partout, augmente un peu.

        Il n’y a aucun rapport entre ces deux affirmations, jusqu’à preuve du contraire, car on ne sait pas expliquer les variations du climat.

        On peut politiquement défendre l’idée qu’il serait plus judicieux et intelligent de vivre en osmose avec notre milieu.

        Affirmer que l’on contrôle la température me parait un rien présomptueux de la part de l’homme.

        Bonne jorunée

        Stéphane

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      • Il n’y a surtout aucune preuve que l’homme n’influe pas sur le climat jusqu’à preuve du contraire.
        http://www.23dd.fr/climat/histoire-rechauffement-climatique/99-histoire-de-la-decouverte-du-rechauffement-climatique-i#AvantPropos
        Il n’y a aucune autre théorie qui semble expliquer les variations climatiques de ce siècle, l’augmentation de la température, etc.
        J’attends une théorie alternative autre qu’une ressemblant à de l’astrologie.

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  10. @Valentin

    Vous renversez la charge de la preuve. C’est le GIEC qui affirme que le réchauffement est anthropique, c’est à lui de le démontrer.
    Le problème de la position politique sur cette affaire climatique, c’est qu’elle est catastrophiste. Ce n’est pas que la physique utilisée est fausse, c’est qu’on n’a ni les données ni les connaissances des processus pour quantifier l’effet du CO2. Or nous sommes en phase de réchauffement depuis au moins 1850, si ce n’est pas depuis 1650. On ne peut donc séparer la part naturelle et la part anthropique dans les évolutions perçues, si tant est même qu’on aie des indicateurs fiables.
    Faire croire qu’on le peut est une imposture, et on essaye d’emmener toutes les stratégies à court, long et moyen de la planète sur la base de cette imposture.

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    • Ce n’est pas la Giec, le Giec fait un rapport consensuel à partir d’études sur le climat qu’elle choisit dans une optique synthétique, les études qui ne sont pas utiliser par le Giec vont dans le sens d’un réchauffement climatique d’origine anthropique, ce qui paraît dans Nature va dans ce sens, les Chinois produisent énormément de papier sur le réchauffement climatique…
      Je vais pas affirmer que je comprends tout mais ça m’a l’air bien plus plausible, un sursaut dans l’augmentation de la température est localisé à partir de l’après-guerre (évident puisque c’est le moment où l’on utilise les énergies fossiles de manière débridé), d’ailleurs je pense que ce qui vous gêne dans cette théorie c’est l’implication de l’homme vis-à-vis du climat, ce qui d’une part va très bien avec la véritable « mystique » de ces 70 dernières années, c’est-à-dire de croire que l’on vit dans un monde sans limites physiques, qu’une consommation de biens et de services complexes qui suppose des énergies à haut rendement n’occasionne aucun déchets, aucune pertes, aucune exploitation d’un environnement (géologique, biosphérique ou humain [par exemple : les métaux rares ne sont pas extraits par la magie de l’esprit, de même pour la construction de nos objets électroniques, etc…]), pourtant nous avons un continent de déchets, nous avons la biosphère dans une santé délétère et l’origine anthropique de ces destructions irréversibles est indéniable.
      Et en l’occurrence il n’y a aucun faisceau d’étude sur le climat qui proposerait une vision allant à l’encontre de l’origine anthropique du réchauffement climatique ; j’attends vos théories, vos hypothèses.
      Je préfère préciser que cette théorie ne me plaît pas non plus…

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      • Valentin dit : « Et en l’occurrence il n’y a aucun faisceau d’étude sur le climat qui proposerait une vision allant à l’encontre de l’origine anthropique du réchauffement climatique ; j’attends vos théories, vos hypothèses ».
        Magnifique exemple de raisonnement faux (non sequitur) et de renversement de la charge de la preuve.
        Le réchauffement du 20ème siècle s’est fait en deux périodes à peu près d’égale importance avec une période de refroidissement (ou de stagnation) entre les deux.
        Pour le GIEC le réchauffement de la première moitié du 20ème siècle serait entièrement naturel, et celui de la fin du 20ème siècle entièrement anthropique ou presque. C’est une position illogique. On ne voit pas pourquoi les fluctuations naturelles (le bruit du système) se seraient brutalement arrêtées vers le début des années 1980.

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      • Faudrait-il déjà que la réalité se fasse le plaisir d’attendre vos prémisses. L’explication c’est que les aérosols compense les effets de serre, par contre il reste quelques dizaines d’années dans l’atmosphère par rapport au CO2 qui reste des centaines d’années ; l’émission des aérosols a fortement augmentée pendant cette période et à compensée des années 40 à 70 les émissions de gaz à effet de serre.
        Donc je me répète où sont vos explications ?

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  11. Vous dites que vous n’êtes pas compétent…vous « supposez »….Alors, quel est l’intérêt de vous exprimer ici? Je relève des bizarreries sur vos courbes, elles ne vous choquent pas, tant mieux

    Quant aux courbes de températures que vous signalez, moi je vois une stagnation de 2000 à 2015. Sans doute n’avons nous pas la même faon de lire des courbes…

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