Qui a le droit de s’exprimer sur le climat ?

Un commentaire sur MM&M élevé ici au rang d’article.

par Joaquim, membre du Collectif des climato-réalistes.

Sur la question du : « quelle est ta formation », « qui es-tu pour t’exprimer », « quelles sont tes publications… » etc. Il faut rester ferme : tout citoyen peut faire entendre sa voix s’il le fait avec honnêteté et réflexion sincère.

Je ne suis pas géophysicien ni climatologue, mais je peux revendiquer comme des centaines de milliers de personnes une bonne compréhension et un bon décryptage des tableaux de synthèse de vulgarisation présentés par les journalistes et les politiques.
Tout le monde peut voir qu’en changeant les échelles on obtient une courbe effrayante ou rassurante. Qu’en choisissant la date de départ d’une courbe on obtient des pentes très différentes. Qu’une variation inférieure à la marge d’erreur n’est pas une information, qu’une courbe plate est une courbe plate, que sur terre il y a 2 pôles, que les Maldives n’ont pas disparu, que les modèles on échoué à prévoir la température du globe…

Tout le monde peut démasquer les présentations biaisées dès le départ (un exemple tout bête, en météo TV, on est assez souvent en dessous des « valeurs » de saison ou des « moyennes » saisonnières mais toujours au dessus des « normales » saisonnières, allez savoir pourquoi !).

Tout le monde peut démasquer des communications non scientifiques qui s’appuient sur l’émotion (comme toutes les propagandes d’ailleurs… y compris les pires…). Tout le monde sait que les ours blancs meurent aussi de vieillesse.

Tout le monde peut comprendre que dans des grands organismes internationaux ou des labos de recherche qui drainent des subventions gigantesques des États, il peut y avoir des intérêts personnels qui interfèrent avec la science et cela sans mettre en cause ni l’honorabilité ni l’honnêteté des membres de ces organismes.

Tout le monde peut comprendre que les politiques et les médias ont toujours intérêt à faire du sensationnalisme et à jouer sur les peurs irrationnelles.

Pour le décryptage de données provenant de recherches, bien sûr on a besoin des lumières de scientifiques, mais tout le monde peut et doit juger les données de synthèse qui circulent.

Pour moi c’est tout l’intérêt du Collectif que de regrouper, en plus des « lumières » scientifiques, un maximum de citoyens libres qui pensent et s’expriment à haute voix et en toute légitimité.

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19 réflexions au sujet de « Qui a le droit de s’exprimer sur le climat ? »

  1. Excellent commentaire en effet, approuvé à 100%.
    J’y ajouterais que ces gens-là oublient aussi un peu vite l’intelligence humaine dans leurs calculs. Je ne crois pas que la notion de « business as usual » ait beaucoup de sens sur les échelles de temps considérées.

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  2. Des journalistes estiment devoir déterminer qui a le privilège de s’exprimer dans le médias officiellement reconnus (les journaux reconnus donnant droit à la carte de presse et aux avantages liés). Ils pensent être capable d’identifier la science sérieuse.

    Dans ces média je vois souvent des graphiques sans légende, ou avec une légende illisible, ou sans unités… En classe de 6e je savais que faire un graphique sans légende valait zéro!

    Et même à l’école primaire, donner la conclusion d’un calcul sans unité ou se tromper d’unité était sanctionné.

    Ces journalistes n’ont pas l’air de comprendre que l’énergie est le produit d’une puissance par un temps. J’ai appris cela au collège. Et sur la facture EDF, il n’y a pas de « kW/h ». J’estime qu’ils se trompent une fois sur deux : « kWh »? « kW/h »? Ils doivent jouer ça à pile ou face. Pourtant un gamin comprend qu’une même ampoule allumée 2 h au lieux d’une 1 h aura consommé 2 fois plus alors qu’une voiture qui parcourt 60 km en 2 h au lieu de les faire en 1 h sera allé 2 fois moins vite!

    Alors qui sont ces intermédiaires pour nous donner des leçons de sérieux scientifique?

    Quand on n’a pas le niveau fin de collège (je ne parle même pas du bac), peut-on vraiment se permettre prendre de haut des scientifiques reconnus?

    Les critiques précédantes ne s’appliquent qu’aux journalistes généralistes et non aux journalistes spécialisés dans la vulgarisation scientifique qui font des bêtises un peu plus subtiles (mais qu’un gamin un peu futé pourrait probablement voir).

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  3. Joaquim @

    Et quand on prend un scientifique climatosceptique en flagrant délit de bidouillage de courbe ou de mensonge, que comprenez vous ? Mo,i j’ai énormément de mal à le comprendre et je ne peux l’accepter

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    • Quand on prend une historienne des sciences climato-alarmisto-sectaire en flagrant délit d’incompétence scientifique crasse, que faites-vous?

      Quand on prend un sociologue des sciences vert-rouge en flagrant délit de violation des règles éthiques, en flagrant délit de bidouillages, en flagrant délit de rétention de données, que faites-vous?

      Quand on prend un hockeyeur en flagrant délit, que faites-vous?

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      • Simple-touriste @

        Vous émettez une opinion qui n’est pas vérifiée et ne concerne que vous, je parle de faits avérés et vérifiables.

        J’espère que vous voyez où se situe le distinguo ?

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      • Tout ce que je dis est formellement établis. C’est prouvé au delà du doute raisonnable et il y a de quoi condamner au pénal.

        Naomi O est une pauvrette qui ne comprend rien à rien. Dans son bouquin pourri le pH neutre est 6 et le béryllium est un métal « lourd », sans doute parce qu’il est toxique (les métaux lourds sont toxiques sont les métaux toxiques sont lourds ou un truc du genre). Elle confond radioactif et réactif, n’a apparemment jamais entendu parler du rôle des « reactives oxygen species » dans la formation du cancer. Elle croit aussi des trucs aussi comiques sur la radioactivité et la radioprotection (que les doses « acceptables » sont basées sur l’idée que les faibles doses sont sans danger). Un collégien ne ferait pas ces confusions!

        Les « 97% » et « Moon Landing Hoax » et compagnie sont de grossières falsifications, que soutient apparemment toute la communauté climatopastèque – au lieu de se tenir loin des cuisiniers.

        La météo n’est pas le climat sauf quand il fait chaud. Les « records » de températures sont étalés pour impressionner le blaireau ignare, et la « communauté » ne réagit pas à ces escroqueries.

        Tout cela relève du Grand Guignol ou de méchants de James Bond. Un gamin ne s’y laisserait pas prendre. Les condamnations devraient pleuvoir sur ces guignols, pour commencer pour diffamation. Ils devraient être la risée des médias et le communauté scientifique dans son ensemble, mais le « complexe » gaucho-industrialo-médiatico-universito-bobo (dont un des représentant le plus caricatural est l’UCS) a choisi son camp, celui de la politique des licornes.

        Mais qu’attendre de la « communauté » qui soutenu l’URSS et le communisme il y a quelques temps….

        Souvenez-vous de la blague de la grippe « mexicaine » « pandémique » : malgré la panzerpropagande, ça n’a pas été un grand succès.

        Quand le peuple comprendra l’entendu de l’arnaque, ça va faire très mal. Déjà en Allemagne les licornes ne sont pas livrées et la production d’énergie est toujours plus polluante.

        Pour l’instant l’extrême-pastèque se sent fort du soutient des médias et de la classe politique émasculée.

        Plus dure sera la chute.

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  4. Je souscris totalement à ce que vous dites.
    Je pense en effet qu’il est à la portée du citoyen ordinaire de se faire sur la question climatique une opinion personnelle et d’établir si une affirmation est étayée par une preuve scientifique ou si elle relève de la politique, voire de la propagande.
    Nous devons donc résister à ceux qui nous dénient le droit de juger par nous-mêmes (« qui est tu toi pour remettre en question ce que pensent des milliers de scientifiques »?) au motif que seuls les experts auraient accès à la compréhension des mécanismes impliqués.
    En tant que sceptiques non spécialistes du climat nous nous devons de résister aux arguments d’autorité mais aussi d’être mieux informés que nos détracteurs.
    1. Résister aux arguments d’autorité
    Arguments d’autorité brandis par ceux qui se réclamant du pseudo consensus de la communauté scientifique n’ont pas eux-mêmes à prouver ce qu’ils avancent, mais nous enjoignent en revanche de démontrer les raisons de notre scepticisme.
    Il nous faut donc d’abord récuser le consensus qui n’est qu’une illusion d’optique, un artefact rhétorique du au cahier des charges initial imposé au GIEC :
    Un même organisme chargé d’évaluer les risques liés à l’effet de serre (postulé d’origine anthropique).
    …n’effectuant aucun travail scientifique propre mais compilant les travaux de scientifiques choisis en raison même de leur adhésion à la théorie dominante, ne peut refléter qu’un état biaisé de la science.
    D’autre part qu’une même organisation « scientifique » soit à la fois chargée d’établir l’état de la science mais aussi de proposer des solutions (ce qui relève de la sphère politique), voilà qui est unique dans l’histoire des sciences !
    2. Etre mieux informés que nos détracteurs
    Vous dites : « tout le monde peut et doit juger les données de synthèse qui circulent » : je suis évidemment d’accord, mais l’exercice n’est pas toujours facile.
    Nous avons en France 2 organes de presse militants (Le monde et Libération) qui défendent avec ardeur (et non sans talent) la « cause » de la lutte contre les émissions de Gaz à effet de serre.
    Même s’ils ne font en fait que relayer sans aucun esprit critique les messages les plus alarmistes des scientifiques proches du GIEC, leurs articles sont en général (du moins en apparence) sérieux et documentés.
    Pour opposer à ces articles de presse des arguments efficaces, il est à mon avis nécessaire de remonter jusqu’à la publication scientifique à l’origine de l’article (l’abstract permet en général de se faire une bonne idée sur ce qui est en jeu).
    Je prends trois exemples pour illustrer mon propos:
    1er exemple :
    Un article de lemonde.fr du 15 août 2014 titrait :
    « L’homme est le principal responsable de la fonte des glaciers depuis 1990 »
    Le Monde fait référence à une étude du glaciologue Ben Marzeion (Université d’Innsbruck) parue dans la revue « Sciences » le 14 août 2014.
    L’étude quantifie le pourcentage des pertes de masse des glaciers imputable aux activités humaines :
    – entre 1851 et 2010 : 25% (avec une marge d’erreur de + – 35 %)
    – entre 1991 et 2010 : 69% (avec une marge d’erreur de +-24 %).
    Quantifier la part de la responsabilité humaine dans la fonte de glaciers avec de telles marges d’incertitude, c’est déjà douteux sur le plan scientifique.
    Mais j’ai retrouvé un précédent article (novembre 2012) de Ben Marzeion publié dans la revue The Cryosphere intitulé « Past and future sea-level change from the surface mass balance of glaciers » dans lequel l’auteur reconnaissait que « notre connaissance du comportement des glaciers est fortement limitée par l’insuffisance des observations ».
    Je le cite : « On ne dispose de mesures directes que pour 300 glaciers ; le nombre de glaciers sur lesquels les données portent sur une période de plus de 30 ans est encore plus restreint ; or le nombre total de glaciers dans le monde est supérieur à 20 000.
    … Même une accentuation de nos efforts pour augmenter le nombre d’observations ne pourrait améliorer substantiellement la situation dans les prochaines décades. »
    2ème exemple :
    lemonde.fr 13 mai 2014 : « La fonte de glaciers de l’Ouest de l’Antarctique a atteint un point de non-retour »
    le monde.fr 26 janvier 2015 : « Le plus grand glacier de l’Antarctique oriental en train de fondre »
    La lecture des publications scientifiques auxquelles se réfèrent les 2 article du Monde montre en fait que la fonte de ces glaciers résulte d’interactions complexes entre la variabilité océanique, la géologie locale et la variabilité climatique. Les scientifiques admettent que ces interactions ne sont pas bien comprises et ne sont pas prises en compte par les modèles climatiques qui sont donc inopérants pour expliquer l’évolution de ces glaciers.
    3ème exemple :
    Lemonde.fr 09 octobre 2013 : « La pause du réchauffement climatique : décryptage d’une légende tenace »
    La pause du réchauffement climatique préoccupe en effet beaucoup notre journal de référence.
    Stéphane Foucart y affirme péremptoire :
    « La pause du réchauffement climatique est au climato-sceptique ce que le poumon est au Malade imaginaire…en réalité, le réchauffement ne s’est nullement arrêté au cours des quinze dernières années et ceux qui affirment le contraire se trompent (ou vous trompent) ».
    Point central de son argumentaire : la reprise de la courbe Balmaseda et al reconstituant (avec force retraitement de données) l’évolution du contenu thermique des océans depuis 1958.
    La reconstitution de Balmaseda (qui a même été critiquée, par l’océanographe Carl Wunsch) porte sur une période de 50 années (1958-2008), alors que nous ne disposons que de 10 ans de données exhaustives pour comprendre des processus multi décennaux (les balises ARGO ont commencé à être utilisées dans les années 1990 mais n’ont atteint une couverture complète des océans qu’à partir de 2003).
    Enfin il est très utile de se référer aux travaux ou commentaires de scientifiques se tenant à l’écart du « consensus », ceux qui ayant pris part à la rédaction des premiers rapports du GIEC et s’en sont éloignés à cause de ses méthodes totalitaires (R. Lindzen, Judith Curry, et bien d’autres), mais aussi ceux qui sans être climato-sceptiques (ils pensent que l’effet de serre anthropique est potentiellement dangereux) sont résolument opposés au GIEC (Carl Wunsch océanographe au MIT, Pierre Morel fondateur du Laboratoire de Météorologie Dynamique, par exemple).
    Pierre Morel dans une conférence au Bureau des Longitudes en octobre 2009 :
    « en l’absence d’analyse critique de résultats pris pour argent comptant et de toute stratégie de recherche pour pallier les défauts les plus évidents, j’estime que le GIEC a exercé une influence globalement négative sur le développement des sciences du climat…
    « L’évolution du climat global est tout simplement trop petite jusqu’ à présent (en regard des variations météorologiques aléatoires et de l’incertitude des données d’observation pour autoriser un diagnostic assuré des changements à long terme, encore moins l’identification de relations putatives de cause à effet basée sur des corrélations entre deux ou plusieurs signaux climatiques incertains ».
    Carl Wunsch, dans une publication de mars 2013 : « Climate change as an intergenerational problem » :
    « La grande difficulté à laquelle les scientifiques qui essayent de comprendre et de prédire doivent faire face est la durée extrêmement courte pour laquelle nous disposons d’observations adéquates sur le système climatique…
    « Le thermomètre n’a été inventé qu’au début du 17e siècle. Les observations atmosphériques n’ont atteint une couverture mondiale qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale… Les observations océaniques ne sont devenues (encore que marginalement) suffisantes à l’échelle mondiale que dans le début des années 1990… « Les bilans de masse des glaciers du Groenland et de l’Antarctique n’ont commencé qu’au début du 21e siècle… Les données paléolithiques ne sont que des indicateurs approximatifs ayant une précision et une couverture spatiale limitée au regard ses échelles de temps et d’espace requises… Les scientifiques qui tentent de comprendre le système climatique sont confrontés au problème difficile de donner un sens à des phénomènes physiques dont l’échelle de temps dépasse la durées de la vie humaine ».
    Nos arguments me semblent-ils doivent être centrés sur l’idée que le caractère très lacunaire des observations ne permet pas de comprendre des processus qui obéissent à des cycles multi-décennaux.
    J’essaye de mettre en pratique les idées que je viens d’exprimer ici dans mon blog: https://elogedelacomplexite.wordpress.com/
    Je serais heureux de pouvoir échanger avec les membres du collectif des climato-réalistes auxquels je viens d’adhérer.

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    • Uzbek @

      «  » » »Je pense en effet qu’il est à la portée du citoyen ordinaire de se faire sur la question climatique une opinion personnelle et d’établir si une affirmation est étayée par une preuve scientifique ou si elle relève de la politique, voire de la propagande. » » » »

      Je vous réponds clairement non, le citoyen ordinaire n’a pas les moyens de vérifier ce que vous dites.

      ps vous faites dire à Morel ce qu’il ne dit pas et vous enrôlez à tort Carl Wunsh. Ni l’un ni l’autre ne sont opposés au GIEC.

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      • j’ai bien dit que Pierre Morel et Carl Wunsch n’étaient pas climato-sceptiques (ils pensent que l’effet de serre anthropique est potentiellement dangereux)
        Pierre Morel est explicitement opposé au GIEC, je le cite :
        « en l’absence d’analyse critique de résultats pris pour argent comptant et de toute stratégie de recherche pour pallier les défauts les plus évidents, j’estime que le GIEC a exercé une influence globalement négative sur le développement des sciences du climat… »

        Quant à Cal Wunsch, il est en tout cas opposé à cette tendance à privilégier le modèles aux observations ce qui me paraît bien définir le GIEC et ses affidés, je le cite également :
        « La grande difficulté à laquelle les scientifiques qui essayent de comprendre et de prédire doivent faire face est la durée extrêmement courte pour laquelle nous disposons d’observations adéquates sur le système climatique… »

        Aimé par 2 personnes

      • « vous enrôlez à tort Carl Wunsh. »

        Toujours dans une vision partisane, « eux » contre « nous »!

        Vision enfantine mais qui marche bien chez des sciensuivistes avec une mentalité d’enfant et une naïveté à toute épreuve, tel Sheldon Cooper dans The Big Bang Theory.

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  5. Simple-touriste @

    «  » » »Tout ce que je dis est formellement établis. C’est prouvé au delà du doute raisonnable et il y a de quoi condamner au pénal.

    Où sont donc ces fameuses preuves ? Je ne me contente pas de vos affirmations (Benoit Rittaud dirait éructations)

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    • Le seul contenu des emails du Climategate et le fait que la bande cache ses données (sous des prétextes débiles, comme le coup du copyright) prouve qu’ils ne font plus de la science, déjà.

      Vous pensez que le cuisinier de SkS est une source sérieuse?

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      • simple-touriste @

        Dites moi sérieusement , à part la calomnie que savez vous faire ? Il a été démontré qu’il n’y a pas de climategate.

        Par contre on peut parler des cas Soon, Michaels, Courtillot si vous voulez on peut parler di bidouillages de données et de courbes effectué par les climatosceptiques car ça, c’est du sérieux pas du flan comme votre climategate.

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      • Les emails du Climategate n’existent plus? Pouf, envolés?

        Il n’y a pas de hide the decline?

        Il n’y a pas d’incitation à cacher et à détruire des données?

        Il n’y a pas de tentative d’exclure les déviants?

        Il n’y a pas de tentatives de faire passer des vessies pour des lanternes?

        Qu’avez-vous contre Soon? Est-ce qu’il a détruit des emails? Caché des données? Fait passer pour des mesures « brutes » (des mesures quoi) des données « corrigées » (des données bidouillées)?

        Vous n’avez pas l’impression que vous avez perdu la bataille?

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  6. Eh les gars ne vous laissez pas impressionner par Robert, eagle 4 et dit n’importe quoi ; bon il a le temps il est retired.
    ;=))
    J’approuve à 300% ce commentaire intelligent et tellement vrai, sans tout répéter je prends à mon compte 2 affirmations 1_Point besoin d’être climatologue pour être capable de lire et de comprendre des tableaux … et de leur faire dire ce que l’on veut, il suffit d’avoir fait quelques études et d’avoir les yeux ouverts (pas comme Robert hein) 2_Les modèles ont échoué à prévoir correctement le Climat et il ne faut donc leur accorder aucune importance (pas comme ….)

    Aimé par 2 personnes

    • Soon n’a pas « hide the decline ».

      Soon n’a pas préservé « la vie privée » des données de ses études comme Lew (qui a refusé de communiqué la liste des sites Web qu’il a contacté!).

      Jusqu’à preuve du contraire, Soon a été transparent sur ses méthodes.

      Il n’y a donc rien à lui reprocher.

      Mais les emails du Climategate existent et démontrent une volonté de tricher, manipuler et détruire les données.

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    • Votre source est un torche-cul extrême pastèque (route-vert, enfin brun, enfin d’extrême droite quoi), presque l’équivalent du journal de référence français.

      Et l’article commence très très très fort :

      « climate change denier’s »

      Soon est justement un promoteur de l’idée que le climat a changé fréquemment contrairement à ce qui dit l’équipe de hockeyeurs. Les négateurs du changement climatique sont les contradicteurs de Soon.

      « Willie Soon, a researcher at the Harvard-Smithsonian Centre for Astrophysics, received a total of $1.25m from Exxon Mobil »

      C’est le Harvard-Smithsonian qui a reçu cette somme, pas Soon!

      « ultra-conservative Koch brothers »

      Perdu, merci d’avoir joué. Ils ne sont pas du tout du tout conservateurs.

      « He contends climate change is driven by the sun. »

      Donc il ne nie pas le changement climatique! Le torche-cul de référence anglais se contredit à quelques phrases d’intervalle.

      « In the relatively small universe of climate denial Soon, »

      Maintenant il nie le climat, de mieux en mieux.

      « He was cited admiringly by Senator James Inhofe »

      Aucun rapport… Dénigrement par association, le pisseur d’article sait comment faire plaisir au lectorat.

      Bon, faut-il continuer la lecture de cette chose que vous pensez être du journalisme?

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      • Les Gourous français de la climatologie (Jean Jouzel, Valérie Masson-Delmotte) travaillent directement ou indirectement pour le CEA.
        En quoi est-ce scandaleux que les travaux de Soon, astrophysicien travaillant sur le solaire soient financés par l’industrie pétrolière ?

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